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L’un des plus grands virtuoses de kora au monde aux Anciennes Ecuries |
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Jeudi, 01 Mars 2018 12:11 |
 Lors du vernissage de l'exposition des oeuvres de l'artiste malien Boubacar Kokè Tangara, en soirée du 23 février aux Anciennes Ecuries, Chérif Soumano, l'un des plus grands virtuoses de la kora au monde, a interprété un récital faisant étalage de son énergie rythmique pour un moment de lyrisme poignant. Pour ce récital époustouflant, il était accompagné de sa soeur, la chanteuse Nana Kouyate, et du percussionniste Amadou Daou.
Cela fait une quinzaine d'années que Cherif Soumano est un artiste professionnel reconnu à l'international. Aux Anciennes Ecuries, il a fait étalage de sa dextérité pour transporter le public dans l'univers musical malien, entre tradition et modernité, chants éternels des griots et sonorités contemporaines. (Photos Thierry Thorel)
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Bernard Vignoble sculpte aux Anciennes Ecuries |
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Lundi, 12 Février 2018 18:44 |
 Jusqu'au 18 février, vous pouvez découvrir l'exposition consacrée aux sculptures et aux peintures de Bernard Vignoble, artiste hémois. Cet architecte retraité présente des toiles de bord de mer inondées d'une lumière verticale et qu'il oppose à l'horizontalité de l'eau. Il présente également des sculptures, que ce soit des nus, des bustes féminins ou encore des animaux. Mais tous les jours de cette semaine, à l'exception de ce mercredi, Bernard Vignoble sculpte sur le lieu même de l'exposition, au 1er étage des Anciennes Ecuries, au coeur même des cimaises. Des moments rares de création d'une oeuvre que vous pouvez découvrir en vous rendant sur place, de 14h30 à 19h jusqu'à vendredi ou encore le week-end des 17 et 18 février de 10h à 12h30 et de 14h30 à 19h.
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Bernard Vignoble expose aux Anciennes Ecuries du 9 au 18 février |
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Vendredi, 09 Février 2018 01:00 |
 Le sous-sol de son habitation hémoise est le sanctuaire de son art. C'est là qu'émerge un véritable petit musée flanqué d'un atelier intimiste. Les toiles sont comme des fenêtres accrochées aux murs, elles apportent les embruns du large de la Haute-Normandie. Réalisées essentiellement à la brosse, elles hésitent entre approche figurative et impressionnisme. Mais elles interpellent le regard par cette abondante lumière vibratoire et verticale, en opposition à la mer horizontale. Même les portraits relèvent d'une même technique singulière, apportant puissance et densité. Derrière la complexité de la mise en oeuvre picturale, se dégage la simplicité du dessin. Dans cet univers mêlé de peintures et de sculptures en bronze, en terre cuite ou en grès, c'est selon, Bernard Vignoble se définit d'abord comme un artisan. Un modeleur même quand il évoque ses sculptures. Pas question pour lui d'expliquer la genèse de ses oeuvres réalisées « naturellement, de manière instinctive ».
A 68 ans, Bernard Vignoble, architecte DPLG -pour un cabinet d'architecture, auprès de différents hôpitaux ou de la clinique Saint-Roch à Roncq, réalisant notamment avec Paul Hemery la station de métro de la Grand Place de Roubaix - ou encore expert auprès des tribunaux à la Cour d'Appel de Douai, conjugue comme il l'a toujours fait et de façon parallèle carrière professionnelle et passions artistiques. Très vite, il a fait du théâtre, monté des spectacles de poésie parlée – du slam avant l'heure – contacté un acteur de la Comédie Française pour participer à la réalisation d'une série télévisée, ouvert une école de danse à Tourcoing. Finalement, après tant de projets collectifs, il a suivi il y a environ une vingtaine d'années une démarche plus personnelle, notamment après un accident qui l'a handicapé d'une main. « J'ai toujours dessiné à la plume sur du papier, réalisé quelques aquarelles », témoigne-t-il, « après cet accident, je me suis mis à la peinture avec le pinceau dans le pansement ! »
Modeleur, plutôt que sculpteur
Chez lui, à Hem, le frère de Gérard Vignoble, ancien Maire de Wasquehal, réalise des portraits à l'huile et à la brosse, à partir de photos ou de modèles. En Haute-Normandie, le pays des hautes falaises au nord de Fécamp, où il se rend régulièrement depuis cinq décennies, il peint la verticalité de la lumière de façon aussi cinglante que l'horizontalité de l'eau.
