Classes de neige : les 150 enfants sont bien arrivés à Lou Riouclar |
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Lundi, 09 Février 2015 11:31 |
Bonnets rouges, orange, tuniques bleues… les couleurs étaient affichées le 9 février en matinée sur le parking de la gare, à l'heure du départ des élèves vers les cimes enneigées. Les sourires étaient de sortie sur les visages radieux des enfants, un peu plus angoissés sur ceux des parents. « Les enfants piaffaient depuis plusieurs jours à l'idée de partir ce matin », témoignait une maman. De l'autre côté, les tuniques bleues des onze animatrices et animateurs de l'association ronchinoise « Mer et Montagne », sans oublier l'infirmière et la coordinatrice, rayonnaient dans la grisaille ambiante. En début de soirée, les enfants sont bien arrivés à Lou Riouclar après avoir notamment savouré un goûter sous le soleil qui inondait la région, de Manosque à la vallée de l'Ubaye. Pas moins de 150 enfants ont ainsi pris la route de Lou Riouclar, dans la vallée de l'Ubaye (Alpes de Haute-Provence), pour profiter des classes de neige organisées par la Ville durant une dizaine de jours : 16 enfants de CM2 et quatre de la CLIS de l'école Pergaud, 68 enfants de CM1 et de CM2 de l'école Brel, 42 enfants de CM1 et de CM2 de l'école Neruda, 20 enfants de CM1 de l'école Saint-Roch. Le voyage s'est déroulé en TGV, puis en bus avant leur arrivée à Riouclar, dans les Alpes de Haute-Provence. La neige est tombée en abondance et les activités prévues pourront se dérouler normalement : ski, raquette, lecture de paysages, visite de la maison du bois, astronomie, découverte de la forêt, des cadrans solaires, ateliers « Traces et empreintes », cuisson du pain au four du village, atelier « Loup qui es-tu ? », sans oublier les temps de classe, les veillées ou encore la piscine. Bref, de quoi vivre de beaux moments avant le retour le jeudi 19 février vers 22h30 sur le même parking de la gare pour, cette fois, aborder des vacances plus familiales. |
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Vœux à la police : l’exigence de la sécurité |
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Jeudi, 05 Février 2015 19:37 |
Le 5 février, les voeux à la police ont été échangés aux Anciennes Ecuries entre les Maires, les élus des villes de Roncq et de Linselles et les représentants des forces de l'ordre - le commissaire divisionnaire Olivier Dimpre, le commandant Olivier Verquin, le Major Yves Leleu, les policiers, les ASVP et bien d'autres. Cette rencontre a été l'occasion de remerciements et de gratitude des édiles pour la police qui, pour Jacques Rémory, « a été à la hauteur des situations tragiques vécues en ce début d'année ». Vincent Ledoux a rappelé l'exigence d'un « travail de maillage » et « l'effort de mutualisation de l'ensemble des Maires » pour améliorer la sécurité publique. Ce travail commun a été aussi appelé de tous ses voeux par Yves Lefebvre, adjoint au Maire de Linselles : « la sécurité est l'affaire de tous, les renseignements fournis par les agents municipaux, les associations… permettent de traiter tous les problèmes ayant trait à la sécurité et à la tranquillité ». Vincent Ledoux s'est associé à cet appel à travailler ensemble sur le territoire. « Les solutions viennent de la base, du territoire, de la population, des élus », a-t-il souligné, « il faut également faire preuve de pédagogie pour assurer la sécurité des biens et des personnes et aussi des entreprises concentrées dans pas moins de 170 parcs d'activités essaimés dans la métropole, auxquels s'ajoutent des sites d'excellence. Tous expriment un fort besoin de sécurité comme dans les transports publics, il faut que chacun prenne aussi sa part de responsabilité ». Et de faire état de sa propre expérience quand il était encore jeune enseignant, et souvent esseulé face à des jeunes déconnectés de la réalité. « C'est rassurant de voir les forces de police calmer le jeu dans l'excellence de leur travail », a terminé le premier magistrat roncquois.
