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Une auteure pour enfants à l’école Saint-François Imprimer Envoyer
Jeudi, 16 Mars 2017 16:06
livre3-vignetteSuite à l'inscription au concours des écoles organisé dans le cadre du salon du livre de Bondues qui se déroulera les 18 et 19 mars prochains salle Poher (près de l'accès au Musée du Fort), l'auteure Anne Théréné s'est rendue le 14 mars à l'école Saint-François auprès des enfants de moyenne section de maternelle de Madame Coralie. Elle a présenté aux enfants ses albums.
Elle a d'abord raconté l'histoire intitulée « Nicolas compte les moutons » à partir de marionnettes originales et d'un tablier. Puis elle a présenté deux personnages à travers des marottes. Enfin, elle a lu à travers un kamishibai deux histoires : « C'est mon papa le plus fort ! » et « Clémentine veut vendre sa maman ».
Les élèves de la classe sont impatients de connaître les résultats du concours placé sur le thème « Nous rêvons, nous rêvons… Ah ! si nous étions… ». Il faudra encore attendre jusqu'à dimanche ! Précisons que plusieurs classes des écoles Jacques-Brel et Pablo-Néruda participent également à ce concours pour lequel les enfants doivent réaliser un véritable ouvrage sans être hors sujet.
Plus d'infos sur le salon du livre de Bondues en cliquant ici
 
Didier Delitte, artiste villeneuvois, à la rencontre des enfants des TAP Imprimer Envoyer
Mardi, 14 Mars 2017 18:20
delitte6.jpg-vignetteLes élèves des écoles publiques qui fréquentent les TAP (Temps d'Activités Périscolaires) peuvent rencontrer du 14 au 23 mars un artiste de Villeneuve d'Ascq, Didier Delitte. Il était ainsi le 14 mars à l'école Neruda. Ce dinandier d'art travaille sur des plaques de bronze de Florence. Il y imprime divers motifs (personnages, animaux…) avec un savoir-faire digne du petit bricoleur. Cela tombe bien, c'est le thème du cycle actuellement développé au sein des TAP. Les enfants ont été impressionnés par le travail d'un tel matériau qui nécessite l'usage d'outils lourds comme le marteau. Bien évidemment, les enfants ont observé sans réaliser eux-mêmes ce travail très particulier. Didier Delitte réalise également des bijoux pour vivre de son activité. Il a profité de l'occasion pour en présenter quelques-uns aux enfants. De quoi susciter des vocations artistiques.
Didier Delitte exposera du 1er au 9 avril prochains aux Anciennes Ecuries à l'occasion de l'exposition annuelle des Artistes Roncquois sur le thème "Le médiéval, la chevalerie et les rapaces".
 
Clément Pimenta intègre le Conservatoire de Paris à 15 ans ! Imprimer Envoyer
Mardi, 14 Mars 2017 13:23
Clement3-vignetteCe Roncquois talentueux et prometteur fait partie des deux plus jeunes musiciens (au violon alto) à avoir réussi en février dernier le concours d'entrée au 1er cycle supérieur - l'équivalent de la licence – du Conservatoire National Supérieur de musique et de danse de Paris. Il a obtenu ce succès à l'unanimité du jury (l'équivalent de 20/20), lors des deux tours des épreuves au choix et imposées à l'issue desquels seulement 5-6 candidats sur les 40 ont été admis. Déjà, en décembre dernier, il était revenu du concours national des jeunes altistes qui s'est déroulé à Caen avec un prix spécial du jury, de quoi renforcer sa confiance et son estime de soi avant de subir la terrible pression du concours d'entrée au CNSMPD. Clément Pimenta veut faire de sa passion sa profession en franchissant les étapes les unes après les autres.
Sa maturité impressionne autant que son talent précoce. Déjà, en 2012, tout juste âgé de 10 ans et après trois années de formation musicale au sein de l'Ecole Municipale de Musique de Roncq et une autre année au Conservatoire de Lille pour parfaire cette formation, il avait terminé 1er du concours national de l'association des Petites Mains Symphoniques. Le temps d'écumer quelques scènes prestigieuses (Palais des Congrès, Olympia) et de vivre deux années exceptionnelles au sein de cet orchestre national des Petites Mains Symphoniques. Lui qui doit cette passion à sa grand-mère mélomane ne veut pourtant pas brûler les étapes et préfère saisir les opportunités quand elles se présentent. Sans oublier les précieux enseignements et conseils de ses professeurs à qui il rend hommage, Virginie Jacquin à l'EMM de Roncq, Juliette Danel au Conservatoire de Lille.

