 Bonjour Visiteur, voici votre newsletter Roncq info express du vendredi 29 novembres 2013 |
Gaspillage alimentaire : les enfants en cuisine !  La lutte contre le gaspillage alimentaire a repris durant cette année scolaire 2013/2014. Les enfants se sont pris au jeu, participent de nouveau à un challenge organisé entre les écoles et réalisent un montage vidéo, des jeux, quizz… ils ont même élaboré avec des animateurs cinq menus exceptionnels qui seront préparés par la cuisine centrale et servis avant fin juin 2014. En juin dernier, l’école Kergomard a remporté le trophée en maternelle et l’école Jaurès en primaire. Pour les récompenser, les enfants de l’école Jaurès participent en ce moment, par petits groupes de cinq, à des visites de la cuisine centrale installée à l’école Neruda, sous la conduite de son gestionnaire, Eric Viard. Equipés d’une tenue de cuisinier, ils refont le circuit quotidien de la production des repas, depuis la livraison des denrées jusqu’au SAS de départ, ce que l’on appelle la « Marche en avant ». Au programme : visite des différents locaux - magasin, conditionnement, zones froide et chaude, SAS de départ, lavage de la vaisselle, chargement des camions de livraison - questions et collation (chocolat chaud et petites brioches préparés par le chef Christophe). « Ils ont été impressionnés par le nombre de repas servis chaque jour, 1150 pour les scolaires, 1300 avec les repas des seniors », témoigne Eric Viard, « la taille des ustensiles, les sauteuses… a eu également de quoi les interpeller ». |
Resto du Cœur : un public très féminin  La nouvelle campagne d’hiver du Resto du Cœur, en partenariat avec le CCAS de la Ville, a démarré le 26 novembre au LCR des Deux Clairières sur fond de malaise social. 36 familles étaient inscrites dès l’ouverture, un nombre qui va évoluer pour sans doute approcher la soixantaine en fin de campagne, comme ce fut le cas en mars dernier avec 57 familles bénéficiaires. Familles monoparentales, retraités, travailleurs pauvres, étudiants constituent l’essentiel du public très féminin qui se rend deux fois par semaine au local de la rue de Lille où leur est réservé un accueil chaleureux (café, gâteaux…). Stéphanie, 47 ans, vit seule avec deux enfants à charge et vient de quitter son emploi à temps partiel pour bénéficier de droits auxquels elle ne pouvait pas prétendre. Une nouvelle approche qui passe nécessairement par le Resto du cœur pour joindre les deux bouts. Patricia, 50 ans, doit quant à elle vivre avec moins de 1000 euros avec deux enfants à charge. Emilie, 29 ans, est titulaire d’un Master 2 en ingénierie de formation (Bac +5). Elle vit avec le RSA et suit une formation non rémunérée. « J’aimerais bien trouver un travail dans l’animation socio-culturelle, il me reste actuellement 300 euros mensuels pour vivre », témoigne-t-elle. L’équipe fidèle des douze bénévoles placée sous la responsabilité de Régis Ferret doit veiller davantage à la distribution des denrées en raison des quotas fixés par la commission européenne. Deux référents (santé et emploi) proposent d’autres services : bilan de santé à l’hôpital Dron, orientation des bénéficiaires vers un médecin, mais aussi vers le CCAS de la Ville, Pôle Emploi ou des entreprises du secteur, sans oublier la distribution prisée des vêtements offerts par de généreux donateurs. « Des boulangers roncquois offrent également des pains », ajoute Régis Ferret. Resto du Cœur de Roncq, LCR des Deux Clairières, 481 rue de Lille, inscriptions sur place durant toute la campagne d’hiver. Deux distributions sont assurées chaque semaine, le mardi et le vendredi de 9h à 11h au LCR des Deux Clairières. Renseignements au 06 37 85 10 56 ou au 03 61 50 67 92 |