« Un travail harassant mené au quotidien »
Olivier Dimpre est revenu sur les événements tragiques de début janvier : « Des policiers sont morts en allant au bout de leur engagement chargé de sens, le dénouement a été rapide grâce à des unités spécialisées et à un travail harassant mené au quotidien ». Le commissaire divisionnaire a perçu les manifestations de sympathie qui ont suivi comme « un encouragement à poursuivre le travail mené ». Il s'est félicité du travail des municipalités de Roncq et de Linselles en matière de sécurité et de tranquillité des habitants. « Il faut toujours être capables de mutualiser les efforts, les énergies, les compétences, pour mettre les délinquants hors d'état de nuire. Nous resterons engagés, mobilisés, nous serons courageux et volontaires dans nos missions ». L'équipe des ASVP de Roncq dirigée par Gilles Dupont vit une période de transition. Elle sera prochainement une police municipale et, dans le cadre des formations initiales obligatoires, l'un de ces ASVP a pour tuteur un policier municipal de Comines, Pascal Dableman. « Pendant 24 jours, Sylvain que j'ai connu en stage ASVP nous accompagne pour mieux suivre toutes les missions que nous effectuons sur le terrain », témoigne le policier cominois. Une démarche qui illustre parfaitement la mutualisation réclamée par les élus. |
Les premiers flocons de neige pour un manteau éphémère |
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Jeudi, 05 Février 2015 16:42 |
Le 5 février, en matinée, sont tombés les premiers flocons de neige de l'hiver, juste de quoi déposer un drap immaculé sur la commune, vite évaporé sous l'effet de réchauffement de la température. Le temps de capter quelques clichés magiques. La ville n'est pas devenue une station de ski comme en mars 2013. Les espaces verts sont simplement devenus des espaces blancs éphémères et vaporeux, de quoi susciter des poses – et des pauses – contemplatives. Vous pouvez retrouver ces belles images romantiques en vidéo. |
Verglas : les équipes d’astreinte mobilisées |
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Mercredi, 04 Février 2015 10:46 |
Dans la nuit du 3 au 4 février, les fortes gelées ont entraîné des formations de verglas, notamment dans les quartiers de la Ville. L'équipe d'astreinte est sortie dès 4h pour saler les axes principaux de la commune, Av. de Flandre, rue du Dronckaert… De même l'accès aux sites sportifs ou encore l'entrée des écoles Triolet et Neruda ont été salés par les techniciens de la Ville dès 6h pour permettre une pratique des activités par les enfants et les jeunes dans de bonnes conditions (Récré'Anime, opération tri des déchets avec l'ESR Foot au complexe sportif Joël-Bats…). Attention, la prudence s'impose sur les routes et les trottoirs ! |
Les TAP de janvier et février en vidéo |
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Lundi, 02 Février 2015 18:59 |
Avant les vacances scolaires de février, s'achèvent dans les groupes scolaires publics la période des TAP entamée début janvier. La créativité est à nouveau à l'honneur avec des ateliers divers et variés, placés notamment sur le thème du cirque en ce qui concerne les arts plastiques ou la musique. Quant à l'atelier des archives municipales animé par Catherine Déjardin, archiviste, et placé sur le thème du centenaire de la Grande guerre 14-18, il réserve à chaque fois son lot de témoignages familiaux. « Le but, c'est d'essayer de développer la créativité des enfants », soulignait dernièrement Thibault Tellier, Adjoint à l'action éducative. Objectif ambitieux mais en passe d'être réussi. Pour preuve, les témoignages poignants d'élèves de CM2 recueillis par Catherine Déjardin au sein de l'atelier des Archives municipales. Adil, Alban, Pauline, Louis, Julie ont fait part