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Les récipiendaires des noces de travail aux Anciennes Ecuries |
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Samedi, 14 Avril 2018 14:11 |
 En présence du Député Vincent Ledoux, les diplômes du travail ainsi qu'un petit cadeau (stylo et clé USB) ont été remis le 14 avril aux Anciennes Ecuries par Rodrigue Desmet, Maire, Thérèse-Marie Couvreur, Adjointe à l'Etat-Civil et à la Population, et de nombreux élus avec un temps d'avance par rapport au 1er mai.
Parmi les 65 postulants, nombre d'entre eux avaient fait le déplacement pour partager cette fierté accompagnée d'un cadeau de la Ville. Rodrigue Desmet a félicité les récipiendaires à l'occasion de ces « noces de travail, la Nation vous met à l'honneur aujourd'hui. Faisons en sorte que formation et travail soient davantage en adéquation », a-t-il ajouté, se félicitant par ailleurs de la contribution de toutes les personnes qui exercent un emploi au développement des liens sociaux.
Vincent Ledoux a rappelé la nouvelle donne mondiale et globalisée d'aujourd'hui. « On a cru à un moment donné qu'on pouvait moins travailler pour s'offrir plus de loisirs », a-t-il repris, « mais il nous faut plus que jamais se battre sur le front de l'emploi et du travail ». Il en a appelé à la lucidité face aux nouveaux défis actuels, félicitant au passage le personnel de la Ville de Roncq qui incarne « une fonction publique qui ne cesse d'aller de l'avant. Le pays n'est riche que tu travail des gens ».
Ont été remises huit médailles Grand Or (40 ans de travail), 12 médailles Or (35 ans de travail), 11 médailles Vermeil (30 ans de travail), 21 médailles Argent (20 ans de travail), trois médailles Argent et Vermeil, une médaille Or et Vermeil, une médaille Argent, Vermeil et Or, une médaille Vermeil, Or et Grand Or, trois médailles Argent, Vermeil, Or et Grand Or, trois médailles Or et Grand Or. |
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Fermeture d’une journée des cimetières durant la semaine du 16 avril |
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Vendredi, 13 Avril 2018 14:51 |
 En raison de travaux annuels d'entretien et d'aménagement menés par les techniciens du service municipal « Embellissement de la ville », les cimetières du Centre et du Blanc-Four seront fermés pendant une journée durant la semaine du 16 au 20 avril. Pour des raisons d'adaptation à la météo, ces journées ne sont pas encore définies, elles le seront au dernier moment pour mieux réaliser le désherbage… Sachez que si vous trouvez l'un des deux cimetières fermés durant cette semaine, cela ne durera qu'une journée, merci de votre compréhension.
Vous retrouverez les arrêtés en cliquant ici : - cimetière du centre - cimetière du Blanc-Four
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Rue du Moulin : des perturbations le 17 avril liées à un chantier de construction |
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Jeudi, 12 Avril 2018 16:45 |
 Une nouvelle résidence de 10 appartements locatifs du bailleur Vilogia et dessinée par le cabinet "O Architecture" va prendre place sur le terrain de 775 m2 auparavant occupé par la friche Millecamps, aux 7 et 9 rue du Moulin. Des T2 et T3 répondront ainsi modestement à la forte demande de logements à laquelle doit faire face la Ville. Le petit immeuble en R+2 (9,15 mètres de hauteur), construit en briques dorées, sera doté de dix places de parking dont deux seront réservées aux personnes à mobilité réduite.
