Economie
Les cuisines sur mesure d’Edouard Lecolier ont désormais pignon sur rue Imprimer Envoyer
Vendredi, 16 Février 2018 15:24
cuisines-Raison6.jpg-vignetOriginaire de Bondues et installé à Roncq depuis 2012, Edouard Lecolier, âgé de 35 ans, est riche d'un parcours professionnel commercial. Soucieux de créer sa propre activité, il a franchi le pas par hasard. En commercialisant 80 cuisines en 2017, il avait affiché la 3ème performance nationale du cuisiniste implanté dans tout l'Hexagone. Désormais, Edouard Lecollier a un show-room installé au 87 rue de Lille au Blanc-Four.
En devenant cuisiniste indépendant, Edouard Lecolier ne s'attendait pas à un tel engouement. Déjà, en 2014, il avait vendu de nombreuses cuisines – à tous les prix, du grand public au très haut-de-gamme - qu'il fait monter par des artisans poseurs. Coût moyen d'une installation : environ 10 000€ TTC. « Ce qui est important, c'est accompagner les clients pour développer une relation de confiance ». De la conception à domicile, du sur-mesure, de la qualité, des prix attractifs… voilà quelques recettes qui expliquent l'excellent bouche-à-oreille dont il bénéficie.
Il dispose d'un show-room installé dans une ancienne maison de tisserand entièrement rénovée. Et propose également de l'aménagement intérieur sur mesure, aussi bien pour un salon, une salle-de-bains… en partenariat avec une architecte d'intérieur.   
E.L Cuisines, Edouard Lecolier, Vallée de la Lys, show-room au 87 rue de Lille au Blanc-Four (sur rendez-vous), Tél : 06 08 36 39 28, Mail : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. , Site : www.elcuisines.com
 
Chocmod : la réussite d’un savoir-faire développé depuis 70 ans Imprimer Envoyer
Mardi, 13 Février 2018 19:28
Chocmod70-bis-vignettejpgLa Chocolaterie Moderne, confiserie familiale à l'origine, a été créée par deux frères, Bernard et Francis Destombes, en 1948 à Tourcoing. Iconoclastes, ils avaient osé lancer des bonbons gélifiés avant tout le monde. C'est en 1995 que Chocmod (contraction de Chocolaterie Moderne) s'est implantée à Roncq dans une usine flambant neuve sur le site de l'ancienne linière Leurent. Dès le début des années 80, les truffes en chocolat ont pris l'ascendant sur la confiserie. Aujourd'hui, la production s'est équilibrée entre truffes et confiserie avec le succès des guimauves et principalement des oursons. Retour sur 70 ans de réussite d'une entreprise qui vend sur différents continents et qui mise constamment sur l'innovation. 
Les deux frères Destombes ont cédé les rênes de l'entreprise aux deux cousins  de la même famille avant qu'eux-mêmes ne vendent leur activité en 2008 à Antoine Fortin et Ghislain Lesaffre, toujours aux commandes de la société. Le développement n'a jamais cessé. Chocmod emploie jusqu'à 180 salariés au plus fort de l'activité en septembre et vient d'embaucher six CDI (conducteurs de ligne). Le site industriel roncquois développe deux grosses lignes de production en confiserie et quatre lignes de fabrication de truffes sans oublier le conditionnement, les ateliers annexes et la logistique. La formation interne a toujours été essentielle dans l'approche de cette entreprise vers toujours plus d'innovations reposant sur les dernières tendances (trois nouvelles variétés de truffes bio certifiées « Ecocert », tablette de chocolat fourré à la pâte à truffe, tuiles en chocolat croustillant, perles de chocolat au coeur de pâte à truffe aromatisée à la framboise ou au coeur de pâte à truffe avec pépites de quinoa et cranberry…). Dernièrement, un département « Négoce et développement » a même été créé pour confectionner des produits nouveaux avec les matières travaillées chez Chocmod (pâte à truffe, tablette de chocolat fourrée à la pâte à truffe, tuiles en chocolat croustillant qui plaisent beaucoup en Asie…). Le souci de faire évoluer les produits les plus traditionnels est permanent et concentre tous les efforts des deux labos de recherche, à Roncq et au Canada.