d'une mosaïque de souvenirs ayant trait à leurs arrière-grands-pères, soudain projetés dans l'enfer de la mitraille, à Verdun ou ailleurs. L'atelier du cirque et son initiation au dressage de chiens, au funambulisme, à la magie… séduit les enfants qui ont élaboré une saynète par groupe et par école. Les arts plastiques ont, sous la conduite de Florence Ferla, reproduit un cirque miniature avec des personnages romantiques. Quant à l'atelier musical animé par Magalie, intervenante de l'Ecole de Musique, il s'est concentré sur le cinéma muet, histoire de mieux entrer dans cet univers musical du temps d'un certain… Charlie Chaplin ! |
Réhabilitation de la résidence « Les Hêtres » : nouveau bardage en façade |
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Lundi, 02 Février 2015 18:54 |
La résidence « Les Hêtres », rue Eugène Pottier, gérée par le bailleur Notre Logis, vit à l'heure d'une réhabilitation d'ampleur, en milieu occupé, d'une durée d'environ dix mois, jusqu'en juin 2015. Les gros travaux ont démarré depuis plusieurs mois. Remplacement des fenêtres, plomberie, électricité… la résidence de 24 appartements vit au rythme de ces chantiers ! Construite en 1979, cette résidence sise aux abords de la rue du 8 mai 45 ne répond plus aux normes énergétiques d'aujourd'hui, 265kW/m2 au lieu des 60 kW/m2 à atteindre. Pour y parvenir, l'enveloppe énergétique du bâtiment est entièrement revue. Un nouveau bardage performant dans les coloris laiton, gris et blanc est en cours de pose en même temps qu'une isolation efficace. Les efforts d'isolation thermique sont également portés à l'intérieur de l'immeuble avec le remplacement des menuiseries extérieures, des portes des logements, l'isolation renforcée des plafonds des caves, la requalification des entrées… Un logement est d'ailleurs totalement achevé. D'autres travaux sont prévus : installation d'une nouvelle chaudière gaz à condensation, pose de robinets thermostatiques sur les radiateurs, ventilation mécanique réglable, remplacement des baignoires, sans oublier la remise aux normes des installations électriques. Coût de l'opération supportée par Notre Logis : 1,2 million d'€, soit 50 000€ par logement financés à hauteur de 26% par des subventions (dont des fonds européens), à 10% par des fonds propres et à 64% par des prêts. Les locataires ont donné leur accord malgré des hausses annoncées des loyers - +2,5% par an durant trois ans - mais qui devraient être indolores grâce aux économies de charges réalisées. |
Mérule : la déclaration des foyers infestés est obligatoire |
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Lundi, 02 Février 2015 10:39 |
Dans le cadre de la loi ALUR datant du 24 mars 2014, la déclaration des foyers infestés par la mérule est désormais obligatoire. L'occupant ou le propriétaire de l'immeuble contaminé est tenu de faire une déclaration à l'Annexe-Mairie (Tél : 03 20 25 67 36). La Mérule est un champignon de pourriture cubique. Son nom, dérivé du grec "merizo" (partager, fragmenter), rappelle la fragmentation du bois qu'elle provoque. Les noms vernaculaires rencontrés en France sont "la mérule", "la mérule pleureuse" du fait des larmes colorées qu'exsude son mycélium ou encore "la mérule des maisons". En fait, l'appelation "Mérule" se compose de plusieurs espèces de champignons. Le plus fréquemment rencontré sous nos latitudes et également la plus dévastateur est le Serpula lacrymans. Ce champignon lignivore, très cosmopolite, n'attaque que le bois d'oeuvre, surtout les résineux mais fréquemment aussi les feuillus. Serpula lacrymans se rencontre dans les zones tempérées de tout l'hémisphère Nord. Son apparition est en fait étroitement liée à l'humidification du bois. Si l'atmosphère est confinée, sa croissance sera favorisée.
