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Musiques sous les étoiles : joli succès de ce festival ! |
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Vendredi, 22 Juin 2012 17:03 |
 
Pour sa 4ème édition, le festival « Musiques sous les étoiles » s'est adressé jusqu'au 1er juillet à un public séduit par sa formule décomplexée, à savoir une grande qualité interprétée par des interprètes de renom dans un parc public, loin des salles de concert. Cette recette magique a trouvé son auditoire. Vous avez été plus d'un millier à assister aux différentes prestations proposées.
Le 28 juin, vous étiez environ 250 personnes pour applaudir à tout rompre de jeunes talents nés à l'école de musique de Roncq, Corentin Billet, Fabian Flament, accompagnés de Léo Mahieux, Mathilde Candelier Flament et Corentine. Au répertoire: le trio de Johannes Brahms, Manhattan de Philip Sparke, L'île joyeuse de Claude Debussy et une Nocturne de Franz Strauss. La prestation de haute volée a illustré la maîtrise, la virtuosité et la justesse de ces talents appelés à devenir de brillants solistes ou à intégrer des orchestres philharmoniques!
Lors de la seconde soirée, le 29 juin à 21h dans le parc des Anciennes Ecuries (entrée gratuite), quelques gouttes de pluie ont accompagné Barbara Ducret, une artiste lyrique, espoir au MIDEM, qui a présenté un répertoire français, de Bizet à Satie, quelque peu décalé !
Samedi 30 juin, le trio de guitaristes issus de l'Ecole Municipale de Musique de Roncq, Accords Guitar Trio (où figure Simon Debisschop, professeur à l'Ecole de Musique de Roncq), a dû affronter la pluie pour emmener le public dans un voyage allant de Vienne à Séville. Du coup, leur prestation s'est repliée au rez-de-chaussée des Anciennes Ecuries et a eu pour cadre les toiles de Robert Combas !
Simon Fache, pianiste multi-instrumentiste, a régalé son auditoire venu nombreux - environ 300 personnes - dimanche 1er juillet. Sa prestation quelque peu décalée, voire déjantée ou loufoque, a démystifié la musique de conservatoire en plaçant sur un même niveau Mozart, Debussy, Annie Cordy et bien d'autres ! Un vrai tour de force de la part de Simon Fache qui a réussi l'exploit de diriger le public dans une symphonie aussi figurative que fantaisiste composition baptisée "La mer", et même de composer une oeuvre avec le public savamment intitulée "Jambon à la manière de Debussy"! Et on vous fait grâce de sa réécriture de l'histoire de Blanche Neige et les sept nains!
Bref, de la musique populaire à la portée du plus grand nombre, telle est l'ambition de cette manifestation qui s'achèvera le 14 juillet. La fête Nationale devrait attirer environ 10 000 personnes au parc Vansteenkiste avec la venue de Catherine Lara !
Visualiser l'album photo complet.
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Défi culture pour les écoles Jaurès, Curie et Picasso |
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Vendredi, 15 Juin 2012 16:27 |
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Après la maternelle Kergomard et la primaire Pergaud en avril, c'était au tour des écoles Marie-Curie (la section des grands de Mme Maertens), Jean-Jaurès (les CP de Mme Marousé) et Pablo-Picasso (la section des grands de Mme Coget) de se prêter sur le thème de la gourmandise au Défi culture le 15 juin, dans la grande salle d'activités de l'école maternelle publique du Blanc-Four. Avec un même objectif : sensibiliser les enfants à la lecture, à l'écriture et aussi à l'apprentissage de l'anglais !
A cette occasion, des jeux divers (Trivial Pursuit, jeu de l'oie, dominos…) ont été confectionnés par les enfants qui ont été amenés à rencontrer leurs homologues d'autres établissements scolaires autour de ce projet. Cette action, menée en partenariat avec l'Inspection de l'Education Nationale, s'est étalée durant toute l'année scolaire.
Comme le mentionne Martine Drodzinski, conseillère pédagogique, « ce défi répond à des objectifs pédagogiques, développer la mémoire, la lecture, la compréhension… pour ce faire, les enfants ont créé des livres développant des histoires à partir de photos, de personnages et de textes ». Ces livres s'appellent « La fée gourmande », « Le petit chaperon blanc », « La grenouille à grande bouche », etc.
On retiendra aussi la participation de parents à ce Défi culture, les jeux en anglais élaborés avec Sophie Vanswynsberghe et Valérie Dizy, intervenantes en anglais précoce pour la Ville de Roncq. |
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Dunkerque, Oignies et Roncq : la vigueur des OAC ! |
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Vendredi, 08 Juin 2012 16:24 |
 
 
 