Toujours plus d'innovations

Après l'implantation en 2011 d'une unité de production de truffes chocolatées au Canada de 3000 m2, après la construction d'une extension de 4000 m2 sur le site roncquois, près du Bois Leurent, soutenue financièrement par la Métropole Européenne de Lille, le temps du développement est en effet constant avec l'élaboration chaque année de nouveaux produits. Le récent bâtiment de 100 mètres de long sur 38 mètres de large et neuf mètres de hauteur, à température dirigée, est opérationnel depuis juin 2014. Doté de trois quais d'embarquement, il abrite du stockage géré de façon informatique, avant d'accueillir à terme des lignes de fabrication de nouveaux produits chocolatés et de confiserie.
« C'est une réponse au besoin d'innovation indispensable à notre compétitivité, nous sommes toujours le leader mondial de la production de la truffe chocolatée, mais il faut sortir de nouveaux produits destinés à la grande distribution, aussi bien en France qu'à l'international (Etats-Unis, Europe, Asie) pour répondre aux nouveaux modes de consommation », souligne Sophie Niemczewski, Responsable des Ressources Humaines, « on a sorti en 2015 les « Clusters » à base de chocolat, noisettes et biscuit pour le grignotage, ou les « Fruity Mallow » associant fruit et guimauve et qui se vendent très bien ».
La société Chocmod est capable de produire à Roncq où elle est implantée depuis 1995 à l'angle de l'av. de Flandre et de la rue de Lille, 11 000 tonnes annuelles de truffes, chocolats et autres guimauves et produits de confiserie. Une extension du site canadien, près de Montréal, est envisagée pour héberger de nouvelles lignes de fabrication.
Différentes animations vont égrener cette année 2018 pour fêter les 70 ans de la société Chocmod : concours de recettes avec des produits de l'entreprise à destination du personnel, concours lancé prochainement sur Facebook pour refaire le logo, chasse aux chocolats organisée fin mars dans le parc de la Mairie pour un public d'enfants, journée anniversaire le 30 juin… Le dynamisme de Chocmod ne s'essouffle pas et cet anniversaire entend bien le montrer. (Texte Patrick Bonte, Photos Thierry Thorel et Patrick Bonte)
 
Ouverture de la pizzeria « Il Mondo » au Pied-de-Bœuf Imprimer Envoyer
Jeudi, 01 Février 2018 11:32
Raimondo5.jpg-vignetteL'ancien négoce de véhicules a cédé la place à une pizzeria à l'angle des rues de Tourcoing et du Dronckaert, face aux « Caves du Dronckaert ». C'est un bout ensoleillé de Sicile qui s'est ouvert dans ce bâtiment récent du lieu-dit « Le Pied-de-Boeuf ». Raimondo Puletto, 49 ans et Roncquois depuis plus d'une vingtaine d'années, n'oublie pas ses racines siciliennes et tous les plaisirs qui accompagnent la carte postale, à commencer par les traditions culinaires, au premier rang desquelles on trouve la pizza.
Après un parcours aussi éclectique qu'enrichissant – apprenti maçon à 14 ans avant de côtoyer les secteurs de l'hôtellerie, du bâtiment, de l'immobilier comme agent pendant une décennie chez « IMA » à Tourcoing, de la restauration en ouvrant un établissement à Carquéranne, près d'Hyères dans le Sud de l'Hexagone – il est revenu à ses fondamentaux en ouvrant le 30 janvier dernier une pizzeria flambant neuve. Propriétaire du bâtiment avec l'agence « IMA », il a ré-agencé entièrement le rez-de-chaussée où s'étend une salle design d'une vingtaine de convives, superbement ouverte vers l'extérieur grâce à une généreuse baie vitrée et à une terrasse extérieure. A noter la mise à disposition d'un parking privé.
Deux salariés accompagnent le patron dans son nouveau challenge, une cuisinière et un pizzaïolo. Sur la base de produits frais, la carte ne propose que du « fait maison » comme là-bas : pizzas, pâtes, lasagnes, salades, desserts italiens. Cette nouvelle adresse gourmande vient enrichir ce secteur du « Pied-de-Boeuf », face à d'autres enseignes tout aussi gourmandes et bien fréquentées.
Pizzeria « Il Mondo », à l'angle des rues du Dronckaert et de Tourcoing, ventes à emporter et service en salle, fermeture le lundi, mardi-mercredi-jeudi de 11h30 à 14h et de 18h30 à 21h30, vendredi et samedi de 11h30 à 14h et de 18h30 à 22h, dimanche de 18h30 à 22h (fermeture le midi), pour infos et réservations : Tél : 03 20 29 28 41
 
