« Coiff&Tranquille » : faites-vous coiffer chez vous |
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Vendredi, 13 Novembre 2015 11:51 |
A 39 ans, Augusta Ferreira a pratiqué la coiffure en salon pendant 23 ans dans la métropole lilloise. Suite à un licenciement économique, cette Roncquoise a créé son activité de coiffeuse à domicile, sur rendez-vous. Titulaire de tous les diplômes de coiffure (CAP-BP et formations complémentaires), elle exerce ses compétences sur le secteur de Tourcoing et de la Vallée de la Lys en pratiquant coupe, brushing, couleur, balayage, mèches, permanente… et coiffe aussi bien les femmes que les hommes. Le bouche-à-oreille est le meilleur des supports de communication pour assurer sa notoriété qui ne cesse de grandir au fil du temps. Et depuis 2014, elle participe aux défilés de mode organisés par les commerçants roncquois en partenariat avec la Ville, à l'occasion des festivités de Noël rue des Arts. Elle assure ainsi la coiffure des mannequins féminins et masculins qui défilent sur podium. Une belle carte de visite ! « Coiff&Tranquille », sur rendez-vous, Tél : 07 82 92 08 63, Mail :
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Riga double de superficie sur le CIT |
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Jeudi, 12 Novembre 2015 11:59 |
Le Centre International de Transport n'a jamais été aussi occupé qu'en ce moment, seuls deux locaux restent vides. Les arrivées et développements sont spectaculaires. A commencer par les laboratoires Riga, spécialisés dans les accessoires et friandises pour la petite animalerie (chiens, chats, oiseaux, aquariophilie, rongeurs), qui doublent leur superficie avec le rachat du bâtiment voisin à leur site historique du CIT. La société Chauffamat de Tourcoing s'installe également sur le Centre de Transport sur 5600 mètres carrés alors que les locaux, eux aussi historiques, du transporteur « La Flèche cavaillonnaise » ont été rachetés par la société d'investissement immobilier « Building International » en vue d'une cure de jouvence (nouveau bardage à l'image du site ArjoHuntleigh tout proche…). Quatre sociétés sont très implantées sur le CIT : Cadès, Building International, Ziegler et Riga. Cette dernière renforce son implantation dans la partie parallèle au Bd d'Halluin. Avec un objectif, comme nous l'explique Jean-Pierre Hennebelle, directeur de la logistique des laboratoires Riga : regrouper les métiers de la logistique dans un même site, à savoir ce bâtiment fraîchement acquis et occupé précédemment par « Euroterminal ». Quant au site historique de Riga au 41 Av. de l'Europe, ouvert en 1995, il va accueillir la production jusqu'alors développée à Tourcoing. Cette nouvelle organisation sera opérationnelle dans le courant du 1er trimestre 2016 et occupera une centaine de salariés au lieu des 80 actuels.
Guisse Imprim et Fraikin s'implantent aussi sur le CIT
Riga, c'est l'histoire familiale de deux pharmaciens qui, en 1954, ont créé les laboratoires Elsay&Riga spécialisés dans les produits colombophiles et avicoles. Puis la grande distribution a pris le pas sur les grainetiers, éleveurs et petites animaleries dans les années 70. Les laboratoires ont alors pris leur envol. Désormais les laboratoires Riga appartiennent à la société belge Versele, l'un des fournisseurs de Riga à l'origine. Le CIT fédère environ 80 des 130 salariés que compte l'entreprise dans plusieurs sites, à Roncq donc mais aussi Av. Masurel à Tourcoing ou encore à Neuville-en-Ferrain avec les Laboratoires Vétérinaires de La Marlière qui développent des produits de soins pour la petite animalerie. Les trois cellules de 5000 mètres carrés du nouveau et impressionnant bâtiment, doté de quais de déchargement, vont permettre d'accueillir l'ensemble du stockage et des métiers de la logistique des laboratoires Riga. D'autres mouvements d'entreprises sont prévus sur le CIT où est également annoncée l'arrivée de « Guisse Imprim », société basée à Annezin dans le Pas-de-Calais. Sans oublier la reprise du garage de « La Flèche cavaillonnaise » par "Fraikin". |
