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Bd de l’Eurométropole : la Ville contrainte de nettoyer |
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Mardi, 28 Mai 2013 09:34 |
   
Les 27 et 28 mai, les techniciens municipaux du service propreté ont été contraints de nettoyer les abords du Bd de l'Eurométropole, tant le nettoyage à la charge du Conseil Général n'est pas satisfaisant.
Ainsi, le 27 mai, Denis, Patrice et Quentin ont rempli pas moins de 12 sacs de 130 litres de déchets en tous genres après avoir nettoyé une seule rive entre le giratoire de l'Europe et le CIT: bouteilles d'urine, canettes, bouteilles en plastique, etc.
Le lendemain, ils ont extrait de l'autre rive autant de déchets, sans parler de ce qui flottait encore à la surface de l'eau croupie du fossé.
La Ville prendra donc contact avec les services départementaux pour espérer un meilleur entretien des abords de ce boulevard où le trafic est dense et le comportement des usagers à l'encontre des règles de base de la préservation environnementale. |
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La « coéducation » au cœur de la Petite Enfance |
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Lundi, 27 Mai 2013 18:25 |
Pour la période 2011-2015, le projet d'établissement du Multi-Accueil Collectif « La Maisonnette » et de la crèche familiale « Les Petits Compères » du Centre-Bourg a pour thème la coéducation. Les personnels ont rencontré les parents fin avril pour mieux définir les objectifs à atteindre sur ce thème tout en redéfinissant les souhaits et les attentes.
Il est en effet important de travailler avec les parents pour le bien-être de l'enfant. La coéducation nécessite du respect, de la confiance mutuelle dans le partage des responsabilités éducatives entre la famille et les éducateurs. En ce qui concerne le Multi-Accueil, un certain nombre d'idées ont été émises : réalisation d'une fiche individuelle sur l'évolution et les acquisitions de chaque enfant (acquisition de la propreté, règles de vie sociales…), réactualisation des informations, prévisionnel des activités, réalisation d'un agenda journalier.
En ce qui concerne la crèche familiale, d'autres idées ont enrichi le débat : accompagner et guider le parent sur les thèmes à aborder, les informations à transmettre lors d'un remplacement, réactualisation des fiches de renseignements (repas, sieste, développement), avoir connaissance des comptines chantées à la cr'èche pour les reprendre dans le cadre familial…
Plusieurs parents se sont portés volontaire au sein des deux structures pour travailler sur des thèmes à définir. Une volonté commune de travailler ensemble est née de cet échange. |
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« Roncq en Danse »: dix ans de succès |
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Jeudi, 23 Mai 2013 17:04 |
    
« Autrefois, on dansait et on chantait lors des réunions de famille, j'adorais cette forme de convivialité, c'est pour cela que j'ai souhaité créer une association de danse de salon ». Marie-Claude Lutanie, présidente de « Roncq en Danse » depuis une décennie, peut être fière de cette initiative dont le succès n'a jamais été démenti avec environ 80 adhérents chaque année depuis janvier 2003 (une cinquantaine dès la première année !), date du lancement des activités après un prometteur sondage lors du Forum des associations de septembre 2002.
Les premiers cours, dispensés par Flora Heyman deux soirs par semaine, étaient consacrés uniquement à la danse en couple. Un second professeur de même qualité (Mélanie Heyman), également diplômé de l'Académie de danse, a été engagé pour répondre à l'affluence. Il a fallu ajouter une troisième séance transformée en danse en ligne (réalisation de chorégraphies sur quatre lignes) - country, madison salsa… - pour satisfaire la demande !
L'objet de l'association n'a pas varié d'un iota : rassembler des adeptes de la danse de salon de toutes les générations - ils ont de 25 à 75 ans - dans un esprit de détente et non de compétition. Tous les registres sont abordés à tous les niveaux, pour les danseurs seuls et les couples : rock (danse la plus demandée), cha-cha, tango, salsa, valse, paso doble, samba, quick step…
Dans la salle de l'école Neruda, le cours du lundi soir s'adresse plutôt aux débutants, celui du mercredi aux danseurs confirmés et celui du jeudi à la danse en ligne. L'association s'implique aussi dans diverses actions : stages thématiques ouverts à tous en fonction de la demande, repas, après-midi dansants, participation à des manifestations municipales et locales (Noël Fantastic, Vitrines roncquoises…).
Pour souffler les dix bougies, un programme a été élaboré par le bureau de l'association en lien avec la commission animation : après un après-midi dansant organisé le 24 mars avec l'ensemble de jazz de l'Ecole de Musique, les trois cours se réuniront autour d'un repas convivial le 19 juin. Le 22 septembre, un rallye touristique, de Roncq jusqu'aux Flandres, permettra aux participants de découvrir un pan du patrimoine régional. Le 30 novembre, dès 19h, place sera cédée à la grande soirée cabaret du 10ème anniversaire organisée salle Malraux, à Neuville-en-Ferrain, sur le thème des « danses du 19ème siècle à nos jours » avec la participation de « danse à 2/Affordanse » d'Hazebrouck, « Eldorado Country Danse Club » de Sainghin-en-Mélantois, l'Harmonie du Blanc-Four et bien d'autres surprises.
Pour tous renseignements, « Roncq en Danse », Maison des associations, 40, rue Henri-Barbusse, Tél : 03 20 46 51 06,
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ou www.roncqendanse.fr |
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Maison de quartier du Blanc-Four : ce sera « La Marelle » ! |
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Mercredi, 22 Mai 2013 10:59 |
   