Centre-Bourg : la lunetterie Martin succède à l’optique Vitse Imprimer Envoyer
Mardi, 23 Janvier 2018 12:59
lunetterie-Martin3.jpg-vignCette vitrine est l'une des plus emblématiques du Centre-Bourg. Mais après 37 ans de présence au 409 rue de Lille, l'enseigne change de visage et de gérance. En effet, depuis le 19 décembre 2017, Christelle Martin, gérante, et Bertrand Leclercq, salarié, président aux destinées de cet établissement qui revient sur les fondamentaux du métier d'opticien, à savoir le conseil et le savoir-faire. D'où l'appellation « lunetterie » qui correspond davantage à l'image de proximité et de qualité qu'entendent développer les nouveaux gérants.  
Depuis 2008, date du départ  du photographe Jean-Jacques Blond, ce magasin d'optique s'est étendu pour proposer un espace commercial plus vaste, un couloir d'examen de vue et une mezzanine pour les archives. Suite au départ à la retraite de Bernadette Vitse, son ancienne assistante Christelle Martin, Roncquoise de 29 ans, associée à son mari, a spontanément racheté le fonds de commerce. C'est tout aussi naturellement qu'elle a engagé Bertrand Leclercq, Lillois de 29 ans qui a obtenu un BTS d'optique dans la même promotion et le même établissement tourquennois que sa nouvelle patronne.
Après avoir obtenu la confiance bancaire et repris la clientèle issue de Roncq et de nombreuses communes situées aux alentours, elle impulse ce projet d'entreprise avec enthousiasme, très heureuse de le mener au coeur du Centre-Bourg. « Je suis indépendante à 100% et en implantation sélective pour proposer des montures exclusives dans notre secteur », souligne-t-elle, « avec Bertrand, on revient aux fondamentaux, le conseil, de l'écoute et du savoir-faire ». Et d'observer actuellement une demande vers des montures de fabrication et de qualité françaises, voire européennes, ainsi qu'une tendance rétro, privilégiant les lunettes rondes. (Reportage Texte et Photos Patrick Bonte)           
Lunetterie Martin, 409 rue de Lille, Tél : 03 20 37 54 85
 
Quand les rêves de jeunes designers deviennent réalités Imprimer Envoyer
Jeudi, 18 Janvier 2018 17:53
design9.jpg-vignetteIls ont tous les deux 25 ans et des rêves plein la tête. Depuis l'été 2017, ils ont créé leur activité de designers après une formation à Saint-Luc à Tournai dans le stylisme d'objets. S'ils façonnent et modèlent toutes les matières – résine, bois, métal, plâtre, tissu, cuir, béton… - ils débordent avant tout d'inspiration créatrice. Olivier Gilson, designer bruxellois, a été séduit par leurs réalisations et a décidé de les soutenir et de les suivre. Nul doute qu'on reparlera d'eux d'ici 2020 quand la Métropole Européenne de Lille sera capitale mondiale du design !
D'aucuns les prendront pour des « MacGyver », voire des moutons à cinq pattes. Toujours est-il que leur imagination n'a pas de limites. Rémi Vandevivere, fils d'un restaurateur roncquois, a été imprégné de l'univers de l'atelier d'ébéniste de son grand-père. Mathieu Bochu, originaire de Chartres, est revenu à ses fondamentaux après s'être essayé au graphisme. Il a croisé Rémi Vandevivere à Saint-Luc à Tournai et, depuis, par affinité, ils ont décidé de s'associer pour créer leur activité de design.
Les idées ne manquent pas et leur atelier roncquois déborde déjà d'objets aussi singuliers qu'inattendus : une brouette Solex, véhicule hybride ; une prothèse café racer constituée d'un coffre, d'un jerricane et d'une selle moelleuse, le tout installé sur un Solex ; ou alors un violon électrique, version onirique d'un bon vieux Stradivarius revisité ; ou l'Espringarde, arbalète sur trois roues tout droit extraite de l'imaginaire incommensurable de Léonard de Vinci…
Tout relève de l'éphémère, de l'improbable et pourtant les objets sont bien réels et fonctionnels. Rémi et Mathieu ont décidé de rejoindre « Lille design » qui promeut leur démarche en créant des liens entre les designers. Dans le même temps, Olivier Gilson leur passe des commandes comme pour la brouette Solex. « Notre travail porte sur des pièces uniques pour des particuliers, des entreprises », souligne Mathieu, « notre savoir-faire repose avant tout sur l'inspiration pour répondre au mieux à la commande ». Mathieu et Rémi vont ainsi conjuguer singularité et fonctionnalité pour donner naissance à tous types d'objets, du meuble au coffret en passant par des machines mobiles. Le cheminement laissera aussi une part à des expressions plus personnelles. Ainsi, en septembre prochain, ils entendent bien participer au salon « Design September » de Bruxelles.