Un énorme relâchement après deux mois d'intense préparation

Ses choix ont été très vite guidés exclusivement par cette « envie » d'être un violoniste professionnel. Il a d'abord rejoint le collège Carnot à Lille pour poursuivre une formation aménagée entre études musicales et cursus scolaire. Dans le même temps, il a obtenu son second cycle musical et son cycle d'Enseignement Professionnel Initial (CEPI) au Conservatoire de Lille. « Mon parcours a été motivé par cette volonté d'entrer au Conservatoire de Paris », reconnaît-il.
Pendant deux mois, il a préparé assidûment le concours de Paris. Et, du 5 au 15 février dernier, il a interprété une pièce d'Enesco et une étude devant un 1er jury, puis deux mouvements d'une suite de Bach et une élégie devant un autre jury, forçant l'admiration. Sans oublier le déchiffrage rapide d'une partition avant son interprétation. « J'étais très heureux de ce succès, c'était surtout un énorme relâchement après deux mois d'intense préparation, la pression a été énorme », se souvient-il.
En septembre prochain, il intégrera le firmament de l'apprentissage musical. Avec déjà de nouveaux défis qui se présentent à lui, à savoir rallier la capitale pour envisager un bac technologique adapté (Travail de la Musique et de la Danse) au lycée Lamartine et un logement sur place. « Je suis obligé d'avoir mon bac pour obtenir ma licence en alto, reste à savoir si je poursuis dans une filière générale ou technologique, rien n'est encore fixé ». A cela s'ajoutent des coûts élevés – pas moins de 10 000 euros pour acquérir un violon alto professionnel – sans pouvoir espérer d'aides financières comme le confirme Cécile, sa maman. Mais Clément a conscience d'avoir franchi le plus dur, d'avoir accompli son rêve tout en faisant la fierté des structures qu'il a fréquentées comme l'Ecole Municipale de Musique de Roncq. « Je voulais qu'il s'épanouisse en dehors de son parcours scolaire, par la musique ou le sport », confie sa maman comblée.
 
Sa majesté Carnaval s’invite à la Bibliothèque Imprimer Envoyer
Mercredi, 01 Mars 2017 16:42
carnavalbiblio6.jpg-vignettAmbiance festive et créative le 1er mars à la Bibliothèque municipale où, le temps d'un après-midi, s'est invitée sa majesté Carnaval. Pour cela, et dans le cadre d'une reprise des animations suite à une réorganisation, les fonctionnaires qui encadrent cette structure culturelle ont joué le jeu en se grimant eux aussi.
Au menu de ce temps fort qui a vu passer plusieurs groupes de dix enfants : lecture de contes par Rose-Marie Buchet, Conseillère municipale, réalisation de masques avec Sabine et Marie-Noëlle, grimages assurés par Sonia. L'ambiance était au rendez-vous dans ce lieu plus habitué à la sérénité suscitée par la consultation des livres.
Prochains rendez-vous pour les enfants de 4 à 10 ans : formation secourisme les 15 et 22 mars ainsi que les 26 avril et 3 mai, « Des oeufs dans le jardin »le 5 avril, « On fête nos mamans ! » le 24 mai, « Mon père mon héros » le 14 juin. Mais attention, ces ateliers destinés à des groupes de dix enfants au maximum affichent déjà complet. Le succès est au rendez-vous !
 
