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Julie, 10 ans, va jouer salle Gaveau ! |
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Mardi, 08 Avril 2014 16:47 |
On s'y habitue et c'est pourtant à chaque fois une performance. A l'Ecole Municipale de Musique, bouillonne un vivier de jeunes talents qui brillent régulièrement au firmament national. La petite Julie Dodin, en 4ème année de flûte traversière, a décidé de prendre son destin en main pour envisager une carrière de musicienne professionnelle. Encouragée par son enseignant, Michel Segers, elle s'est inscrite au concours international des Petites Mains Symphoniques, réservé aux enfants de 6 à 12 ans. Le 22 mars, elle a franchi avec succès les sélections régionales en interprétant « Irish Song ». Elle disputera donc le 9 juin les épreuves nationales à la salle Gaveau, à Paris, ce qui est déjà en soi une belle récompense !
Ni intimidée, ni stressée, elle raconte avec gourmandise sa décision de pratiquer à l'âge de six ans la flûte traversière, un instrument dont elle apprécie la fluidité du son. Sa belle assiduité et ses prédispositions n'échappent pas à son professeur. L'enthousiasme de Julie pour le solfège et son instrument est même exemplaire. « Elle travaille très bien et sa compréhension de l'instrument est parfaite », témoigne Michel Segers, « elle prépare bien sa prestation et a choisi d'interpréter pour son examen de fin d'année « Goodnight, Children » qu'elle jouera salle Gaveau ». Pas superstitieuse, la petite Julie ! Comme sa maman qui pensait plutôt l'inscrire dans une chorale il y a quelques années, Julie sait qu'elle doit compter sur son travail pour transformer cette belle opportunité en une superbe reconnaissance ! (Ph. Th. Thorel) |
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Premier prix littéraire pour Yin |
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Lundi, 31 Mars 2014 02:00 |
Un concours littéraire des collèges était organisé dans le cadre du 16ème salon du livre de Bondues. Parmi les cinq lauréats issus des collèges Thérèse d'Avila de Lille, de la Croix-Blanche ou de Marcq-en-Baroeul, s'est distinguée la jeune et prometteuse Yin Neary, élève de 4ème C au collège Paul-Eluard de Roncq.
A 13 ans, elle impressionne son enseignant de français, Jocelyn Pahaut, par la maîtrise de son écriture, la richesse de son vocabulaire et la profondeur de son imagination nourrie de littérature fantastique. Lectrice invétérée, elle dévore romans et polars, affectionne particulièrement Mary Higgins Clark et Guillaume Musso. « Elle a du style et du goût pour l'écriture », assure Jocelyn Pahaut, « je prends toujours plaisir à lire ses copies où elle fait preuve d'une grande originalité. Je l'encourage, un tel prix ne peut que la mettre en confiance ».
Pour remporter ce prix, elle a rédigé cinq pages foisonnantes d'une trame tricotée à partir d'une entame écrite par le jury. C'est l'histoire d'un jeune héros qui devient passeur sur une île joliment estampillée « île des quatre vents ». On se régale à lire son récit ciselé et fleuri, au pays des elfes.
Très émue par l'obtention de ce prix, Yin aimerait poursuivre son parcours dans une filière littéraire et publier un jour un livre qu'elle aura cette fois écrit de bout en bout ! Sa nouvelle publiée dans un recueil constitue un premier pas prometteur et une reconnaissance pour l'enseignement prodigué au sein du collège Eluard. |
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Deux Brass bands pour clore un week-end de concerts |
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Lundi, 17 Mars 2014 02:00 |
Le Brass band de Roncq, qui au travers des concerts et festivals, a tissé des liens musicaux et amicaux avec les nombreux Brass bands de la région, s'est rapproché du Brass band belge de Leieland, afin de continuer sa progression et de prouver que la musique n'a pas de frontière.
Les échanges, même musicaux, avec nos voisins belges sont rares, le Brass band de Roncq l'a fait ! Sous la direction de Wouter Loosen, le Brass band de Leieland a obtenu une brillante 3ème place au championnat de Belgique face à deux des meilleurs Brass bands européens.
Il était donc attendu le 16 mars salle Jules-Gilles où les Brass bands de Leieland et de Roncq - dirigé par Francis Billet - ont interprété leur programme pour le concours du "Vlams open brassband kampioenschap" qui se déroulera le 6 avril prochain à Malines (B). Dommage que le public ne soit pas venu plus nombreux, mais après les concerts de l'Ecole Municipale de Musique et de "Goldmen" les deux jours précédents, la musique a été reine à Roncq pendant trois jours ! (Ph. Th. Thorel) |
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« Les Fenêtres qui parlent » ou l’art dans la rue |
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Vendredi, 14 Mars 2014 02:00 |
Comment mettre l'art à la portée de tous de façon simple et directe ? C'est le principe des « Fenêtres qui parlent » : des habitants et des commerçants prêtent leurs fenêtres, des artistes prêtent leurs oeuvres, ce qui invite à des rencontres entre artistes et habitants, à créer ou à renforcer des liens entre voisins, et à faire connaître des rues et des quartiers.