Actuellement, se déroule le chantier de gros oeuvre de ce petit collectif. L'entreprise De Munari tient à informer les riverains que le coulage de la dalle basse du rez-de-chaussée sera effectué le mardi 17 avril prochain entre 7h30 et 12h. Ce qui occasionnera des mouvements de camions béton plus importants qu'à l'ordinaire. Néanmoins, il n'est pas prévu de fermeture de la route. La prudence est donc recommandée ce mardi 17 avril rue du Moulin au Blanc-Four. |
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240 tonnes de sable déversées pour rafraîchir la Boucle des 2 clochers |
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Jeudi, 12 Avril 2018 11:23 |
 Aménagée en 2010, la Boucle des 2 clochers a tout de suite rencontré un vif succès. Sur près de 11 km – 6 km pour la Boucle Saint-Piat, 4,9 km pour la Boucle Saint-Roch – ce parcours pédestre qui emprunte des chemins de traverse sur le territoire roncquois dont l'ancienne voie ferrée Halluin-Tourcoing a nécessité en mars dernier une cure de jouvence. Les techniciens du service « Embellissement de la ville » ont été à pied d'oeuvre pendant 12 jours pour assurer l'entretien et le toilettage de ce long chemin de traverse. Avec une opération spectaculaire : la pose d'un nouveau sable de Marquise tout le long du parcours, soit 240 tonnes de sable.
Cette Boucle est très appréciée pour son sillage tracé dans la nature, mêlé de poésie et d'émotion, grâce notamment à l'implantation d'oeuvres expressionnistes le long du parcours, le banc estampillé « Terre de ciel » sur le toit d'un blockhaus enfoui au Bois Leurent, « l'Arbre aux visages » face au Centre culturel, des « Dessins spatiaux » très tubulaires au milieu de l'étang des pêcheurs du parc Vansteenkiste ou encore le « Pêle-mains » près de la Mairie sans oublier « La femme assise » d'Eugène Dodeigne au Blanc-Four.
Les techniciens ont également réalisé en mars dernier des travaux de regarnissage, de débroussaillage, de taille et de propreté. Lors d'une présentation à la presse le 11 avril, Rodrigue Desmet, Maire, en a profité pour rappeler l'importance de la propreté, l'objectif de cette année notamment le long de cette Boucle qui fait la part belle au respect de la Nature. Sachez que des sacs à déjections canines sont gratuitement à votre disposition à l'Annexe-Mairie et que vous pouvez les jeter après usage très facilement dans l'une des 127 poubelles réparties sur le territoire roncquois. |
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Le chantier de réhabilitation de l’école Neruda présenté à la Presse |
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Jeudi, 12 Avril 2018 10:59 |
 Depuis le 26 octobre dernier, la réhabilitation de l'école Neruda se poursuit à un bon rythme. Ce chantier qui va s'étirer jusqu'à la fin de l'année scolaire prévoit diverses étapes : mise en conformité de l'école (accessibilité, sécurité), et plus de confort thermique (isolation des plafonds et façades intérieures, traitement acoustique et phonique des classes et forum, stores extérieurs, ventilation double flux), acoustique… Le 11 avril, Rodrigue Desmet, Maire, présentait le chantier à la Presse, accompagnée de Peggy Robert, Adjointe au Patrimoine, et de Christophe Dumont, architecte de la Ville.
Depuis début 2018, les techniciens ont d'abord posé les nouvelles cloisons séparant les classes des couloirs et les plaquistes ont finalisé les murs. Les peintres et les poseurs de plafonds ont emboîté le pas, ce qui permet aujourd'hui de découvrir des classes réhabilitées pratiquement telles qu'elles se présenteront à la rentrée scolaire de septembre prochain.
Désormais, le chantier s'active au rez-de-chaussée où les travaux avancent bien du côté du préau couvert, des salles de classe ou de direction ainsi que du bloc sanitaire entièrement rénové. La tenue du calendrier se fait parfois au chausse-pied mais tout est prévu pour que cette réhabilitation soit terminée dans les délais. Le déménagement devrait d'ailleurs se dérouler dès le mois de juillet.