 
Trois orchestres à l'Ecole et au Collège de Roncq, Oignies et Dunkerque se sont donné rendez-vous le 8 juin, salle Catry. Il s'agissait en fait du 3ème échange entre ces villes qui ont adopté cette formule d'apprentissage de la musique à l'oreille - sauf pour celui de Dunkerque qui joue sur partition - enseignée au sein même des établissements scolaires par des intervenants musicaux : le collège Eluard et l'école Jaurès à Roncq sous la houlette de Denis Couvreur, l'école Brossolette à Oignies et le collège Lucie-Aubrac à Dunkerque.
Cette fois, après avoir été accueilli à Oignies et Libercourt, l'OAC de Roncq recevait à domicile, à savoir salle Catry. Les jeunes Roncquois ont entamé le concert qui s'est déroulé en présence d'élèves de primaires des écoles St-Roch, Neruda et St-François, et du passage amical de Vincent Ledoux, Maire, d'élus, André Varlet, adjoint à l'éducation et à la jeunesse, Claudine Zahm et Chantal Nys, conseillères de quartier.
Les interprétations toujours impressionnantes ont été variées : « Jaurès Song », « I'm feeling good », « Thriller »… pour les Roncquois, « The wall »… pour Oignies en configuration de Brass band et des variations plus étoffées pour les Dunkerquois avec des pupitres de cordes et de bois. Un moment étonnant qui a valorisé aussi bien les jeunes musiciens en devenir que leurs enseignants ! |
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Animation autour de la mode à la Bibliothèque |
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Lundi, 04 Juin 2012 15:35 |
 
Le 4 juin, une petite animation autour des livres portant sur le thème de la mode s'est déroulée à la Bibliothèque municipale. Ainsi, Françoise Lesaffre, jeune octogénaire, a pu témoigner de la mode vestimentaire il y a plus d'un demi-siècle, quand elle était sténo-dactylo chez PJT à Tourcoing. « Nos parents tricotaient beaucoup », se souvient-elle, « on ne portait les nouveaux habits que le dimanche, on reprisait et on rapiéçait pour faire durer les vêtements. On portait un chapeau pour se rendre à la messe dominicale. »
Sur le plan professionnel, Françoise se souvient des règles drastiques appliquées dans son entreprise : « il n'était pas question pour les femmes de porter un pantalon et il fallait revêtir une blouse durant le temps de travail. » Odile Courbois, directrice de la Bibliothèque Municipale, a sorti divers ouvrages du rayon mode faisant état de diverses collections de vêtements comme de magnifiques robes de mariées présentées lors des noces et un demi-siècle plus tard ! |
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Les musiques du monde ont donné de la voix ! |
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Lundi, 04 Juin 2012 15:33 |
 
 
Le 8 juin à l'église Saint-Piat, le département Voix de l'Ecole Municipale de Musique a proposé une audition exceptionnelle avec la participation de diverses chorales : celle des enfants de l'Ecole de Musique sous la direction de Murielle Vandenouc, celle des classes de CE2 et CM1 des écoles Pergaud et Brel dirigée par Magalie Sonneville, l'ensemble vocal adultes de l'Ecole de Musique placée sous la direction de Pierre Vanhoenackere, les élèves de la classe de chant, soliste, duo ou en ensemble. Des costumes ont magnifié des chants au diapason, le public venu nombreux a été gratifié de l'excellence de l'apprentissage musical à Roncq;
Au programme : Musiques du monde, chants lyriques, classiques, Gospel, autant de répertoires accompagnés au piano par Véronique Wdowiak avec la participation de musiciens de l'Ecole de Musique. Des lithographies de l'artothèque municipale ont été exposées à l'église Saint-Piat pour l'occasion. |
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Le « tatouage académique » vu par les enfants |
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Jeudi, 24 Mai 2012 16:14 |
 