Cette formule de musée éphémère en plein air a été créée en 1999 par un collectif d'associations de la métropole lilloise, le « Réso Asso Métro ». A Roncq, la formule lancée par Odile Courbois, responsable de la Bibliothèque de la Ville, en est déjà à sa 3ème édition prise en charge par un collectif roncquois de quatre bénévoles passionnés et verra donc des fenêtres et vitrines se transformer, du 21 mars au 13 avril, en mini-galeries d'exposition dans le Centre-Bourg - rue de Lille, depuis l'av. Vansteenkiste jusqu'à l'ancienne gare - mais aussi pour la première fois au Blanc-Four - rue de Lille entre « La petite garde robe » et la rue du Bois Blanc en intégrant le pourtour de l'église, le parking de la Poterie et le square de la « Femme Assise ».
Autre événement de cette nouvelle édition : les fenêtres de la Maison Petite Enfance et de la Maison de quartier « La Marelle » au Blanc-Four serviront également de cimaises aux quelque 300 autoportraits réalisés par les enfants ayant fréquenté les derniers centres de loisirs.
En tout, une quarantaine d'artistes - ils seront 27 de l'association des « Artistes roncquois », d'autres de l'association des « Arts plastiques », de Wambrechies et d'ailleurs - proposeront des expressions et des techniques diverses, acryliques, pastels, aquarelles, sanguines, photos, sculptures… pour le plus grand bonheur des badauds.
Du 21 mars au 13 avril (on pourra découvrir aussi toutes ces oeuvres lors de la 2ème Rétromécanic), exposition d'oeuvres derrière les fenêtres et vitrines du Centre-Bourg et du Blanc-Four. Renseignements par mail :
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Les Arts Plastiques s’exposent ce week-end |
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Mercredi, 12 Mars 2014 02:00 |
Jusqu'au 17 mars, l'association des Arts Plastiques qui fédère 64 adhérents dans quatre ateliers ouverts aux adultes et aux ados, animés par Jonathan Napierala, présente sur les cimaises des Anciennes Ecuries 131 oeuvres diverses réalisées par 51 artistes et dix enfants, peintures à l'huile, acryliques, sculptures sur les thèmes du chapeau et des têtes de carnaval avec des techniques d'inclusion de matières (papier, enduits, plumes, coquillages…).
Autre thème abordé : l'Empire du Soleil Levant et l'Est asiatique (huile, acrylique, pastel, crayon…). Libre cours est également laissé à l'expression libre. On y croise un travail impressionnant, portraits, natures mortes, masques, paysages exotiques... accompli par des artistes amateurs aux réalisations bluffantes, Jeannine Samyn, Sylvianne Dumont, Monique Jansen, Alain Dhellem, Pascal Parmentier, Alain Demagondeau, Sylvie Defraiteur et bien d'autres. (Ph. Th. Thorel)
Exposition ouverte de l'association des Arts plastiques les 15, 16 et 17 mars de 10h à 12h et de 15h à 18h. Pour contact, Tél : 03 20 03 74 16,
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ou sur le site de la Ville, https://www.roncq.fr/rar |
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« Landtecture », galerie de photos d’Alexandra Verheecken |
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Jeudi, 13 Février 2014 02:00 |
Contrastes sublimés, lumière magnifiée, lignes tendues, architecture épurée, les photos d'Alexandra Verheecken font vibrer des clairs-obscurs contrastés, suspendus entre des ciels ouatés et des bâtiments désolés, voire des rivages improbables.
Designer textile après un parcours dans l'histoire de l'Art, l'artiste voue une passion à la photo, au graphisme et aux arts plastiques, pour mieux redéfinir les liens entre no man's land et architecture, d'où le néologisme choisi - « Landtecture » - pour baptiser l'exposition d'une trentaine de clichés sur papier glacé et aux formats généreux sur les cimaises de l‘Annexe-Mairie.
Rien de tel que le noir et blanc pour redonner corps à la mélancolie. « J'aime beaucoup les no man's land, les friches, les façades verticales et lisses, les câbles des ponts suspendus », confie Alexandra Verheecken. De ces voyages, elle rapporte une moisson de clichés singuliers, à la beauté sourde et tragique à la fois. Ses photos de la prison d'Alcatraz, au large de San Francisco, en Californie, restituent la menace de l'enfermement par un jeu d'ombres et de lumières, de lignes et de volumes, de silence et d'absence.
Tout n'est que décor assourdissant sur ces photos qui flirtent avec le surréalisme, à l'instar de ces ombres projetées sur la mer le long de la plage de Malo-les-Bains. Dans ces compositions très rigoureuses, la vie se nourrit de l'invisible, de l'oubli.