En entame de la séance publique du conseil municipal du 21 mai, a été adoptée la dénomination de la Maison de Quartier du Blanc-Four, actuellement en cours d'aménagement dans les locaux de l'ancienne école Jules-Vallès et qui sera opérationnelle le 1er septembre prochain.
Elle s'appellera « La Marelle », une belle manière de traduire l'engagement municipal dans le programme VIF, « Vivons en Forme », concrétisé notamment par des parcours au sol dans les écoles roncquoises pour inciter, de façon ludique, les enfants aux activités physiques. A cela, s'ajoute l'esprit de loisirs qui sera insufflé dans cette nouvelle structure.
Outre cette référence au jeu d'enfants, pratiqué le plus souvent dans la cour de récréation (les espaces intérieurs et extérieurs de ce nouvel équipement seront sans doute imprimés du tracé correspondant), cette dénomination sera celle déclarée auprès des services de la Préfecture du Nord pour les prochaines opérations électorales (les élections municipales en mars 2014). « La Marelle » est ainsi appelée à prendre le relais de la salle polyvalente. |
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Un « square Decottignies » à Roncq |
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Mercredi, 22 Mai 2013 10:31 |
 
« La famille Decottignies a beaucoup donné à la Ville », a scandé Vincent Ledoux, Maire, lors de la réunion du conseil municipal, le 21 mai en soirée. Pour s'en convaincre, voici un rappel des services, des fonctions et des professions développés au profit de la Ville par cette grande famille roncquoise :
-Pierre-Antoine Decottignies, arrière grand-père de Robert, fut secrétaire général de la Mairie de 1848 à 1886,
-Henri Decottignies, grand-oncle de Robert, fut secrétaire général de la Mairie de 1886 à 1919,
-Emile Decottignies, grand-père de Robert, fut conseiller municipal avant 1914 et de 1925 à 1935 (du temps de Jules Cornard, Maire à l'époque),
-Henri Decottignies, père de Robert, fut l'un des fondateurs de la Philharmonie de Roncq en 1920, vice-président, sous-chef et directeur des cours de musique de la société musicale. Il a reçu en 1963 la médaille de la Ville avant son départ en retraite à Moissac (Tarn-et-Garonne),
-Robert Decottignies a été conseiller municipal à Roncq de 1977 à 1984.
« Je remercie le Maire et le conseil municipal », s'est félicité Robert Decottignies. Une plaque sera donc apposée prochainement à l'angle des rues de Lille et de la Vieille Cour (après l'enlèvement de la cabine téléphonique), où se situera donc le square Decottignies (photos ci-dessus). |
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Gaspillage alimentaire: l’école vise le "zéro déchet" |
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Vendredi, 17 Mai 2013 17:02 |
     