Le chef d’orchestre Stéphane Denève prolonge à Philadelphie Imprimer Envoyer
Mercredi, 08 Février 2017 17:48
deneve-vignetteInvité de l'Orchestre de Philadelphie depuis dix ans, Stéphane Denève voit son contrat être officiellement prolongé de trois ans supplémentaires au cours desquels il dirigera au moins trois concerts avec l'ensemble.
"Cela ressemble à un deuxième mariage," assure le Roncquois Stéphane Denève. Cela va lui permettre de poursuivre la programmation de ces trois dernières années avec notamment John Williams. La complémentarité avec son rôle à la tête du Phlilharmonic de Bruxelles est également toute trouvée quand on sait que, dans le cadre de son travail au sein du Centre pour le Futur Répertoire Orchestral (base de données numériques regroupant l'ensemble des oeuvres symphoniques créées depuis l'an 2000), il pourra continuer à travailler avec des compositeurs comme Jennifer Higdon qui est basée à Philadelphie. « Beaucoup de bonne musique est écrite aujourd'hui », reconnaît-il.
Il attend aussi avec impatience des collaborations avec le théâtre de Philadelphie et des organisations de danse. "J'aime le Musée de Philadelphie, j'adore la Fondation de Granges," reprend-il, "il y a un siècle à Paris vous aviez des artistes différents dans des salons et cela nous a mené à un âge d'or de la création. »
 
Michel Bonte, ou la truculence picturale aux Anciennes Ecuries Imprimer Envoyer
Mardi, 07 Février 2017 18:34
Bonte_vignetteSes toiles aux glacis colorés étonnants semblent avoir pris racine dans l'imaginaire décalé des Brueghel ou Jérôme Bosch, mêlant tradition flamande, perfection de la lumière, ironie des personnages et technique incomparable. Michel Bonte, originaire de Roubaix et mécanicien de métier, exposera une cinquantaine de toiles en octobre 2017 aux Anciennes Ecuries, dans ce petit musée de la métropole qui rayonnera alors des oeuvres d'un artiste autodidacte au parcours aussi singulier que son travail.
Michel Bonte mêle comme personne singularité et tradition dans sa quête picturale aux accents flamands. Le don de la peinture est venu à lui naturellement quand il était enfant, recopiant alors des gravures. Dans sa coquette maison en lisière du Lierre – quartier où il est revenu après avoir restauré une fermette dans le béthunois – il a aménagé une petite galerie où des portraits peints d'après modèles vous observent parfois de façon moqueuse. D'un côté sa toile « La rumeur » bruisse des vanités de la gente humaine, de l'autre la somptueuse « Nef des fous » a des allures d'arche de Noé à la dérive entre mer et ciel, terre et feu. Tout l'univers de Michel Bonte est ainsi résumé, d'inspiration littéraire et philosophique, en y ajoutant des portraits d'un autre temps.
 
"J'aime transformer les choses, avec un peu de folie"

Tout a commencé par l'aquarelle figurative – avec des personnages - dans les années 70 avant que le démon créatif ne l'habite. Il a eu envie de peindre, une passion qui l'accompagne toujours aujourd'hui. Il réalise son premier coup de maître à la galerie Schèmes à Lille où il dépose ses premières oeuvres. Il écumera ensuite nombre de galeries françaises - de Paris (place Beauvau, Vendôme…) à Cannes en passant par Rouen - et internationales (Bruxelles, Le Caire…) et, durant ses quatre décennies de production il vendra environ 300 toiles.
Mais cet artiste se définit d'abord comme un artisan, travaillant l'huile avec un oeil exercé d'aquarelliste. « Il faut peindre des sujets qui racontent des histoires, qui expriment des sentiments mais j'aime aussi pirouetter les choses, la rue est un spectacle, j'aime transformer les choses, chaque chose peut être vue différemment que ce qu'elle est, avec un esprit un peu fou », confie-t-il. Les lumières sont fascinantes et contrastées, vives et ténébreuses, la technique des glacis qui consiste à superposer plusieurs couches de vernis est venue à lui presque par hasard, « cette technique laisse passer la lumière à travers les pigments des peintures ». « Ce qui est important, c'est de trouver des idées », assure-t-il, ce que corrobore son épouse Ghislaine.
Sous un discours rompu, se dissimule néanmoins chez Michel Bonte une sensibilité à fleur de peau, un perfectionnisme sans faille. Ses toiles ont du caractère comme leur auteur qui aime conjuguer gaieté et mélancolie, incandescence et patience. Comme si cela ne lui suffisait pas, Michel Bonte se révèle aussi être musicien comme son épouse, ayant rejoint le groupe « Cantrainne ». Leurs instruments sont aussi singuliers que la peinture de l'artiste, nyckelharpa pour Michel – sorte de grand violon à touches - et vielle à roue pour Ghislaine. Histoire de donner davantage de souffle à une peinture qui a du corps et de l'âme. (Photos Thierry Thorel)
Exposition d'une cinquantaine d'oeuvres de Michel Bonte aux Anciennes Ecuries en octobre 2017.
 