Son apprentissage de la sculpture a nécessité des cours avec des artistes émérites, Bénédicte Dubart, Guy Le Perse, Armand Debève (stations de métro République à Lille, professeur aux Beaux-Arts de Roubaix et à l'ESAAT). « Je suis modeleur avant d'être sculpteur », reconnaît-il, « le sculpteur dépouille, le modeleur amène de la matière. Ce qui m'importe dans la sculpture, c'est de partir de rien et de parvenir à construire quelque chose ». Il sculpte aussi bien des animaux que des nus ou des bustes féminins. Il a même modelé son autoportrait en terre patinée.
Son parcours est jalonné de récompenses, obtenant des prix des villes de Wattrelos, de Lys-lez-Lannoy ou encore de l'Académie des sciences, des lettres et des arts d'Arras pour une sculpture baptisé « Le mendiant ». A Roncq, il est prêt à modeler et à sculpter devant un public pour montrer notamment « combien l'esprit donne à la main la performance ».
Lors du vernissage, Rodrigue Desmet, Maire, a exprimé son attachement au mot "modeleur" comme à la Haute-Normandie. Et s'est félicité de savoir que sur le plan professionnel, Bernard Vignoble a apporté aussi sa touche d'architecte à la clinique Saint-Roch ou à la résidence Schumann de Roncq. L'artiste, ou plutôt l'artisan, a redéfini les termes de sculpteur - "il dépouille" - et de modeleur - "il construit des personnages avec un matériau" - avant de remercier les services de la Ville qui lui ont permis de présenter cette très belle exposition. (Texte Patrick Bonte, photos Thierry Thorel)
Exposition de peintures et sculptures de Bernard Vignoble aux Anciennes Ecuries, du 9 au 18 février 2018, ouverture au public les samedis et dimanches de 10h à 12h30 et de 14h30 à 19h, du lundi au vendredi de 14h30 à 19h, présence de Bernard Vignoble tous les jours sauf mercredi, il sculptera sur place une oeuvre au fil des jours
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L’atelier de jazz de l’EMM sur des scènes « pro » |
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Mardi, 30 Janvier 2018 18:57 |
 Depuis plusieurs années, l'atelier de jazz de l'Ecole Municipale de Musique est l'invité de l'association « véd'a » qui organise régulièrement un concert à la Ferme d'en Haut, dans le quartier de Flers à Villeneuve d'Ascq. Le principe est simple : avant le passage de musiciens professionnels, une formation issue d'un Conservatoire ou d'une Ecole de Musique est en quelque sorte l'invitée d'honneur. Et les musiciens de l'atelier de jazz de Roncq seront encore une fois le 11 février prochain à 17h les hôtes de ce joli moment, une belle manière de faire rayonner l'Ecole Municipale de Musique de Roncq !
L'enseignement et la formation des élèves de l'Ecole Municipale de Musique sont orientés vers la pratique collective ou le jeu ensemble. Participer à ce type d'évènement, dans des conditions d'organisation professionnelle avec une programme régionale de haut niveau, sur une scène identifiée pour son esthétique artistique, permet de valoriser le travail effectué en amont par les élèves ainsi que la qualité de l'enseignement assuré par leur professeur.
Le dimanche 11 février, à 17h à la Ferme d'en Haut, en 1ère partie de « Hee Jazz Extended » par Mohamed Abozekry, se produira donc l'atelier de jazz de l'EMM de Roncq. Une autre prestation est prévue le 7 avril prochain à 18h30 où pour la premières fois, les ateliers jazz des conservatoires de Lille, Lomme, Tourcoing, Roncq, Fâches-Thumesnil, Hellemmes, Mons-en-Baroeul se retrouveront autour d'un 1er printemps du jazz à la salle de concert « Le Trait d'Union » à Mons-en-Baroeul pour un set de leur choix de 15 minutes.