L'école Neruda inaugurée en 1975 offre une architecture classique, parfois un peu rigide. C'est pourquoi les 13 classes vont retrouver des couleurs selon une écriture de repères imaginée par Christophe Dumont, à savoir des zones blanches du côté de l'enseignement et des zones colorées du côté des enfants. Côté éclairage, les vieux tubes à néon d'hier laissent place à des éclairages LED. Des sols souples chausseront les salles de classe.
Chaufferie à granulés, préau sous forme d'arbres métalliques
A l'extérieur, près de l'entrée de la cuisine, l'ancienne chaufferie électrique cède la place à une chaufferie à granulés flambant neuve au coeur d'un jeu de cubes actuellement en construction. Les façades vont renouer avec la couleur brique d'antan – à l'instar de celle de la salle Catry – alors que le couronnement du bâtiment va arborer une nuance gris ciment pour redonner du caractère aux matériaux. Autre gros changement : l'entrée historique de l'école, du côté de la rue Pierre-Brossolette, va reprendre du service dès septembre.
Enfin, pour rompre avec l'univers très minéral de cet établissement, une végétalisation va apparaître avec la plantation de glycines, de lierre, et de tilleuls, à la fois dans la cour de récréation et jusqu'à l'extérieur avec un premier rideau devant le mur très rectiligne s'élevant face à la plaine du Lierre. Cerise sur le gâteau : un préau transparent constitué de trois arbres métalliques va faire son apparition devant ce qu'on a souvent appelé le préau intérieur.
Coût de l'enveloppe globale de ces travaux : 1,5 million d'euros TTC. |
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« L’actualité de votre ville » : un nouveau rendez-vous sur www.roncq.TV |
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Jeudi, 12 Avril 2018 09:26 |
 Voici le premier numéro d'un nouveau rendez-vous que vous propose le portail numérique de la ville, www.roncq.TV, directement accessible depuis la page d'accueil du site www.roncq.fr. Cet entretien TV sera régulièrement consacré à l'actualité de votre ville expliquée et commentée par le Maire, Rodrigue Desmet, ou l'un de ses adjoints.
Pour ce premier numéro, Rodrigue Desmet revient sur l'un des grands objectifs de ce mandat, à savoir la sécurité. Vidéo protection, formation et renforcement de la Police Municipale sont au coeur de cet objectif pour apporter plus de sérénité et de tranquillité dans votre ville.
Vous pourrez retrouver ce rendez-vous à raison d'un entretien tous les deux mois sur deux thèmes variés et essentiels à la vie de la collectivité roncquoise. Le prochain rendez-vous sera consacré à la présentation du projet d'habitat innovant pour les seniors sur le site du 377 rue de Lille avant un autre entretien lié à la cure de jouvence du Bois Leurent (aire de jeux pour les enfants, étang réhabilité, retour de l'hippopotame rose…). N'hésitez pas à devenir des fidèles de ces entretiens TV pour une meilleure compréhension de ce que la Ville met en oeuvre pour vous. |
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Défibrillateurs : une application pour optimiser leur utilisation |
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Mardi, 10 Avril 2018 16:09 |
 Depuis 2006, la ville de Roncq a répondu au projet « Défi-brillateurs », comme de nombreuses villes qui s'équipent de défibrillateurs automatiques pour les mettre à disposition dans les lieux publics tels que les stades, les salles de sport ou polyvalentes, les écoles… de quoi rassurer la population quand on connaît l'importance de ces appareils. Pour s'en convaincre, il faut savoir que le taux de survie était de 20 à 50% en 2012 quand il n'était que de 2 à 4% cinq ans plus tôt alors que les défibrillateurs n'étaient pas encore massivement installés dans l'espace public.
Voici les points d'installation des 11 défibrillateurs : rue Casanova, ancien commissariat, salle Catry, complexe Guy Drut, salle Jules-Gilles, Hôtel 1ère classe sur le CIT, au JAB, au CTM, au groupe scolaire des Chats-Huants, près de la boulangerie Masil au Blanc-Four, à l'entrée du complexe sportif J. Bats, au Pied-de-Boeuf près du poste électrique. N'hésitez pas à avoir le réflexe de l'utiliser pour un arrêt cardiaque.