59èmes Grammy Awards : une nomination mais pas de trophée pour Stéphane Denève Imprimer Envoyer
Lundi, 23 Janvier 2017 18:36
deneve-vignetteLa cérémonie des 59èmes Grammy Awards s'est déroulée le 12 février 2017 au Staples Center de Los Angeles aux Etats-Unis et a été retransmise en direct sur la chaîne CBS. Depuis leurs débuts en 1959, les Grammy Awards sont devenus l'un des événements les plus prestigieux du calendrier musical mondial. Et parmi les nominés français à cette 59ème cérémonie des Grammy Awards, figurait un Roncquois, en l'occurrence Stéphane Denève, chef de l'orchestre philharmonique de Bruxelles. Il concourait dans la catégorie « Meilleur solo instrumental classique ». Hélas, il n'a pas remporté de trophée mais une très belle satisfaction d'avoir été nominée.  
Originaire de Roncq, c'est tout naturellement que Stéphane Denève a accepté la direction du Brussels Philharmonic il y a moins de deux ans après avoir dirigé l'orchestre de la radio de Stuttgart en Allemagne ou encore le Royal Scottish National Orchestra à Glasgow. « Il y eut un premier concert qui fut un coup de foudre et je ne pouvais qu'accepter, d'autant que, derrière, se profilait l'opportunité de réaliser mon rêve artistique, le Centre pour le Futur Répertoire Orchestral, soit une base de données numériques regroupant l'ensemble des oeuvres symphoniques créées depuis l'an 2000, accessible à tous et partout ».
Agé de 44 ans, Stéphane Denève est devenu l'un des grands chefs d'orchestre français reconnus pour leur rayonnement international. Après avoir fait ses gammes à l'Ecole Municipale de Musique mais aussi au sein de la Philharmonie de Roncq, puis après être entré au Conservatoire de Tourcoing avant de sortir diplômé et lauréat du Conservatoire de Paris, Stéphane Denève a dirigé les plus grands orchestres que compte la planète, du Philharmonique de Munich à celui de Los Angeles en passant par l'orchestre symphonique de Londres et bien d'autres, de Vienne à Edimbourg.
 
Théâtre Mandragore : et si c’était à refaire ? Imprimer Envoyer
Dimanche, 15 Janvier 2017 18:59
Theatre-vignette-bisLa troupe du théâtre Mandragore et ses 20 ans d'existence a repris à son compte une comédie de Laurent Ruquier, « Si c'était à refaire », à la salle Catry les 14 et 15 janvier. Histoire de produire d'abord de la bonne humeur dans un hiver glacé. Devant des publics fournis, le spectacle percutant a mis en scène des situations diverses et variées au coeur d'une clinique qui pratique la chirurgie esthétique, bref de quoi amener une cascade de gags et autres quiproquos. Autant de moments de vie proposés par des comédiens amateurs qui, visiblement, prennent du plaisir et sont d'ailleurs toujours prêts à refaire… du théâtre ! (Photos Thierry Thorel)
 
TAP : apprendre à jouer d’un instrument en six semaines Imprimer Envoyer
Lundi, 12 Décembre 2016 18:04
tap-noel17-vignetteAvec Julie, tromboniste, et Géraldine, intervenante de l'Ecole Municipale de Musique, les enfants inscrits aux Temps d'Activités Périscolaires à l'école Brel ont appris à interpréter un « funk » en l'espace de six semaines. Ce travail d'orchestre à l'école avec de vrais instruments de musique, en l'occurrence des cuivres, a été rendu possible grâce à une méthode d'apprentissage par l'oralité et la mémoire que l'on doit à Jean-Jacques Metz, l'initiateur des orchestres à l'école. Car, avant même d'interpréter un morceau musical, il a fallu apprendre à tenir l'instrument, à sortir un son et à les associer. Cette initiation complète et rapide a été validée par un public d'élèves présent le 12 décembre et qui a même cru, à l'écoute du groupe de CM2, qu'il s'agissait d'un CD et non pas d'une interprétation en live. Le groupe de CE1 a lui aussi fait sensation.
 


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