Pour infos : pour le 11 février à Villeneuve d'Ascq, Tel : 03 20 31 90 50,
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, www.jazzaveda.com
Pour le 7 avril à Mons-en-Baroeul, gratuit sur réservation,
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« Giocoso » a fêté ses 20 ans lors d’un concert à Saint-Piat |
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Lundi, 22 Janvier 2018 10:12 |
 Pour souffler ses 20 bougies, l'orchestre à cordes « Giocoso » né fin 1997 d'une réunion d'amis et d'anciens élèves des conservatoires de Roubaix, Tourcoing et de l'Ecole Municipale de Musique de Roncq a eu la bonne idée de proposer un concert à l'église Saint-Piat le 21 janvier après-midi. Le répertoire se voulait à la hauteur de l'évènement : Haendel (Le Messie, ouverture de Sinfonia), Benjamin Britten (Simple Symphonie), Pergolesi (Stabat Mater). A cette occasion, l'ensemble instrumental a été placé sous la direction de Patrick Coquerel avec Mélanie Margage (soprano), Catherine Boudou (alto), Emilie Debuck (violon solo).
Chaque année et souvent en association avec une chorale de la ville ou de l'agglomération, cet orchestre organise un concert à Roncq pour promouvoir le répertoire de musique de chambre du Baroque à nos jours. Ce qui est vivement apprécié par le public présent à chacun de ces rendez-vous ! (Photos Thierry Thorel)
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Le Noël musical portugais des élèves de l’EMM |
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Samedi, 09 Décembre 2017 12:18 |
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 Le 8 décembre, en soirée à l'église Saint-Piat, le concert des élèves de l'Ecole Municipale de Musique – orchestres, chorales, classes d'instruments - a été suivi par un très large public qui a apprécié la qualité de cet établissement qui fait rayonner la culture musicale roncquoise. Pour preuve : la brillante prestation de Clément Pimenta qui a interprété avec l'ensemble à cordes et Virginie Jacquin - elle a été sa professeur de violon à l'EMM - le final du concerto pour alto de Jean Chrétien Bach. A 15 ans, il a réussi en février dernier le concours d'entrée au 1er cycle supérieur du Conservatoire Supérieur de musique et de danse de Paris, à l'unanimité du jury !
Le programme s'est voulu enthousiaste et aussi vaste que le Portugal : les ensembles de cuivres, de cordes, minimes, cadets, la chorale des jeunes, les percussions se sont succédé pour offrir un panorama aux couleurs rouge et verte avec une somptueuse samba pour finir en apothéose où le directeur de l'EMM, Francis Billet, a joué du sifflet brésilien comme au meilleur du carnaval de Rio. Bref, Noël a pris des allures de fête avec des applaudissements nourris, des jeux de lumière flamboyants et une furieuse envie de continuer à découvrir le Portugal en musique ! (Photos Thierry Thorel)
Retrouvez le concert de Noël 2016 des élèves de l'EMM en cliquant ici
Retrouvez le concert de Noël 2015 des élèves de l'EMM en cliquant ici
Retrouvez le concert de Noël 2014 des élèves de l'EMM en cliquant ici
Retrouvez le concert de Noël 2013 des élèves de l'EMM en cliquanrt ici
Retrouvez le concert de Noël 2012 des élèves de l'EMM en cliquant ici |
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Luc Devemy, photographe, exposera du 13 au 22 avril 2018 à Roncq |
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Vendredi, 01 Décembre 2017 17:33 |
 De souche tourquennoise, Luc Devemy a fait de sa passion son parcours de vie. A 76 ans, il regarde désormais dans le rétroviseur des clichés qui n'ont pas pris une ride, qui se sont même bonifiés avec le temps. Rien ne prédisposait le jeune homme qu'il était alors, dans les années 60, à devenir photographe professionnel. Habitant Bron, dans la banlieue lyonnaise, il suivait des cours de dessin et de peinture aux Beaux-Arts. Intégré à un club de peintres amateurs lyonnais, il va vite se confronter à l'exigence chromatique. « Sur une aquarelle, vous n'avez pas le droit à l'erreur, la couleur que vous posez l'est une fois pour toutes », se souvient-il, « cette intransigeance m'a perturbé ». Dès lors, la photo s'impose à lui comme la réponse idéale à la restitution des couleurs naturelles.