Festivités de Noël : du 5 au 8 décembre
Voici le programme des animations prévues dans le Centre-Bourg: Marché de Noël avec plus de 50 exposants, place Jean-Jaurès et salle Catry, du jeudi 5 au dimanche 8 décembre, de 17h à 20h les jeudi et vendredi (soirée sandwiches raclette et bières de Noël sous chapiteau le vendredi de 17h à 21h), de 10h à 20h le samedi, de 10h à 18h le dimanche ; Fête de Noël le samedi de 17h à 20h ; concerts de Noël gratuits le vendredi à 19h (les élèves de l’Ecole Municipale de Musique), le samedi à 20h30 (conte musical avec des ,musiciens, le Brass-Band, les chorales enfants et adultes de l’Ecole Municipale de Musique), le dimanche à 12h (les classes de cuivres de l’Ecole Municipale de Musique). Marché de Noël du 5 au 8 décembre, concerts de l’Ecole Municipale de Musique les 6, 7 et 8 décembre, spectacles de rue le samedi 7 décembre, de 17h à 20h, dans le Centre-Bourg de Roncq. Entrée gratuite |
« Je grandis, tu grandis » : 800 arbres plantés !  « Planter un arbre, c’est faire un acte de foi, de confiance dans l’avenir », a souligné Vincent Ledoux, Maire, Vice-président de Lille Métropole, le 23 novembre salle Catry devant de très nombreux parents venus avec le petit dernier ou la petite dernière né(e) durant l’année écoulée. Cette manifestation symbolique – « Un arbre pour une naissance », a rappelé Sylvain Lamblin, conseiller municipal délégué à l’état-civil – renouvelée depuis 2001 grâce à l’initiative de Rodrigue Desmet, Premier adjoint, rencontre l’adhésion de parents à la recherche de symboles et de repères marquant la pérennité. Cette année, en plus des 750 arbres déjà plantés dans la commune, 51 naissances ont ainsi pris racine rue Gustave Charpentier, aux portes des Chats-Huants. C’est là que sorbiers, érables, aubépines, hêtres, noisetiers ou ormes ont été plantés pour incarner les adultes en devenir nés dans la commune. « Ce symbole est d’autant plus important que la forêt primaire est menacée alors qu’elle est essentielle à notre survie », a rappelé Vincent Ledoux, « un arbre, c’est en moyenne 600 mètres carrés de feuilles qui vont absorber du gaz carbonique et rejeter de l’oxygène. Et certains arbres sont âgés de 43 000 années, ce qui nous renvoie à l’âge du Néandertal, quelle belle leçon de vie nous offrent-ils ! » Le Maire fait confiance aux parents pour qu’ils soient « de vrais éducateurs »: « Faites-en sorte qu’ils soient en capacité d’être de vrais adultes demain, partageant une belle vie, la plus coopérative possible ». Voir la vidéo Voir l'album photos |
Hommage rendu à de « fervents républicains »  « Qu’est-ce qui a transcendé ces hommes pour qu’ils deviennent de fervents républicains ? » interroge le 23 novembre Vincent Ledoux, Maire et vice-président de Lille Métropole, « leur commune », répond-il lors d’une double inauguration où l’on a vu de jeunes enfants issus de leurs ancêtres exemplaires dévoiler les plaques. Six membres de la famille Decottignies et Paul Debaets ont œuvré pour Roncq, une centaine d’années pour la première (depuis 1848), 40 ans pour le second (secrétaire général de mairie de 1935 à 1975). La Ville reconnaissante leur rend hommage. Deux lieux publics portent désormais leurs noms : le square Decottignies à l’angle des rues de Lille et de la Vieille Cour, la salle Paul-Debaets au cœur de la nouvelle maison de quartier « La Marelle ». Engagement municipal, création d’une harmonie… par leurs prises de responsabilités, ils ont accompagné l’évolution d’un village agricole devenu cité industrielle et commerçante. « Ils ont assuré la continuité de l’Etat », a rappelé Vincent Ledoux, « à une époque où on restait à Roncq pendant des décennies, où l’on y mourrait ». Ces hommes forcent le respect et suscitent de la fierté. « Ils ont créé des perspectives de développement, de nouvelles formes d’organisation sociale et sociétale », a repris le Maire, « ils ont apporté davantage de bien-être, de moyens pour faire mieux vivre la commune ». Robert Decottignies a fait part de « la joie, la fierté et la gratitude » exprimées par sa famille et a remercié Vincent Ledoux et le conseil municipal. Des remerciements adressés également par Jean-Paul Debaets, le fils de Paul Debaets, point d’orgue d’une inauguration fraternelle. (Ph. Thierry Thorel) |
Petit déjeuner américain à l’école Kergomard  Pancakes, orange juice, peanut, tea, milk, sandwich… le petit déjeuner servi le 25 novembre dans le restaurant scolaire de l’école Kergomard a transporté les enfants de grande section de Laurence Varlet et de Géraldine Maes ainsi que les CP de M. Sliman et les CE1 de Jacqueline Vasseur de l’école Pergaud aux States ! Parents, enseignants, personnel municipal, tous ont participé à cette belle opération orchestrée par Valérie Dizy, intervenante en anglais précoce pour la Ville. Pour l’occasion, les enfants ont chanté en reprenant des airs d’un nouveau répertoire. Cette liaison entre les enfants de grande section de maternelle et les CP est aussi une belle manière de créer des passerelles entre les deux écoles. Cerise sur le gâteau : le surplus de denrées que l’on doit à la générosité des parents sera transmis à la Banque Alimentaire du Nord, un geste de solidarité et d’altruisme vivement salué par la directrice, Mme Varlet, et les enseignants. Voir la vidéo |
Intervilles seniors : la coupe rejoint Neuville  A l’issue de quatre jeux et autant de quizz, les équipes de Roncq et Neuville-en-Ferrain ont terminé à égalité de points (15), lors de ces 3èmes Intervilles seniors. C’est donc à Neuville-en-Ferrain que se déroulera la 4ème édition, après un millésime 2013 très échevelé et très serré où Roncq remettait en jeu la coupe remportée de haute lutte l’an passé ! C’est dans une chaude ambiance - l'équipe de Roncq a fait ce qu'il fallait pour encourager les siens, Régis, Alain et les autres - que s’est déroulée cette 3ème édition organisée par le CCAS de Roncq, en partenariat avec ceux des autres villes participantes, Tourcoing, Neuville-en-Ferrain et Mouscron. Quatre jeux ont départagé les équipes de deux joueurs, autour d’une mini bourloire, lors d’un attrape balles, à l’issue d’une boucle d’obstacles, ou après une séance mémorable de mime. Les quizz ont ajouté au suspense entretenu durant toute l’après-midi du 22 novembre, salle Catry. A noter que le CCAS de la Ville de Roncq a remis des chèques cadeaux aux vainqueurs de l’épreuve qu’elle a organisée, à savoir la boucle d’obstacles. (Reportage Patrick Bonte) Voir la vidéo |
Ecole Jaurès : l’accueil périscolaire s’installe  Depuis la rentrée de septembre dernier, l’accueil périscolaire s’est installé dans d’autres locaux puisque le local occupé l’année dernière est désormais rendu au travail de classe. Le nouveau point de chute se situe au 10 de la rue Jules-Watteeuw, là où s’était installée provisoirement l’Association du Service des Familles dans l’attente de l’ouverture de la Maison Petite Enfance. Une vingtaine d’enfants de l’école Jaurès – dont de nombreux enfants de CP - se retrouvent en fin de journée dans ce local pour partager des activités de détente, manuelles et autres. Sous la conduite d’une animatrice, Emilie, et d’un animateur, Samuel, ils participent à des jeux. Ils ont ainsi réalisé des dessins autour du thème d’Halloween et, dernièrement, ils ont crayonné sur le thème de l’escargot. Les enfants ont même désigné leur championne de l’escargot : Salomé Kinnen. Pas de doute, les nouveaux petits locataires du 10 rue Jules-Watteuw ont adopté leur nouveau local où l’ambiance débridée ne manque pas de vitalité ! |