« Nathalie GH » : coiffure à domicile sur rendez-vous |
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Jeudi, 05 Novembre 2015 12:27 |
Coiffeuse depuis l'âge de 16 ans, Nathalie Gheerardyn n'a cessé d'exercer son savoir-faire et son talent jusqu'à créer sa propre activité le 1er octobre dernier. Armentiéroise d'origine et Roncquoise depuis 25 ans, elle a fait son apprentissage dans la cité des Nieulles avant de passer avec succès son Brevet Professionnel de coiffure à Loos. Elle a travaillé pendant 11 ans au salon « VOG » d'Halluin tout en étant responsable de la même enseigne du salon de Neuville-en-Ferrain. Elle a également travaillé pendant huit ans chez « Attitude Coiffure », rue de Paris à Tourcoing. Suite à un licenciement économique, elle a décidé de créer son activité de coiffeuse à domicile, sur rendez-vous. « Je coiffe femmes et hommes de toutes les générations », souligne-t-elle, « je vais aussi bien au domicile des particuliers que dans les hôpitaux, les maisons de retraite, je coiffe également les personnes à mobilité réduite et bien d'autres ». Elle se déplace à Tourcoing et dans les communes de la Vallée de la Lys, réalise coupe, brushing, permanente, couleur, balayage… et les clients sont au rendez-vous ! « Coiffure à domicile Nathalie GH », sur rendez-vous, Tél : 07 50 81 71 01 07 50 81 71 01, Mail :
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Vie agricole : la récolte des pommes-de-terre |
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Jeudi, 01 Octobre 2015 17:00 |
Après les moissons de l'été et l'ensilage maïs, les agriculteurs roncquois profitent de l'été indien pour récolter différents légumes, pommes-de-terre, poireaux… Le 1er octobre, nous nous sommes rendus à la ferme Cuvillier, au bas de la rue Latérale, où Cédric et ses parents ont récolté près de 1000 tonnes de pommes-de-terre principalement vendues à des industriels belge et français. Une opération toujours fascinante, à la fois dans les champs où l'arrachage est entièrement automatisé. Dans un hangar de la ferme, les pommes-de-terre empruntent un tapis roulant où elles sont triées avant d'être stockées à l'abri. Le tri est réalisé à main nue sur ce tapis roulant. L'opération est fastidieuse mais rapide. (Photos Thierry Thorel)
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Le retour d’une supérette au Blanc-Four fin 2016 |
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Jeudi, 01 Octobre 2015 11:39 |
Les habitants du Blanc-Four se souviennent encore de l'ancien magasin « Spar » qui était implanté sur l'actuel site des Ets Raes, rue de Lille. C'était il y a déjà plus de cinq ans. Le 29 septembre dernier, les élus ont adopté à l'unanimité une délibération prévoyant la revente d'un immeuble non bâti, au 124 rue de Lille (près de l'enseigne « Tutti Fani ») – qui avait été préempté par la Ville en 2009 - la dernière dent creuse de 427 m2 à proximité des sites Kok/Scalabre devenus aujourd'hui celui de « La Poterie ». Après différents contacts et notamment celui entre Vincent Ledoux et Noël Prioux, directeur de l'enseigne « Carrefour » durant l'été dernier, l'enseigne « Proxi » qui dépend du groupe « Carrefour », se montre intéressé pour exploiter au rez-de-chaussée de cette adresse un petit magasin d'alimentation d'environ 125 m2 de surface commerciale. Aux étages, prendront place quatre logements (deux T2, un T3, un T4). La revente de cet immeuble non bâti a respecté l'évaluation des Domaines. On peut donc envisager une ouverture de ce « Proxi » à l'horizon fin 2016, après le dépôt du permis de construire et le temps de la construction.
