Economie
Inauguration du nouveau concept « Renault store » Imprimer Envoyer
Jeudi, 16 Avril 2015 19:45
renault-vignette Le 16 avril, a été inauguré dans l'une des concessions historiques de la rue du Dronckaert un nouveau concept estampillé « Renault store ». L'objectif de la marque au losange est de rafraîchir son image en intégrant dès l'accueil de la clientèle les nouvelles technologies (tablettes tactiles…) et la convivialité. Les locaux, plus aérés, ont été transformés pour apporter à Dianor un second souffle et, surtout, s'adapter aux nouveaux modes de consommation. La concession Renault de la rue du Dronckaert écoule chaque année selon son directeur, Rémy Corre, « 850 véhicules Renault, 270 Dacia, 750 véhicules d'occasion » tout en enregistrant 25 000 heures annuelles d'atelier.
Des horaires élargis, des services sans rendez-vous, ce sont autant de réponses apportées aux nouveaux modes de consommation. Vincent Ledoux, le Maire, s'est félicité de la confiance accordée aux jeunes « pour leur permettre de découvrir un métier ». Impressionné par la transformation réussie de la concession, le Maire et vice-président de la MEL en charge de l'économie y voit un signe d'avenir et d'accueil positif de la clientèle, au coeur d'une concession qui emploie 72 salariés.
 
Le 3ème « Esthetic Center » de la métropole s’installe à Roncq Imprimer Envoyer
Mercredi, 15 Avril 2015 18:59
esthetic-vignette C'est sous un soleil estival qu'a été inauguré le 15 avril l'institut de beauté « Esthetic Center » dans les anciens locaux de la boulangerie Paul, rue du Dronckaert. Il s'agit du 3ème salon de ce type né à Toulouse il y a 12 ans à s'implanter dans la métropole lilloise, après ceux de La Madeleine et de Lille Centre. Cette nouvelle vitrine franchisée est gérée par Ségolène Cardon qui concrétise ainsi son rêve nourri depuis une décennie d'ouvrir une boutique. Trois esthéticiennes l'accompagnent dans ce concept de « beauté à prix doux sans rendez-vous pour elle et pour lui ».
Les locaux ont été entièrement rénovés et proposent des salons de beauté de très belle facture où règnent calme, luxe et volupté. Modelage et soins du visage, épilation, manucure, UV, pédicure-spa pour la beauté des mains et des pieds, soins amincissants high tech… les prestations esthétiques sont à la hauteur de l'accueil « pour apporter du bien aux autres » comme le souligne la gérante originaire de Bondues.
« Esthetic Center », 152bis, rue du Dronckaert, ouverture du mardi au vendredi de 10h à 19h et le samedi de 10h à 18h, possibilité d'abonnement à prix avantageux, Tel : 03 62 23 51 07
 
« Art et Coiffure » : créateur visagiste Imprimer Envoyer
Mercredi, 08 Avril 2015 17:25
Art-coiffure-vignette Installé depuis plus d'un an au 399, rue de Lille, au coeur du Centre-Bourg, le salon « Art et Coiffure » est prisé par une clientèle de plus en plus fidèle, près du Carrefour City. Toutes les générations s'y croisent et assurent un bouche-à-oreille porteur. Ce salon mixte qui appartient à Cécile Tison est géré par Alison Capitanio. « Après m'être installée à Halluin, je souhaitais ouvrir un salon à Roncq, exclusivement dédié à la coiffure », souligne Cécile Tison, « on est très satisfaites de cette implantation, tant la clientèle est fidèle et en constante évolution ».
Cécile et Alison se forment régulièrement à Lille pour développer l'excellence et répondre au mieux aux tendances. Le samedi, un stagiaire en école de coiffure vient seconder Alison. Dans un salon moderne et lumineux, entièrement rafraîchi, le développement est constant.
« Art et Coiffure », 399, rue de Lille, ouverture du mardi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 18h45, le samedi de 8h30 à 17h. Tél : 03 20 08 10 30
 