« La Grande Collecte » : des documents bouleversants  L’appel lancé au niveau national et local pour collecter des archives familiales relatives à la Première Guerre Mondiale est suivi à Roncq. Plusieurs personnes ont appelé spontanément le service municipal des Archives. Et les documents déposés pour y être numérisés sont toujours bouleversants. Sachez que la grande collecte se poursuit aux Archives municipales, au CTM, où vous pouvez apporter vos documents pour y être numérisés et archivés, venez nomnbreux ! A l’instar du témoignage d’Alain Verhaeghe, à la recherche du passé de Poilu du grand-père de son épouse, dont il présente quelques photos aux bords racornis, son portrait, son régiment, une citation, un livret militaire, autant de documents qui racontent les faits d’arme de ce Tourquennois né en 1896 rue de la Bourgogne. « J’aurais aimé qu’il me parle de cette période-là mais il ne voulait pas tant il a dû être traumatisé, j’aurais aimé lui poser des questions », soupire ce résident des Chats-Huants. Il s’appelait Henri Prouvost. Il avait été mobilisé en 1916 et avait combattu au sein de son régiment, le 12ème R.I. de Tarbes présent sur le front de Verdun de mai à octobre 1916, puis à Bezonvaux de février à juillet 1917, toujours près de Verdun, et à partir d’août 1917 à Mormon, en Lorraine. Le 20 août 1917, Henri Prouvost est blessé à la tête lors d’un assaut. Alain Verhaeghe n’en sait pas plus aujourd’hui, déjà très heureux d’avoir découvert ces documents au décès du grand-père de son épouse Brigitte. Ces documents vont être numérisés aux Archives municipales de Roncq et s’avèrent déjà très précieux. N’hésitez pas, vous aussi, à apporter vos documents pour alimenter ce devoir de mémoire collective. Dans le cadre de l’opération « La Grande Collecte », vous êtes invités à apporter vos archives familiales relatives à la Première Guerre Mondiale aux Archives Municipales de Roncq au Centre Technique Municipal, rue de Lille près du site des Chiens Guides d’Aveugles (prendre rendez-vous en contactant le 03 20 25 67 31). Les documents que vous voudrez bien apporter vous seront restitués à la fin de l’opération de numérisation. Pour la Ville de Roncq, c’est aussi l’occasion d’enrichir ses fonds d’archives relatifs à l’histoire locale. Voir la vidéo |
Les fabuleuses histoires de Lucienne
Dans son appartement coquet de la résidence Michelet, il n’y a de place que pour ses sourires, son énergie et sa joie de vivre exubérante ! Le regard pétillant, elle manie l’autodérision en toute simplicité : « j’ai une grande gamelle et un p’tit cœur ! » plaisante-t-elle. De son lieu de naissance - dans un ancien cabaret roncquois, « Au petit Roubaix », près d’une forge rue du Billemont - elle en a fait un port d’attache puisqu’elle fera construire plus tard sa maison dans la même rue. De son enfance, dans les années 30, elle se souvient des ducasses animées et heureuses dans le centre, près de la Tête d’Or et de la quincaillerie Lebrun, des nombreux commerces et cafés appelés alors « cabarets ». « Il y en avait 72 à Roncq, on en comptait trois ou quatre rien que dans la rue du Billemont », se rappelle-t-elle. De la guerre 39-45, lui reviennent quelques bribes, comme la peur qui la tenaillait au passage des troupes allemandes et qui s’accompagnait de leurs lourds bruits de bottes. « On n’avait plus rien, on avait faim, j’ai même dû voler une fois du pain pour manger », reprend-elle, « je donnais des coups de main à la ferme Delobel, je cachais des pommes-de-terre dans un trou et j’allais les