 
Dans le cadre du programme municipal des « Arts visuels à l'école », les enfants ont travaillé au cours de ce dernier trimestre sur le « tatouage académique » de Robert Combas. Sous la conduite de Judith Debruyn, plasticienne pour la Ville de Roncq, ils exposent aux Anciennes Ecuries des tatouages « à la manière de Combas » réalisés à partir de deux oeuvres graphiques de l'artiste: « Terrible ! De dos. Le derrière au dessinage en tatouages » et « L'ange au chignon et Katogan et plumessekateur ».
Les enfants ont réalisé des dessins en noir et blanc et inventé des signes en s'inspirant des tatouages maori. Ils ont également repris à la manière de Combas des silhouettes sur des grands formats. Toujours à partir de Combas, ils ont dessiné des tatouages au henné pour restituer l'univers si singulier du grand artiste français dont une quarantaine d'oeuvres seront exposées du 15 juin au 27 juillet sur les cimaises des mêmes Anciennes Ecuries. "C'est un remarquable travail de perception de l'oeuvre de Combas", s'est félicité Vincent Ledoux, maire de Roncq. De leur côté, la CLIS de l'école Pergaud et la classe de CE1 de l'école Neruda ont façonné des mains et des torses en terre.
Du 4 au 8 juin, restitution aux Anciennes Ecuries des travaux d'enfants sur le « tatouage académique » de Robert Combas. Ouverture aux horaires scolaires, de 9h à 11h30 et de 14h à 16h (sauf le mercredi) |
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Les histoires picturales de Frédéric Catrice |
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Lundi, 07 Mai 2012 16:53 |
 Autodidacte, âgé aujourd'hui de 48 ans, Frédéric Catrice peint depuis l'âge de 20 ans. Tous les arts l'intéressent, peinture, musique, poésie. Il a fait évoluer sa peinture figurative vers des représentations oniriques, voire « conceptuelles ». Ses guides inspirés s'appellent Jim Morrisson ou Jacques Brel et son peintre préféré Marc Chagall. Il présentera des toiles d'une facture classique qui, toutes, racontent une histoire. « C'est du vécu », reconnaît Fabrice Catrice qui se dit nostalgique de l'enfance comme de la complicité amoureuse.
Du 12 mai au 23 juin, exposition d'oeuvres de Fabrice Catrice aux heures d'ouverture de l'Annexe-Mairie |
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Les meetings politiques dans l’objectif de Thierry Thorel |
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Mercredi, 02 Mai 2012 08:26 |
 
Un bac pro en poche, il aurait aimé devenir Journaliste Reporter d'Images. La vie en a décidé autrement. Thierry Thorel, 40 ans, a pratiqué divers métiers, dans le sport - entraîneur de handball au Club Omnisport Wattrelosien - dans le bâtiment ou la mécanique (voitures, poids-lourds, espaces verts).
Mais le temps n'a pas eu de prise sur la passion : quand il avait huit ans, son père lui avait offert un appareil-photo argentique… Il y a quelques années, il s'est rapproché des univers professionnels plus conformes à ses désirs d'enfant : presse écrite, agences de presse… Il y a un an, il a créé son activité d'auteur-photographe. Dans le même temps, il travaille pour trois agences de presse. Il est également correspondant pour le journal Nord-Eclair depuis 2008 et pigiste pour la ville de Roncq depuis 2009.
Discret, efficace, respectueux, animé d'une éthique sans faille, Thierry Thorel n'oublie jamais le message véhiculé par chaque photo. « Je vais aussi bien capter le quotidien des gens que le coeur de l'événement », souligne-t-il.
Depuis près d'un an, il a suivi dans la région les meetings qui rythment la campagne pour l'élection présidentielle, depuis les primaires socialistes jusqu'au premier tour. Il en a ramené des images fortes exprimant la liesse des militants, les multiples jeux d'expression des candidats, l'ambiance survoltée de salles qu'on croirait dédiées à des shows.
Thierry Thorel a choisi d'exposer ces instantanés, éclats iconographiques de meetings haletants. Rien n'est figé, rien n'est silencieux dans cette galerie de photos sur papier glacé qui vibrent d'émotion, de conviction. Et qui révèlent un regard singulier.
Du 5 mai au 30 juin, à l'Annexe-Mairie, les meetings politiques dans l'objectif de Thierry Thorel |
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Une comédienne professionnelle à l’école Pergaud |
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Jeudi, 19 Avril 2012 18:15 |
 
Camille Elleboudt, comédienne professionnelle et metteur en scène, était le 19 avril dans la classe de CE2/CM1 d'Hélène Verpoorten à l'école primaire Pergaud. Lors de quatre séances d'une heure trente, la comédienne a offert aux enfants la possibilité de mimer des expressions, de jouer des saynètes et même d'interpréter un extrait de « Mamie Ouate en Papouâsie » !
Ce projet est la suite de l'action menée par la Ville et le Grand Bleu - avec « Mes souliers de plomb » en 2011, salle Catry - dans l'approche du théâtre contemporain. Hélène Verpoorten a été enthousiaste et a accepté que sa classe travaille sur ce projet mis en place par THEA, une coopérative qui rassemble des comédiens, des techniciens, des enseignants, des metteurs en scène et qui permettent aux plus jeunes de recevoir des conseils particulièrement avisés.
Le point d'orgue se déroulera le 11 juin avec une rencontre théâtrale organisée entre différents établissements scolaires de Roncq, Neuville-en-Ferrain et Tourcoing. De quoi susciter une vraie dynamique à partir de textes contemporains ! |
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