Ferme du Vinage : une transmission réfléchie Imprimer Envoyer
Vendredi, 03 Avril 2015 16:12
Geraldine-vignette Tout est né d'une volonté de diversification. Dans les années 80, Thérèse-Marie et Michel Couvreur décident de créer une activité fromagère à la ferme du Vinage, au Pellegrin. Aujourd'hui, une vingtaine de fromages fermiers - dont le célèbre Carré du Vinage - sont produits à raison de 60 tonnes chaque année. L'exploitation fait travailler désormais dix salariés. Mais l'avenir n'attend pas. En 2011, une trayeuse automatique a vu le jour pour « inciter une 10ème génération à s'installer ici », témoignait alors Thérèse-Marie Couvreur. La transmission s'opère en douceur et, depuis décembre dernier, trois associés président aux destinées de la Ferme du Vinage, M. et Mme Couvreur et leur fille Géraldine Capelle, jeune maman de 36 ans qui a toujours exprimé le désir de reprendre l'exploitation. 
Poussée à faire des études, c'est tout naturellement à l'Institut Supérieur d'Agriculture de Lille qu'elle les a menées. De même, son parcours professionnel ne va jamais dévier de ce sillon agricole, que ce soit dans le marketing et la communication au sein de « Perle du Nord », célèbre marque d'endive arrageoise, ou dans l'agrochimie liée au monde agricole en région parisienne. Jusqu'au jour où son mari a l'opportunité d'ouvrir un bureau régional à Lille dans le monde des fusions-acquisitions d'entreprises. L'occasion pour Géraldine et ses deux petites filles de reprendre pied dans sa terre natale.
« Je suis revenue et j'ai trouvé ma place », reconnaît-elle, « j'ai mis en place la cueillette des fruits et légumes qui a permis de capter une autre clientèle, plus jeune, plus familiale et plus urbaine, et de développer des liens ». A l'automne 2013, la réflexion portant sur la transmission de l'exploitation est lancée.

Trois associés et des projets

« Désormais, je suis associée avec mes parents à raison d'un tiers par personne », explique Géraldine, « la ferme comprend l'élevage de 150 porcs présents à l'engraissement, de 70 vaches laitières, la culture de 40 hectares de terre (maïs, herbe) et de deux hectares de cueillette ».
Les trois associés se partagent les tâches. Géraldine endosse un rôle commercial pour les fromages – 40% d'entre eux sont vendus à la ferme, 60% à l'extérieur : point-de-vente à la ferme, crèmerie urbaine de qualité, grossistes régionaux (Rungis, Nantes, Nancy, Metz), grande distribution, exportation dans les pays limitrophes (Belgique, Allemagne, Pays-Bas, Angleterre). Alors que son papa s'occupe de l'élevage et sa maman de la production fromagère, épaulée par un fromager et deux aide-fromagers. Les ventes repartent d'ailleurs à la hausse grâce à une volonté commerciale qui surfe sur la tendance des circuits courts. « Nous sommes très attentifs à la qualité de nos produits », assure Géraldine, « notamment grâce à une bonne alimentation de nos vaches ».
La Ferme du Vinage est devenue une PME à part entière. Un drive a été lancé en septembre dernier grâce à des commandes enregistrées sur le web. L'accueil de groupes mis en place il y a une décennie par une cousine de Géraldine se poursuit à l'occasion d'anniversaires, d'après-midi récréatives, de chasses aux oeufs… En attendant que la transmission prenne une nouvelle forme, l'exploitation fait toujours l'objet de projets. On ambitionne de refaire en 2016 la fromagerie qui date de dix ans. Géraldine vit désormais ce rêve qui l'a toujours habité, au coeur d'un univers qu'elle affectionne particulièrement.
Portes ouvertes de la ferme du Vinage ce dimanche 26 avril de 9h30 à 19h, carrière Mme De Flandre
 