La lutte contre le gaspillage alimentaire est une préoccupation citoyenne qui naît dès le plus jeune âge. Comment amener les enfants à ne plus jeter à la poubelle des denrées alimentaires, entamées ou non, qui auraient pu être consommées ? C'est tout le sens des actions entreprises depuis janvier dernier dans les écoles publiques de Roncq.
Un groupe de travail piloté par Martine Poissonnier qui supervise la restauration collective de la Ville a été mis en place pour réduire, voire endiguer ce « fléau » grandissant.
Dans un premier temps, il a été décidé de quantifier les déchets accumulés chaque jour par les écoles de la ville. Pour ce faire, chaque établissement scolaire a été doté d'un appareil à pesée. Chaque mois, un bilan permet de sensibiliser les enfants sur l'ampleur et la teneur du gâchis alimentaire. Les élèves participent eux-mêmes aux pesées.
Les bilans de mars et avril derniers font ainsi apparaître un gaspillage plus important dans les écoles primaires que dans les écoles maternelles ! Ce challenge sera ponctué d'une remise de trophée au mois de juin et, pourquoi pas, d'une participation à un prochain atelier de cuisine au JAB.
Des aménagements apportés par le personnel de restauration participent à cette lutte contre le gaspillage alimentaire : mise à disposition dans les selfs des écoles primaires d'un « salad'bar » avec quatre crudités servis dans des assiettes plutôt que dans des ramequins, moins de sauce pour les viandes ou moins de jus pour les légumes pour plus d'appétence, mise à disposition expérimentale d'un appareil à smoothies à l'école Kergomard, d'un coupe-pommes et d'un presse-agrumes dans les écoles Curie et Jaurès pour consommer autrement les fruits, lancement d'une petite enquête menée par des enfants pour connaître le degré de satisfaction rencontré par leurs camarades qui mangent à la « cantine »…
Ce travail de longue haleine ne peut aboutir sans que chacun se sente responsable, les enfants comme les parents, les animateurs périscolaires comme les enseignants. Il mobilise toutes les énergies et dépasse les limites du cadre scolaire. Grâce à un rapprochement avec l'association Gaïa qui participe à la prise de conscience de la diversité et de la richesse dans le monde, les enfants apprennent aussi comment on vit et on mange ailleurs, en Afrique par exemple. Histoire de mieux se rapprocher du « zéro déchet »… |
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Enrochement du rond-point d’accès au CIT |
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Jeudi, 16 Mai 2013 14:32 |
   
Le giratoire d'accès au CIT depuis la RD 191 (Tourcoing-Halluin) a subi un lifting complet depuis plusieurs mois. Après avoir été nettoyé d'une végétation désordonnée qui faisait écran et regorgeait de détritus en tous genres, il a tout d'abord été engazonné il y a un mois et a été doté le 16 mai d'un enrochement.
Comme le souligne David Six, paysagiste de Quesnoy-sur-Deûle oeuvrant pour la Ville de Roncq et l'association « CIT Promotion », « ce sont pas moins de 70 rochers du boulonnais de 400 à 600 kilos » qui ont été disposés sur le pourtour du giratoire. Une opération nécessaire pour éviter tout franchissement intempestif de ce rond-point autour duquel circulent chaque jour des milliers de voitures et de camions ! |
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Les résidents de « La Colombe » chantent l’Eurovision ! |
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Mercredi, 15 Mai 2013 16:42 |
     
Pour son 17ème concert, la chorale de la Maison de retraite - la bien nommée « La messagère du bonheur » - avait choisi le 15 mai de reprendre des grands titres de l'Eurovision. Cela tombe bien, le 58ème prix du même nom se déroulera ce week-end.
Pour l'occasion, rien n'avait été laissé au hasard : la mire de l'Eurovision avait été réalisée par les résidents ainsi que les drapeaux des différents pays. Côté chansons, le public a fredonné plus d'un refrain avec les choristes, remontant le fil du temps et se remémorant des souvenirs bien vivaces.
En 1963, Alain Barrière chantait « Elle était si jolie », en 1971, Séverine entonnait « Un banc, un arbre, une rue », en 1975, Nicole Rieux reprenait « Et bonjour à toi l'artiste », en 1977, la France l'emportait enfin avec Marie Myriam avec le célèbre titre « L'oiseau et l'enfant ». Cet hommage à l'Eurovision a été accompagné d'un savoureux goûter, le temps de reprendre son souffle avant que Blandine et Alain ne remettent du coeur à l'ouvrage en dirigeant et accompagnant à la guitare la chorale. La France l'emportera-t-elle ce samedi ? Si tel était le cas, « La messagère du bonheur » aura alors bien porté son nom ! |
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