récupérer le soir, toujours pour pouvoir manger ». A 14 ans, Lucienne a entamé sa carrière professionnelle, d’abord dans diverses filatures (Leurent à Roncq, Masurel et Tiberghien à Tourcoing) avant de rejoindre la Ville de Roncq en 1967 où elle a travaillé dans les écoles. La mémoire de Lucienne s’arrête sur des images marquantes : le retour des salariés du textile depuis les filatures tourquennoises – « le soir le petit train qui arrivait à la gare charriait des cortèges d’ouvriers qui remontaient la rue de Lille vers 18h15 » - le tramway qu’elle empruntait chaque jour pour se rendre au travail à Tourcoing… Lucienne est indissociable du patois qu’elle manie à merveille pour raconter des dizaines et des dizaines d’histoires. « Je ne sais pas d’où ça vient, c’est naturel pour moi de raconter en patois, ça vient facilement », confie-t-elle. Elle se rappelle les processions qui cheminaient dans le parc du château Verhaeghe (l’actuelle Annexe-Mairie) et qui sortaient à l’arrière, là où elle vit aujourd’hui. Lucienne part toujours en vacances où son côté « boute-en-train » séduit énormément. On se prend d’affection pour Lucienne parce qu’elle rayonne. Lucienne a tout simplement oublié de vieillir, c’est le secret de sa jeunesse inoxydable. |
L'expo Ben Bella franchit les frontières !
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Les familles se confient dans un nouveau livre  Le Club Roncquois d’Histoire Locale vient de publier un second tome de témoignages de familles, dans la série « Si Roncq m’était conté… ». La plume alerte et l’oreille attentive, Bernard Delval a endossé le rôle d’un journaliste pour aller à la rencontre de deux familles d’agriculteurs - les fermes du Vinage et Lepoutre-Pétillon - de deux entreprises, l’une ayant disparu en 1987 (Silvallac), l’autre faisant la fierté de la Ville (tapis Catry), d’artisans et de commerçants - les marchands de chaussures Bonnier, les artisans couvreurs Aernout depuis cinq générations, la boucherie Bonte depuis 1934, les marchands de charbon Denève - et de personnes nées et résidant toujours à Roncq, Lucienne D’Halluin, Gilda Deleu, Marcel Gilles, Brigitte Lemeunier, Jacqueline Vansteenkiste. Cet ouvrage de cent pages fourmille d’anecdotes, d’histoires dans l’histoire de la commune, du tramway bondé qui ne parvient plus à passer la passerelle du Pied-de-Bœuf à la renommée internationale des Tapis Catry malgré une installation rocambolesque en 1977. L’ouvrage, monté par Didier Stehlé, maquettiste, contient ces longs fleuves pas si tranquilles qui tissent une mémoire fidèle à l’évolution d’une commune au passé agricole, industriel et commerçant. Ce travail illustre l’implication du CRHL dans la vie locale, un club très visité sur son site internet avec pas moins de 12 000 visiteurs en l’espace de deux-trois ans. Un autre chantier a été entrepris dans le cadre du centenaire de la déclaration de la Grande Guerre, en 1914. Pour cela, le CRHL est en liaison avec les Anciens Combattants et d’autres partenaires pour recueillir des documents sur cette période tragique qui alimenteront une exposition présentée dès le mois d’août 2014. « Si Roncq m’était conté… », Témoignages de familles, Tome 2, par le Club Roncquois d’Histoire Locale, ouvrage vendu au prix de 8 € dans les deux librairies roncquoises de la rue de Lille, « Dictée Récré » dans le Centre-Bourg et le « Montecristo » au Blanc-Four, également auprès d’Alain François, 320 rue Henri-Barbusse, Tél : 03 20 94 01 24, ou de Bernard Delval, 92 rue Jules-Watteeuw, Tél : 03 20 37 48 48 |