Rémi Vandevivere et Mathieu Bochu, designers
Tel : 06 48 68 34 59 ou 06 84 40 55 86
Site : www.remivandevivere.com
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« Gér’animo » : gardiennage, dressage, sociabilisation, promenade de tous les animaux Imprimer Envoyer
Mercredi, 17 Janvier 2018 13:24
geronimo14.jpg-vignetteC'est sous un vent glacial que la promenade est organisée ce matin-là au Bois Leurent. Les sept chiens de tous gabarits amenés par Marie Deruwez, Labrador, Dog argentin, Jack Russel, Malinois… bondissent de vitalité et gambadent en toute liberté dans le vaste espace public. Dans le même temps, Marie veille à collecter dans des sacs ad hoc toutes les déjections canines laissées en chemin. Le spectacle de ces chiens heureux et respectueux de leur chef de meute, à savoir Marie, est enivrant.
A 29 ans, jeune maman d'une petite fille de deux ans, elle exerce l'activité de « Pet sitter » qui lui correspond parfaitement. Elle est en harmonie avec ces chiens âgés de 2 à 12 ans et confiés par des maîtres résidant à Roncq et dans les communes environnantes. C'est en avril 2017 – après avoir cumulé un premier métier d'aide-soignante et d'autres jobs ensuite – qu'elle a franchi le pas de la création de cette micro-entreprise estampillée « Gér'animo ».
En fait, elle vit au coeur du monde animal depuis qu'elle est toute petite. Et pour cause : sa marraine Marjorie n'est autre que l'éducatrice canine et la fondatrice en 2005 de la société « Ecozoone », pionnère dans l'éco-pâturage. Autant dire que la validation de sa formation par un organisme agréé a été une formalité après avoir reçu un tel apprentissage familial !
« Je dresse d'abord les chiens en milieu urbain, puis je les garde et apporte divers services comme le gardiennage à domicile, la réponse à des urgences, je suis même disponible quand la demande se fait à la dernière minute, avant un week-end…», précise-t-elle tout en surveillant minutieusement l'échappée belle des sept chiens qui s'en donnent à coeur joie, « ils ont besoin de courir, de rencontrer leurs congénères, de se hiérarchiser entre eux ». D'autres chiens viennent également se mêler à la fratrie en toute complicité.

« Je prends en charge tous types d'animaux »

La promenade collective dure une heure pendant laquelle Marie raconte comment son projet a mûri, parle de la reconnaissance des chiens et de l'étendue de son activité. « Je ne m'occupe pas seulement des chiens et autres animaux domestiques, je prends en charge tous types d'animaux, chevaux, équidés, j'ai actuellement trois vaches auxquelles j'apporte la nourriture, le foin tout en veillant à leur santé et à la bonne tenue de la clôture, j'ai déjà gardé des chèvres, des moutons ou encore des poneys ».
En moyenne, Marie Deruwez s'occupe d'une petite dizaine de chiens au quotidien. Par tous les temps, en toutes saisons, elle promène les chiens après avoir été les chercher et avant de les ramener à leurs propriétaires, souvent des actifs très occupés. « Pas une journée ne ressemble à une autre, je promène les chiens en différents endroits, à Roncq, à Bondues… », ajoute-t-elle, sereine, partageant le même enthousiasme que celui de ces sept chiens affectueux et dociles. (Reportage Texte et photos Patrick Bonte)