Avant de partir au Tchad pour y effectuer son service militaire de 28 mois, il s'achète un appareil photo argentique, un outil dont il ne se séparera jamais plus. En 1968, alors qu'il réside en Suisse, il adhère à la Société genevoise de photographie qui compte 500 membres. « J'y suis resté pendant plus de six ans », reprend-il, « on participait à des concours nationaux, internationaux, j'ai obtenu ma 1ère médaille d'or en 1973 à Virton en Belgique, au sud de Nivelles, pour le portrait d'un pêcheur à qui j'avais demandé de poser en 1972 à La Panne. »
Au début, il développait ses pellicules noir et blanc et couleur dans le labo photo de la Maison des Jeunes de Genève avant qu'il ne s'équipe de son propre labo. « Dans la photographie, il y a une part de créativité », assure-t-il, « et il y a tout le travail dans l'ambiance opaque et feutré du laboratoire où le photographe peut donner un sens à son travail en choisissant un papier, un tirage plus ou moins clair, plus ou moins sombre…». Ce temps de la photographie argentique paraît tellement éloigné de la photo numérique d'aujourd'hui.
« J'ai toujours soumis mes photos aux multiples regards des autres »
Portraits, clichés en extérieur, effets divers (solarisation…) pour autant de travaux d'illustration, de documentation, ou encore éditeur de cartes postales à ses heures, sa palette est large, à l'instar de son talent. A la recherche de ses racines, il revient à Tourcoing en 1974 où il s'installe comme photographe. Il y présentera sa 1ère exposition collective au mois de juin et l'année suivante sa 1ère exposition personnelle à la galerie Van Oost. Ses clients sont aussi prestigieux que diversifiés, de la BNP à La Redoute en passant par de grandes familles industrielles (Prouvost…) et des revues (« Grands reportages », « Voici », « Femmes actuelles »…). « J'ai photographié bien des sujets, la maison de Rubens à Anvers, la Tour de Londres, la Fête des Chats à Ypres, la fosse d'Arenberg à Wallers.. », poursuit-il, intarissable, « et j'ai continué à fréquenter les salons en France et dans le monde entier, comme à Arles où j'ai croisé les plus grands photographes, Jean-Pierre Sudre, Denis Brihat… j'ai eu l'habitude de toujours soumettre mes photos aux multiples regards aguerris des autres ».
Retraité depuis 2005, il a accumulé des dizaines de milliers de photos parmi lesquelles il en sélectionnera une petite centaine qu'il accrochera sur les cimaises des Anciennes Ecuries. Auprès de clichés de toutes les époques, des années 70 à aujourd'hui, il exposera également des dessins au stylo à bille, au crayon ou à l'encre de chine, des aquarelles et des peintures, rappelant ainsi l'ancien étudiant des Beaux-Arts qu'il a été.
Exposition de Luc Devemy, photographe, du 13 au 22 avril 2018 aux Anciennes Ecuries, 2, rue de la Latte à Roncq, vernissage le 13 avril à 18h30, Entrée gratuite |
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Concert de gala de la Philharmonie : tout n’était que comédies ! |
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Lundi, 27 Novembre 2017 15:46 |
 La Philharmonie de Roncq a donné son concert de gala d'automne le 26 Novembre à l'église Saint-Piat. L'occasion a été choisie pour la Philharmonie de revisiter et de revivre nombre de comédies musicales sous la direction de Francis Billet et Baptiste Vandevoghel. On a ainsi pu apprécier « Le Temps des Cathédrales », « Les Demoiselles de Rochefort », « Abba », « La Belle et la Bête », « Starmania », « West Side Story », « Chicago », « La la Land », « Les Dix Commandements », « Mary Poppins ». Le public a répondu présent et s'est régalé. (Photos Thierry Thorel) |
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Maria Staelens, phytothérapeute de profession, animait jeudi 8 mars un atelier à la Bibliothèque autour du thème « L'éveil au Printemps ». 