Neuf collégiens créent leur mini-entreprise « Sweat & Sound » Imprimer Envoyer
Mardi, 17 Mars 2015 18:43
Vignette_Sweet Le collège Saint-Thomas, rue de Lille, a intégré en 3ème une option DP3 comme « Découverte Professionnelle 3 heures ». Neuf collégiens ont adhéré à ce programme qui avait déjà vu d'autres groupes se faire remarquer les années précédentes, notamment le projet « Bulle 2 gourmandise » qui a vu éclore la création de savons bio en forme de pâtisseries. Cette fois, sous la houlette de Lucas Dedeken, désigné PDG, la mini-entreprise a pris les contours d'une fabrique de sweats à écouteurs intégrés, au terme d'une démarche qu'ils ont maîtrisée de bout en bout, depuis l'idée mise en oeuvre jusqu'à la couture des systèmes d'attache des écouteurs sans oublier la vente des produits présentés lors d'un défilé de mode organisé en février dernier salle Catry.
Certes, les collégiens ne sont pas livrés à eux-mêmes. Ils sont encadrés par deux enseignants, Fleur Dhaenens en SVT et Jean-François Decaussin en histoire-géo, soucieux de participer à leur manière à ce tremplin enrichissant, et également par Typhaine Piller, chargée de mission de l'association « Entreprendre pour Apprendre (EPA) ». Typhaine les prépare notamment à participer à l'épreuve régionale du « Festival de l'initiative » - plus grand salon national en ce qui concerne la sensibilisation à l'entrepreneuriat des jeunes – qui se déroulera le 27 mai prochain au Zénith à Lille. « Ils doivent constituer un dossier, un power point, ils participeront à des « coaching days » en avril pour se préparer à affronter le jury », souligne-t-elle.
« L'idée est venue d'un copain du sous-PDG », indique Lucas, « il avait vu ce type de sweat à capuche avec des écouteurs intégrés aux Etats-Unis ». Le collège leur a accordé un prêt de 500 euros à rembourser en fin d'année scolaire. De quoi responsabiliser les collégiens qui le savent : ça passe ou ça casse. Pour le logo floqué sur le sweat, ils se sont rapprochés du parrain de la mini-entreprise de l'année dernière qui a décidé de continuer l'aventure en leur apportant une aide professionnelle. Le logo a ainsi été réalisé à l'aide d'un logiciel à « La plaine Images » de Tourcoing, à partir de la tête d'un singe. Et c'est une entreprise douaisienne qui a floqué les logos sur les sweats.
 
Au Zénith de Lille le 27 mai

Finalement, l'opération la plus délicate semble avoir été de coudre les systèmes d'attache des écouteurs. « Je leur ai expliqué comment coudre, ce qui n'a pas été facile pour des garçons mais en travaillant sur des prototypes, ils s'en sont bien sortis ! » reconnaît Fleur Dhaenens. Finalement, les collégiens ont été professionnels jusqu'au bout des doigts, comme le remarque Jean-François Decaussin : « c'est une entreprise à part entière qu'ils ont montée, ils ont passé des entretiens, l'association EPA leur a prodigué une aide via une plate-forme (modèles de facture, organigramme, définition des fonctions dans l'entreprise…), ils ont mené une étude de marché, trouvé les concurrents et les fournisseurs et ils ont réalisé le produit qu'ils ont vendu 30 euros à 58 exemplaires lors d'un défilé de mode qui a été très suivi le 18 février à la salle Catry ».
Plus que jamais confiants en eux-mêmes, ils iront encore sur le marché d'Halluin, leur sweat sera même en vitrine de certaines boutiques, bref, leur mini-entreprise a tout d'une grande, y compris de dégager des bénéfices dont ils feront don à Charlie Hebdo et au Téléthon. Le rêve ainsi concrétisé va peut-être trouver une nouvelle satisfaction le 27 mai au Zénith de Lille s'ils décrochent un prix. « Le plus important dans toute cette belle histoire, c'est que les collégiens ont respecté toutes les étapes du projet et les délais, c'est d'abord cela leur réussite », assure Jean-François Decaussin. (Ph. Thierry Thorel)

 
Olivier Libbrecht crée son entreprise et valorise son expérience Imprimer Envoyer
Vendredi, 13 Mars 2015 15:36
LSTP-vignette Olivier Libbrecht, Roncquois de 51 ans, a fait de son expérience professionnelle un atout pour créer sa Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle (SASU), estampillée LSTP comme Location Services Travaux Publics. Après une formation en génie civil, il a occupé différents postes dans de grosses sociétés, chef de chantier chez Colas (rocade Nord-Ouest, extension de l'aéroport de Lesquin, percement des tunnels du tramway le long du Grand Boulevard…), conducteur de travaux dans une coopérative valenciennoise, opérateur et technico-commercial pour les Eaux du Nord… Il a également été auditeur interne au COFRAC, le Comité Français d'Accréditation (laboratoires de contrôle).
Il s'est notamment spécialisé dans le contrôle et la réhabilitation des réseaux d'assainissement, ce qui est devenu l'activité de sa société qui inclut également le contrôle et l'entretien des voiries. Il travaille pour les professionnels mais également pour les particuliers (curage et vidange de fosses septiques, vérification de tout à l'égout à l'aide d'une caméra…). Olivier Libbrecht s'est formé à la création d'entreprise à la BGE (Boutique Gestion Espace) de Tourcoing en janvier dernier avant de démarrer sa nouvelle activité. A Roncq, il a notamment fait travailler l'un de ses prestataires lors de la pose de nouveaux enrobés rue du Billemont.
LSPT, contrôles et entretiens voiries et assainissements, Olivier Libbrecht, Tél : 06 41 04 01 54, Mail : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
 