Gér'animo, gardiennage, dressage, sociabilisation, promenade, pour tous vos animaux, domestiques ou non, renseignements et tarifs au 07 86 93 88 95, également sur Facebook  


 
2017, année de l’éco: 91 nouvelles entreprises, chômage en forte baisse Imprimer Envoyer
Mardi, 16 Janvier 2018 10:34
voeux-eco-2017-vignette.jpgUn public plus dense que les années précédentes s'est réuni aux Anciennes Ecuries le 15 janvier en soirée, à l'occasion des voeux économiques présentés par Rodrigue Desmet, Maire, et Anne Thorez, Adjointe au Développement économique et à l'Emploi. Sylvie Maeseele, directrice de l'agence Pôle Emploi d'Halluin, est également intervenue. Pas de doute, l'année 2017 a été celle de l'éco à Roncq : 730 entreprises ont été recensées sur le territoire dont 91 ont été créées durant l'année écoulée. Autre bonne nouvelle : le nombre de demandeurs d'emploi sans activité (de catégorie A) a enregistré une baisse de 5,8% - soit 508 personnes, 260 hommes et 248 femmes - par rapport à l'année précédente, alors que dans le même temps, le nombre de chômeurs sans activité progressait de 1,7% dans la région des Hauts-de-France. On remarquera que ce sont les personnes les moins qualifiées qui éprouvent le plus de difficultés à retrouver un emploi (+14,7% et +23,7% pour les non diplômés) alors que les moins de 25 ans profitent le plus de la reprise d'activités (-20% de demandeurs d'emploi en 2017 à Roncq).
Anne Thorez a vanté les vertus de l'action économique, loin de toute incantation. Rodrigue Desmet a quant à lui prôné le dialogue et la rencontre. « J'ai envie de venir vers vous, d'aller à la rencontre des commerçants, des artisans, des entrepreneurs parce que j'ai envie d'être dans le concret, j'entends développer une communication plus franche sur les commerces du Centre-Bourg », a-t-il souligné en annonçant un partenariat plus étroit avec Pôle Emploi. Et d'inciter les acteurs économiques présents à participer davantage à la vie locale, en louant par exemple des salles municipales, et de veiller à la propreté et au bon accueil de leurs différents sites.
Avant de souhaiter ses meilleurs voeux pour l'année 2018, le Maire a fait part de nouvelles implantations au parc Pierre-Mauroy, notamment en front-à-rue le long de la rue de Lille. Sylvie Maeseele a de son côté brossé la situation de l'agence Pôle Emploi d'Halluin : 1500 offres d'emploi pour lesquelles 95% ont été satisfaites en 2017, alors que 252 demandeurs d'emploi ont été embauchés à Promenade de Flandre dont 164 inscrits depuis un an. Cette manifestation a été aussi l'occasion de découvrir deux vidéos de découverte du site et de l'application de Pôle Emploi, ainsi qu'une rétrospective de la Ville consacrée à des commerces et à des entreprises arrivées sur le territoire roncquois en 2017. Le public a partagé durant la soirée un buffet offert par la Ville, dans ce même souci de partage et de rencontre. (Texte Patrick Bonte, Photos Thierry Thorel)
 