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Vie agricole : le temps des récoltes et de l’ensilage |
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Lundi, 21 Septembre 2015 17:26 |
Après les moissons de l'été, les agriculteurs roncquois s'associent pour procéder à l'ensilage, plus précisément à la récolte du maïs. Le 21 septembre, on a ainsi assisté à un ballet d'engins agricoles dans les champs de maïs de la Ferme des quatre Vents, avant d'observer les mêmes scènes dans d'autres exploitations locales, la ferme Hennion ou encore celle de Nicolas Antoine, rue Pasteur. Cette opération a été réalisée avec le concours de la CUMA (Coopérative Agricole installée à Halluin) qui a mis à disposition des agriculteurs roncquois une ensileuse très moderne, équipée notamment d'un écran vidéo pour surveiller conjointement le travail de coupe des maïs et le jet du fourrage destiné à l'alimentation du bétail. Ludovic Delpierre, l'exploitant de la Ferme des Quatre Vents, Carrière Mme Deflandre, a planté entre 13 et 14 hectares de maïs ensilage pour nourrir son troupeau d'une quarantaine de vaches et d'une quinzaine de veaux et génisses. « C'est insuffisant », reconnaît-il, « je dois aussi en acheter à l'extérieur pour nourrir mes bêtes jusqu'à la prochaine saison ». Une fois récolté, le maïs ensilage est stocké dans la ferme où il est tassé à l'aide d'un tracteur pour chasser l'air du silot et ainsi assurer sa conservation. Les collectes de pommes-de-terre vont suivre comme du côté de la ferme d'Emmanuel Catteau, rue de Lille. Et puis, il sera déjà temps de penser aux semis des céréales. Vous pourrez retrouver le 3ème et dernier volet de la Vie agricole à Roncq sur www.roncq.tv début octobre
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Un Ministre sénégalais, Mame Mbaye Niang, à la Ferme du Vinage |
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Lundi, 14 Septembre 2015 20:58 |
Cadre de l'aviation civile et désormais Ministre de la Jeunesse, de l'Emploi, et de la Construction citoyenne, Mame Mbaye Niang, ancien président du Conseil de Surveillance de la Haute autorité de l'aéroport Léopold Sédar Senghor, et figure de proue de la Convergence des jeunesses républicaines, était en visite à la Ferme du Vinage le 14 septembre en fin d'après-midi. Invité par Vincent Ledoux et accueilli par Thérèse-Marie, Géraldine et Michel Couvreur, il a pu apprécier l'exemplarité technologique et écologique de l'exploitation roncquoise ainsi que les circuits courts de la vente à la ferme. Visiblement séduit par le robot de traite automatique mais aussi par la diversité et la qualité des produits proposés à la vente, il a fait part de son amitié et de son désir de développer ce type d'exploitation agricole pourvoyeuse d'emplois dans son pays, un modèle en effet tout à fait transposable en Afrique. Cette entreprise familiale a en effet su créer 12 emplois en valorisant la transformation du lait en produits laitiers prisés dont les fromages du Vinage vendus et exportés dans différents continents, ou encore en développant un potager destiné à la cueillette. Bref, un bel exemple de développement agricole vertical, économe en terre, respectueux de l'environnement et outil de valorisation économique. Le Ministre a goûté au célèbre « Carré du Vinage » mais aussi au jus de pomme de première fraîcheur. Et s'il s'est vu offrir par le Maire de Roncq un hippopotame de cristal et un florilège de ces bons produits de la ferme avant de repartir, il a également emporté un même panier garni pour le président sénégalais Macky Sall. Désormais, les fromages de la ferme du Vinage poursuivent ainsi leurs rôles d'ambassadeurs auprès des amis africains du Sénégal ! (Photos Thierry Thorel)
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Les dix ans de « L’Atelier » : le rêve gourmand se poursuit |
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Vendredi, 11 Septembre 2015 16:45 |
C'était en octobre 2005 et l'émotion exprimée alors par Stéphane Vandevivère, le gérant propriétaire du restaurant « L'Atelier », était à la hauteur du pari lancé. En lieu et place d'une activité de fabrication et de négoce de meubles née en 1910 et qui s'est poursuivie jusqu'en 2005 grâce à une filiation sans faille, le 499 de la rue de Lille s'est métamorphosé en l'une des meilleures tables de Roncq. Pour Stéphane dont les parents étaient charcutiers-traiteurs, c'était un retour aux sources après la parenthèse des meubles. Avec Sophie, son épouse, et une personne en salle, ils ont démarré à trois et sont à quatre aujourd'hui. Céline, la chef en cuisine, a fait ses gammes durant 15 ans au Hilton de Bruxelles, en Roumanie ou encore au Hilton de Prague avant d'arriver à Roncq où elle officie depuis plus de six ans. Elle est entourée d'un second, sans oublier une personne en salle et Stéphane. Cette belle équipe est soudée par l'envie commune de faire plaisir à une clientèle fidèle. La salle créée il y a une décennie est plus que jamais prisée pour son ambiance singulière avec le feu de bois, les grands formats historiques et artistiques rattachant le lieu aux racines roncquoises, les gravures… Et surtout, il y a une âme qui rejoint l'esprit du terroir servi dans les assiettes où l'on retrouve exclusivement des produits frais venus des fermes environnantes. Bref, du fait maison avec de bons produits cuisinés avec passion. Stéphane s'est épanoui et le travail est devenu pour lui un plaisir, autant que ses clients sont devenus pour la plupart des amis. A la salle d'origine, se sont greffés un coin lounge et une terrasse que la clientèle s'arrache dès que le soleil éclaircit l'horizon. Le sable de Marquise et la pelouse se rejoignent pour offrir à ce jardin susceptible d'accueillir une cinquantaine de convives un aspect provençal. C'est dire si les dix ans ont été fêtés dans ce même esprit de fidélité et de gourmandise ! (Photos Thierry Thorel)
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