La Commedia dell’arte s’invite au concert !  Après un concert « Fantastic » en 2012, la Philharmonie a transporté en Italie le public venu nombreux le 24 novembre sous la nef de l’église Saint-Piat. Exceptionnellement, ce concert s’est déroulé avec la participation de l’atelier théâtre Mandragore, de quoi apporter un air de carnaval de Venise, voire de Commedia dell’arte, cette tradition de théâtre populaire italien où des acteurs masqués improvisent des comédies aussi savoureuses que perfides. Ce concert intitulé « Un Viaggio in Italia » (Un voyage en Italie) a permis d’apprécier un répertoire très diversifié, Nino Rota, Mahler, Ennio Morricone et bien d’autres compositeurs. Un peu de « Dolce Vita » un jour fade d’automne, rien de plus magique pour se distraire agréablement. (Ph. Thierry Thorel) |
Les 30 bougies étincelantes du TCR
La finale dames accrochée a fait étalage d’un très haut niveau, Josepha Adam, N32 française du FOS (Villeneuve d’Ascq) ayant eu du mal à se détendre avant de trouver le bon rythme et de s’imposer en trois sets (6/3, 2/6, 6/3) face à Chayenne Ewijk, ancienne numérotée française évoluant à Orléans. La finale messieurs a été plus expéditive entre deux joueurs classés -15, Grégoire Jacq de Saint-Germain-en-Laye l’emportant face au Belge Olaf Dewerk en trois sets également (6/1, 4/6, 6/0). Vincent Ledoux, Maire, a simplement souhaité un joyeux anniversaire au club, à ses dirigeants et à tous ses membres, un club formateur avec ses six éducateurs sportifs placés sous la responsabilité d’Alexis Bara pour amener au meilleur niveau les 180 jeunes qui fréquentent l’école de tennis. Jérôme Richoux, qui a emboîté le pas à Yves Duponchel à la présidence il y a plus d’un an, a réorganisé le club pour lui redonner un nouveau souffle avec un bureau rajeuni. Il pourra s’appuyer sur une fréquentation qui ne fléchit pas, avec 350 adhérents(es) recensés chaque année. (Ph. Thierry Thorel) |
Des entreprises roncquoises qui comptent  Dans son supplément de l’édition du 28 novembre, la Voix du Nord dresse comme chaque année le classement des 500 premières entreprises de la région. On sait que la commune de Roncq fédère plus de 6500 emplois sur son territoire, ce qui constitue une richesse économique et humaine exemplaire. Dans ce classement, on n’est donc pas surpris de retrouver des sociétés roncquoises. A commencer par Auchan dont le site de Roncq regroupe à lui seul environ 800 emplois, près de 1500 si l’on intègre les différentes enseignes de la zone commerciale. Sur le CIT, l’entreprise Ziegler spécialisée dans l’affrètement et l’organisation des transports rassemble 162 emplois, ce qui vaut son apparition dans ce classement, soit le plus grand nombre de salariés des entreprises de la plate-forme dédiée originellement aux métiers du transport et de la logistique, avant de s’ouvrir à d’autres activités comme la forme et l’entretien (« Fitness parc » qui y fête ses deux ans d’existence), le futsal, l’énergie (GEA Happel) ou encore l’entretien de matelas pour les hôpitaux et Maisons de retraite (ArjoHuntleigh). Sur le parc du Lion, apparaît la société Eolane avec ses 270 emplois très qualifiés, entreprise spécialisée dans la conception et la réalisation de cartes et d’équipements électroniques pour l’aéronautique (Airbus), la défense (Rafale…) et le ferroviaire (TGV). Enfin, la clinique Saint-Roch est également citée dans ce palmarès avec ses 180 emplois, établissement de santé qui va profiter d’une nouvelle extension dont les travaux vont démarrer prochainement. Sans oublier les Tapis Catry auxuquels quelques lignes sont consacrées pour leur excellence, leur prestige et leur rayonnement international. |
VOTRE AGENDA Journée d'hommage aux "Morts pour la France" ALGERIE/TUNISIE/MAROC - cérémonie
05 Décembre 2013 (11:00) |
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