« Destock 310 », c’est aussi du conseil déco à domicile Imprimer Envoyer
Lundi, 08 Janvier 2018 18:13
destock-deco21.jpg-vignetteIl y a quatre ans, l'ancienne galerie d'art de Cédric Bacqueville a cédé le pas à un univers de décoration au 310 de la rue de Lille, dans le Centre-Bourg. Virginie Desaeger, passionnée de décoration intérieure, a depuis cette ouverture développé une activité de conseil déco à domicile en plein développement. Elle prodigue de précieux choix de couleurs, de styles (anglais, scandinave…), de disposition des meubles, d'objets de décoration… au coeur de l'intimité des lieux de vie habités. Actuellement, elle planche sur pas moins de six projets dans différentes communes, Roncq, Neuville-en-Ferrain, Wambrechies, Lesquin ou encore Templeuve (Bel).
Ancienne visiteuse médicale, cette Roncquoise a profité d'une formation pour valider un diplôme de décoratrice d'intérieur. Désormais, elle constitue des dossiers pour différents clients, se rendant chez eux pour présenter de façon très concrète des propositions, disposant sur place des éléments de décoration, présentant des panoramas de couleurs, redistribuant les meubles… toujours animée d'une même ambition : créer une mise en situation à contre-courant des standards. « Je viens avec des pièces uniques de décoration, des petites séries, des objets qu'on ne trouve pas chez les autres », témoigne-t-elle, « j'apprécie cet aspect décalé qui séduit toujours et qui suscite des réactions ».
Sa clientèle attentive à ses conseils se situe plutôt entre 40 et 65 ans auprès de jeunes qui se concentrent sur une seule pièce à la fois. « Mon premier projet a été à Neuville-en-Ferrain à l'occasion d'un cadeau de fête des mères et c'est une famille pour laquelle je continue toujours à apporter des conseils tant elle me fait confiance, c'est une vraie reconnaissance qui a boosté mon activité », s'enthousiasme-t-elle. Si le premier effet de surprise de cette vitrine n'est autre que l'emblème de ce magasin, à savoir un chien rose qui a un air de famille avec l'hippopotame rose de Roncq, l'autre belle surprise c'est sans aucun doute ces conseils de décoration avisés que vous pouvez obtenir en contactant ce commerce de déstockage d'objets de décoration.
« Destock 310 », au 310, rue de Lille, Tél : 03 62 28 54 26, Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. , également sur Facebook
 
« France attelage » s’ancre au parc Pierre-Mauroy Imprimer Envoyer
Lundi, 08 Janvier 2018 17:29
attelage10.jpg-vignetteCette start-up née en 2012 à Nieppe sur une simple observation – « il y a une demande forte en attelages, pourquoi ne pas se positionner sur cette niche ? » se souvient Charles Olivier, directeur du site internet – s'est fortement développée depuis (environ +30% chaque année), au point de passer de deux à douze salariés. Elle s'est implantée en décembre dernier au parc Pierre-Mauroy, vendant exclusivement en ligne parties mécaniques et électriques de tous types d'attelages pour les véhicules légers et utilitaires, ainsi que pour les camping-cars. Rachetée début 2017 par le groupe allemand « Rameder » spécialisé dans le portage automobile (attelage, porte-vélo, barre de toit…), cette start-up n'en finit plus de grandir et son implantation roncquoise répond à cette croissance ininterrompue.
Pourquoi un tel engouement pour l'achat d'attelages sur le Web ?  « D'abord pour les prix beaucoup moins élevés en ligne et l'on pratique d'ailleurs une politique agressive des tarifs », rétorque Charles Olivier, « de plus en plus de particuliers installent des attelages sur leur véhicule pour tracter une remorque très utile pour se rendre à la déchetterie, le ramassage des encombrants ayant disparu de nos paysages urbains ». Une évolution qui se traduit par environ 42 000 commandes annuelles sur www.France-attelage.com et www.rameder.fr, une activité commerciale plutôt saisonnière, de mars à novembre où, au plus fort des beaux jours, cette start-up enregistre jusqu'à 300 commandes par jour !
Les locaux de Nieppe étaient devenus trop exigus et le choix de Roncq s'est imposé par l'offre proposée au coeur de la métropole lilloise, 700 m2 parfaitement distribués entre bureaux et zone de stockage loués à « Building International ». « Notre clientèle est française et tous nos produits fabriqués en Europe partent de la plate-forme allemande Rameder», reprend Charles Olivier, « Barbara Dewavrin est d'ailleurs ici la directrice du site Rameder. Quant à nos opérateurs téléphoniques, ils sont formés sur place pour répondre à toutes les demandes techniques liées à nos 24 000 références dont 9500 sont visibles sur nos sites ». Et le directeur de France.attelage.com n'exclut pas de l'embauche supplémentaire dans les années à venir avec déjà de l'espace et des bureaux supplémentaires prévus pour accueillir de nouveaux emplois.
www.france-attelage.com
www.rameder.fr
 


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