Les producteurs locaux à la rencontre du public de l’hypermarché Imprimer Envoyer
Samedi, 21 Février 2015 19:01
producteurs-vignette Opération sympa le 21 février dans la galerie commerciale de l'hypermarché roncquois. Les stands d'une trentaine de producteurs issus de toute la région – de la Vallée de la Lys au Touquet – ont investi ce temple de la grande distribution pour aller à la rencontre d'un autre public, à l'occasion de l'ouverture du salon de l'agriculture. L'occasion pour eux de présenter et de faire goûter leurs produits, gaufres, pains, saumon…
« C'est intéressant de faire connaître à nos clients ces producteurs locaux qui, pour la plupart, souffrent d'un déficit de communication alors qu'ils sont aussi nos partenaires », souligne Philippe Laurent, directeur d'Auchan Roncq, « c'est une manière pour nous d'intégrer le monde productif local ».
Parmi ces producteurs, figuraient les produits d'excellence de Thalassa Gastronomie, société installée dans le parc d'activités des Champs, non loin de l'hypermarché. « On en profite pour proposer aux personnes des dégustations de saumon sous toutes ses formes », témoigne Franck Favier, commercial de l'entreprise, « les gens aiment bien ce que nous leur proposons mais ils ne nous connaissent pas suffisamment. A nous à faire des efforts de communication ». 
 
« Smarteo Water » sur le CIT : l’ingéniosité d’une start-up Imprimer Envoyer
Lundi, 16 Février 2015 17:47
smarteo-vignette Pierre Polier et Loïc Charron se sont associés pour créer il y a trois ans une SAS en région parisienne, dans un garage familial, estampillée « Smarteo Water ». Cette start-up d'informatisation de la gestion d'un réseau public d'alimentation en eau a grandi et a quitté le coeur de la capitale pour s'installer à Roncq, dans le Centre International de Transport, où elle espère grandir et atteindre de 10 à 15 salariés en 2016. Un choix qui ne doit rien au hasard…
Les compteurs d'eau vont s'informatiser pour qu'ils puissent être gérés à distance. C'est sur ce pari d'avenir que les deux associés ont bâti leur société. Agés respectivement de 38 et 25 ans, Pierre Polier et Loïc Charron ont deux profils distincts : le premier est ingénieur Arts et Métiers, le second a suivi une formation commerciale et informatique.
Ensemble, ils ont analysé les vertus du module radio qu'ils ont développé et qui se fixent sur les compteurs d'eau. Selon Loïc Charron, il va permettre de « relever à distance l'index de consommation, de modéliser l'écoulement de l'eau dans le réseau – actuellement 25% de l'eau en France n'arrive pas chez les particuliers – d'alerter par SMS ou mail le particulier en cas de fuite, de détecter d'éventuelles fraudes ou encore de transmettre des données sur la température pour éviter le gel d'un compteur, etc. »
« Mettre en place notre système n'entraîne pas de surcoût pour la collectivité »,  assure Loïc Charron, « il s'agit juste d'un capteur qui transmet à distance des informations ». Et les ondes électromagnétiques émises seraient mille fois moins puissantes que celles d'un téléphone portable !