Exposition d'une trentaine de photos d'Alexandra Verheecken aux heures d'ouverture de l'Annexe-Mairie, du 15 mars au 17 mai |
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Contes musicaux : la performance des enfants |
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Vendredi, 07 Février 2014 02:00 |
C'est à un grand élan de fraternité enthousiaste auquel on a assisté le 6 février, en soirée, à la salle Catry. Devant une assemblée de parents aussi dense que séduite, les enfants du groupe scolaire du Blanc-Four et de l'école primaire des Chats-Huants ont interprété deux contes musicaux pour lesquels le travail a été partagé entre enfants, parents, enseignants et Magalie Sonneville, intervenante de l'Ecole Municipale de Musique dans les écoles.
Dans un premier temps, les élèves des écoles Curie et Jaurès ont interprété « La planète aux arbres de Noël », un conte de Gianni Rodari mis en musique par l'atelier périscolaire de l'école Jean-Jaurès. Le temps d'entrer dans une féérie parfaitement orchestrée et d'apprécier la performance des enfants.
Puis, a pris place le second conte musical interprété par les classes de Mmes Debasio et Pattyn de l'école Brel, le bien nommé « Yemaya », la divinité des mers et des lacs qui danse sur l'île de Cuba. On se laisse emporter par la mer des Tropiques aux eaux transparentes, les costumes et les maquillages sont à la hauteur de la performance des enfants. Les parents et André Varlet, Adjoint à la vie scolaire, ont pu applaudir à tout rompre ce spectacle inspiré d'un conte cubain de Françoise Rachmuhl. Un travail d'orfèvre réalisé en peu de temps dans le cadre du temps scolaire. Une belle illustration de l'apport de l'Ecole Municipale de Musique dans le temps d'apprentissage, mais aussi méridien, des enfants. (Ph. Thierry Thorel) |
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Hervé Soris chante les plus grands crooners |
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Mercredi, 22 Janvier 2014 02:00 |
Affable, dynamique, enthousiaste, Hervé Soris a plusieurs vies à son actif tant ses parcours aux quatre coins du globe comme sur tous les terrains sportifs auraient de quoi tisser la trame d'un roman ! Et, à 61 ans, ce Roncquois n'a pas fini de nous surprendre. Depuis quatre ans, il monte sur scène pour chanter Michael Bublé, ce chanteur canadien qui, lui-même, reprend avec un succès considérable - 40 millions d'albums vendus en cinq ans - les plus grands crooners américains, de Ray Charles à Frank Sinatra en passant par Peter Kingsbery (cocréateur du groupe Cock Robin dans les années 80) avec qui il a formé un duo, le temps d'un titre dans un club privé !
Le chant a bercé son enfance, au rythme des réunions familiales qui comblaient l'ennui des dimanches après-midi. Les uns et les autres, à tour de rôle, poussaient la chansonnette. Il n'en a pas fallu davantage pour qu'Hervé Soris s'y mette lui aussi jusqu'à ce qu'il éprouve un goût affirmé pour le micro.
« Je suis autodidacte, je ne joue d'aucun instrument », reconnaît-il, « dans les années 80, lors de mes déplacements professionnels en Asie alors que je travaillais dans le textile, j'ai participé à des karaokés devant mes clients ou mes agents, j'entonnais « Les feuilles mortes » ou « Only you ». En 1994, lors de la conférence mondiale de la laine, à Istanbul, j'ai chanté devant 500 personnes à la demande de mes clients turcs. C'était à la fois intimidant et fascinant de partager un tel moment avec un public aussi important ». Hervé Soris venait d'ajouter une corde à son arc, lui qui avait relevé nombre de challenges et de défis, champion du Nord de tennis par équipe, champion des Flandres de boxe anglaise sous les yeux de Jean-Marie Leblanc, alors journaliste sportif pour La Voix des Sports…
Des pianos-bars au "Spotlight" à Lille
Il y a quatre ans, il défie cette fois la scène du « Spotlight », rue Léon-Gambetta à Lille. Il se fait « coacher », prend des cours de chant, écume les petites salles des restaurants - comme « L'Atelier » à Roncq - des pianos-bars ou encore des maisons de retraite. Au « Spotlight », adresse incontournable des soirées lilloises, il y présente un spectacle professionnel de 25 chansons de crooners. La voix enjôleuse, il les enchaîne avec jouissance, « The Way You Look Tonight », « Always On My Mind »…
Ses performances amènent même son public à acheter des albums de Michael Bublé, trop méconnu dans la région alors qu'il réunit des milliers de fans en Belgique. Dans le même temps, il participe aux concours de chant « Talents du Nord » organisés par une troupe d'amis à lui qui ont créé « Erzebeth » avec Nuno Resende dans le rôle principal.
Le lundi 24 mars, à 20h30, il sera pour la 3ème fois sur la scène du « Spotlight », à Lille, pour chanter en solo et en duo, la voix câline et fluide, le rythme dans la peau. Hervé Soris, vice-consul de la province d'Eastern Cape en Afrique du Sud dans les années 80, suit désormais une trajectoire vocale prometteuse ! |
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