N'hésitez pas à télécharger l'application Sauv Life qui permet de gagner de précieuses secondes lors d'un arrêt cardiaque qui tue 40 000 personnes en France chaque année. Les chances de survie ne sont en effet que de 4%. Et la survie diminue de 10% par minute sans massage cardiaque alors que les secours arrivent en moyenne au bout de 13 minutes. Seule une action immédiate d'un citoyen permet de sauver des vies. Lancée le 13 mars dernier, cette application est un système de géolocalisation pour une intervention plus rapide en cas d'arrêt cardiaque (Lisez le mode d'emploi sur le visuel joint dans l'album photos).
Vous pouvez télécharger gratuitement l'application Sauv Life depuis votre Appstore et le Google Play |
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« Fraternités : comment en parler ? » : Jean-Claude Demessine rencontre les enfants |
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Mardi, 10 Avril 2018 11:05 |
 Nouveau temps fort du projet « Fraternités » co-construit par le service Education de la Ville et la circonscription Tourcoing/Roncq de l'Education Nationale : les enfants de 11 classes de CM1 mais aussi de CM2 rencontrent Jean-Claude Demessine, l'auteur de l'ouvrage pour la jeunesse « Deux brèves de guerre ». Les questions fusent et les réponses circonstanciées de M. Demessine émeuvent les enfants. Rodrigue Desmet, Maire, Arnould Vanderstuyf, Inspecteur de l'Education Nationale, et Martine Drodzinski, Conseillère pédagogique, ont assisté à l'une des interventions de M. Demessine.
Loin de son travail d'enseignant à l'IUT de Valenciennes, Jean-Claude Demessine, 61 ans, replonge dans son enfance auprès de son grand-père Maurice né en 1904. Après avoir lu et travaillé sur son ouvrage « Deux brèves de guerre », les élèves ne manquent pas d'interpeller l'auteur pour mieux comprendre le vécu de cette période pendant la seconde guerre mondiale. « Quand mon grand-père m'a raconté son histoire, c'était tellement captivant que j'ai oublié de prendre des notes, ce que j'ai fait après », se souvient-il. Maurice habitait à Pérenchies et il menait durant la seconde guerre mondiale des actions de résistance, trop âgé pour pour être soldat. Dénoncé, il a été déporté à Dachau, en Autriche, embarqué en 1944 dans le funeste dernier train de Loos. Libéré par les Américains en 1945, il est rentré dans un état physique abominable, ne pesant plus qu'une trentaine de kilos, contraint de manger à la fin de sa captivité la paille sur laquelle il dormait dans le camp.
Mais l'histoire du livre se déroule à Marcq-en-Baroeul, dans une ferme au carré située à l'emplacement de l'actuel hippodrome. Il évoque la ronde des pains, les privations et les réquisitions au coeur d'une région durement éprouvée et fortement bombardée. Jean-Claude Demessine a cherché à honorer la mémoire de son grand-père en essayant d'intégrer la Marine nationale et ainsi devenir militaire. « On a cherché à donner un métier à ceux qui revenaient des camps », reprend-il, « mon grand-père est ainsi devenu couvreur et a notamment réalisé le coq de l'église de Pérenchies ». Jean-Claude Demessine a été profondément marqué par le martyre de son grand-père en déportation et qui décèdera bien plus tard, à 75 ans. « Quand on déjeunait avec lui le dimanche, à un moment son regard furetait comme s'il était en danger et, brutalement, avec son doigt il ramassait toutes les miettes de pain abandonnées sur la table ». Cette seule remarque en dit long sur l'impossible retour à une vie normale de son grand-père qui, avant d'être déporté, ne comprenait pas pourquoi la fraternité n'était pas une règle pendant la guerre. (Reportage Patrick Bonte)
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