« La croissance de notre activité est plus forte que celle d'Internet »

L'optimisme est de rigueur dans cette jeune société qui travaille avec un opérateur national qui vient de lever 100 millions d'euros pour aménager le réseau (modules, antennes, gestion informatique). « On s'appuie aussi sur d'autres partenaires, fabricants de compteurs, écosystèmes français… », reprend Loïc Charron, « aujourd'hui, on déploie nos premières installations en France, au pays de Gex (banlieue de Genève, côté français), on répond à tous les appels d'offres, on se positionne ».
Alors, pourquoi cette start-up s'est implantée à Roncq ? « Nos critères de sélection nous ont amenés ici », répond-il, « notre matériel est importé via le port d'Anvers et l'on souhaite s'attaquer au marché de l'Europe du Nord, le marché belge est d'ailleurs potentiellement important pour nous ». Et sur le CIT, locataires de Building International qui n'hésitera pas à les accompagner dans leur développement, Pierre Polier et Loïc Charron savent qu'ils ont tous les atouts : situés au bord de la Belgique le long de l'A22, mais aussi au coeur d'une métropole européenne, grand vivier de compétences, où le recrutement est aisé. « La croissance de notre activité est très importante, plus forte que celle d'Internet ». Dernièrement, « Smarteo Water » a donné naissance à un site-pilote près de Narbonne. Le développement ne fait que débuter !
« Smarteo Water », 4, av. de l'Europe dans le C.I.T., tél: 03 20 70 79 70, site : www.smarteo-water.com, mail : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
 
Le leader français du déménagement sur le CIT Imprimer Envoyer
Vendredi, 30 Janvier 2015 18:39
demeco-vignette Depuis le 7 janvier dernier, Demeco, le leader français du déménagement, dispose d'une agence dans le Centre International de Transport, sur une parcelle de 6000 m2, en lieu et place de l'ancien négoce d'oeufs, non loin du centre de tri postal. Une implantation stratégique au coeur de la métropole lilloise pour développer des activités en France et dans l'Europe du Nord (Belgique, Angleterre, Allemagne). L'agence Demeco Grimonpont, auparavant sise à la Chapelle d'Armentières, réalise une moyenne de six déménagements par jour, soit 120 par mois. Deux chauffeurs viennent d'être embauchés et d'autres recrutements sont prévus d'ici l'été.
Quinze camions offrant des volumes de 20 à 90 m3, 1600 m2 d'entrepôt sur 6,50 mètres de hauteur, 200 m2 de bureaux, et un terrain engazonné qui va vite être asphalté pour accueillir les véhicules. Un point de chute taillé sur mesure que Sébastien Berthelot, le directeur d'agence, n'avait pas réussi à dénicher ailleurs dans la métropole. C'est dire sa satisfaction, lui qui travaille désormais à Roncq avec 15 salariés en exploitation (chauffeurs, chefs d'équipe, déménageurs) et quatre administratifs. Deux autres agences Demeco sont installées dans la région, l'une à Lomme et l'autre à Calais.
Si les particuliers constituent 70% de la clientèle et les entreprises les autres 30%, les habitudes de déménagement ont bien évolué ces dernières années. « Il y a une quinzaine d'années, on enregistrait beaucoup de déménagements de retraités vers la Côte d'Azur », témoigne Sébastien Berthelot, « aujourd'hui, les mêmes retraités déménagent pour retourner dans leur région d'origine ou pour se rapprocher d'un membre de leur famille, ils privilégient le confort de vie au soleil ».

Résider à Lille, travailler à Paris ou à Londres

A l'inverse, les déménagements vers la métropole lilloise sont essentiellement motivés par des mutations professionnelles. « On voit aussi beaucoup de gens travailler à Paris et résider à La Madeleine, à deux pas des gares pour emprunter le TGV au quotidien », explique le directeur de l'agence, « c'est un phénomène qui s'amplifie désormais avec Londres. »
« A la Chapelle d'Armentières, on avait l'habitude de travailler sur le secteur de Tourcoing, Marcq, Bondues, Mouvaux, Linselles… ». Autre atout pour cette agence Demeco : la mise à disposition de près de 300 containers garde-meubles individuels de huit mètres cube chacun. « On est les seuls à acheminer jusqu'au domicile du client le container vide, à le remplir et à l'acheminer jusqu'à son point de stockage dans nos locaux », s'enthousiasme Sébastien Berthelot.
Déménagements Demeco Grimonpont, 19, av. de l'Europe, Tél : 03 20 77 13 52 ou 06 09 79 95 41, Fax : 03 20 77 19 29, Mail : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. , Site : www.demeco.fr  
 


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