Deux phases de développement
Le développement de la mérule se décompose en 2 phases : • Formation végétative : la germination de la spore produit une masse ouateuse blanche qui peut atteindre 5 à 50 mm d'épaisseur et qui peut prendre, sous une lumière diffuse, une teinte jaune canari. Il s'agit du mycélium primaire. Par fusion de mycélium issu de spores différentes, se forme le mycélium blanc très abondant parce que de croissance vigoureuse, le mycélium secondaire. Suivant les conditions d'ambiance favorables et la nature nutritive du substrat, ce mycélium évolue : on voit apparaître des masses ouateuses blanches parfois très volumineuses jusqu'à plusieurs mètres cubes ou des coussins plus ou moins épais, généralement de 2 à 4 cm d'épaisseur, passant au jaune, vert, rose ou violacé et acquérant avec l'âge une surface plus tenace de teinte ocre ou grise. Le mycélium frais a généralement une odeur agréable de champignon comestible, mais a une saveur amère et est toxique. |
Les ASVP sur le terrain pour plus de sécurité |
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Vendredi, 30 Janvier 2015 12:14 |
Dernièrement, les ASVP ont sécurisé deux endroits de la Ville, théâtre de deux accidents qui auraient pu avoir des conséquences plus dramatiques. Tout d'abord le 28 janvier, vers 16h30, rue Latérale, où une voiture s'est retrouvée sur le toit. Pas de blessé mais des conséquences qui auraient pu être beaucoup plus fâcheuses. Puis, le lendemain, vers 18h, cette fois à l'angle des rues Henri-Barbusse et Maurice-Thorez, où un feu de radiateur électrique à l'étage d'une habitation aurait pu avoir des conséquences plus dramatiques. L'intervention rapide et efficace des pompiers et des ASVP a permis de porter secours et de rassurer. |
Didier Aernout, nouveau président du CRHL |
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Jeudi, 29 Janvier 2015 17:30 |
Le 24 janvier, lors de l'assemblée générale du Club Roncquois d'Histoire Locale, a été nommé un nouveau président pour succéder à Alain François, décédé dernièrement. C'est Didier Aernout, Roncquois de souche âgé de 58 ans, qui lui succédera. Cela fait sept ans qu'il a rejoint le CRHL par passion pour sa commune qu'il n'hésite pas à qualifier de « plus belle ville du monde ! » L'ancien vice-président a des racines très fortes à Roncq : sa famille bien connue s'y est implantée depuis la seconde moitié du 19ème siècle. « J'ai vu la ville évoluer, j'ai vu naître des quartiers entiers », témoigne-t-il. Le nouveau président du CRHL entend bien travailler avec l'ensemble du bureau où Michel Pouchelle et Bernard Delval occupent toujours les postes de trésorier et de secrétaire. En 2015, le Club se donne comme fil conducteur le centenaire des hostilités de la Grande Guerre 14-18. Avec un matériau de base de premier choix : le récit circonstancié, truffé d'anecdotes, de Félix Decottignies. Une somme d'où les historiens locaux vont extraire une synthèse, voire une compilation. « L'idée est vraiment de poursuivre sur notre lancée de 2014, à savoir développer divers aspects de la vie quotidienne à Roncq en 1915, on veut rester fidèle à cette ligne de travail », souligne le nouveau président. L'exposition de novembre dernier organisée salle Catry par le CRHL a été très suivie : 500 visiteurs en trois jours et 200 élèves. D'autres pistes de recherches animent ces passionnés d'histoire locale. Ils espèrent, sur la base de documents et d'éléments probants, exhumer des vestiges gallo-romains dans le secteur du Pellegrin, retrouver des traces des victimes roncquoises de la bataille d'Azincourt qui s'est déroulée en 1415, durant la guerre de Cent Ans, ou encore retrouver des traces du projet de renforcement des lignes de défense érigées par Maginot en 1937.
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, permanences le jeudi après-midi et le 3ème samedi du mois, de 14h à 17h, à la Maison des associations, 40, rue Henri-Barbusse |
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