Le principe de création d’une Police Municipale est acté |
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Jeudi, 20 Novembre 2014 11:43 |
Lors de la séance publique du Conseil Municipal du 19 novembre, c'est à l'unanimité qu'a été votée la création d'une Police Municipale. Même si la Ville dispose d'un commissariat de Police Nationale dont le maintien a été confirmé par l'Etat, elle ne se résigne pas à l'augmentation de la délinquance, de l'atteinte aux biens et à l'intégrité physique de ses administrés. Face à la baisse des moyens consentis par l'Etat, la Ville doit permettre à la Police Nationale de se concentrer sur la grande délinquance et de rétablir une police de proximité dans les quartiers. En aucune manière, ce service n'a vocation à se substituer aux missions de la Police Nationale. Un travail de concertation sera mis en oeuvre afin de renforcer la sécurité et le dispositif de tranquillité publique à Roncq. La Police Municipale sera placée sous l'autorité du Maire - en tant qu'Officier de Police Judiciaire - qui veillera au bon ordre, à la sécurité et à la salubrité publiques. Ses missions feront l'objet d'un conventionnement avec les forces de la Police Nationale. Dans un premier temps, ce service sera composé d'un gardien de Police Municipale à temps complet. A terme, les quatre ASVP (Agents de Surveillance de la Voie Publique) dont le dispositif a été créé en 2007 deviendront quatre policiers municipaux. Mais on ne verra pas de policiers municipaux à Roncq avant décembre 2015, le temps de la mise en place du dispositif. Rappelons que, depuis l'été dernier, les missions des ASVP ont été élargies avec la présence régulière de patrouilles aléatoires sur le terrain, y compris en nocturne. Toujours dans une démarche de sensibilisation et de prévention avant verbalisation.
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Dossier école Pergaud: "La Lettre du Maire" en ligne |
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Vendredi, 14 Novembre 2014 18:07 |
Madame, Monsieur,
Face à la campagne de désinformation menée actuellement à des fins très politiques, nous avons souhaité vous livrer dans le détail l'explication de notre choix de fermer, à la rentrée 2015, l'école primaire Louis-Pergaud.
Il nous revient aujourd'hui de faire des choix éclairés afin d'assurer un avenir serein pour notre ville, et ce loin des débats stériles entretenus par certains qui laissent à penser que nos concitoyens ne seraient pas à même de comprendre les défis que nous avons à relever ensemble.
Nous avons toujours veillé, depuis 2001, à assurer une gestion vertueuse de notre Ville au service de l'ensemble de nos concitoyens, et ce sans augmentation de notre fiscalité locale. C'est un engagement que nous avons de nouveau pris en cette année 2014 pour l'ensemble de ce mandat. L'enjeu est de rester, à l'horizon 2020, et même au-delà, en capacité de financer avec un recours minimum à l'emprunt, l'ensemble des projets que nous nous sommes engagés à réaliser.
Le respect de ces engagements passe par une attention toute particulière portée à nos modes de fonctionnement comme aux investissements que nous aurons à réaliser, et ce dans un contexte national particulièrement contraint.
Quelques chiffres
- les dotations de l'Etat qui étaient déjà en diminution régulière, vont subir dans les années à venir une réduction drastique, avec près de deux millions d'euros de baisse sur ce mandat, ce qui équivaudrait à près de 23 % de notre fiscalité locale sur la durée du mandat, ce que nous nous refusons à faire !
- Le patrimoine bâti de la ville représente aujourd'hui une surface de 35.000 m², dont un tiers (12.000 m²) dédié aux écoles. La gestion de ce patrimoine nécessite des investissements effectués en fonction des capacités financières de la ville, avec régulièrement des arbitrages à faire afin de préserver un cadre d'accueil adapté et sécurisé pour les usagers.
- Les frais de fonctionnement inhérents à ce patrimoine représentent une charge financière non négligeable pour la Ville, qui n'a de cesse d'en réduire l'impact, avec par exemple la mise en place d'une gestion informatisée globale de l'ensemble de ces sites. Ce montant s'élève annuellement à plus de 8 millions d'euros, dont 3 millions pour les bâtiments scolaires.
- Nos coûts de fonctionnement augmentent avec 877 000 €/an pour les fluides et l'entretien, dont 33% pour les écoles et parmi les écoles primaires, le tiers des dépenses est sur le site de Pergaud (50 848 €).
- Lorsque l'on compare aux villes de même taille, la Ville de Roncq se distingue par un nombre d'élèves plus faible (74 pour 1000 habitants, contre 107 en moyenne), et un nombre de m² par élève plus important.
- Le plan de patrimoine nous a permis de projeter le montant des investissements à programmer sur ces différents sites dans les dix années à venir (voir tableau dans l'album photos).
- Ce montant est aujourd'hui à analyser à l'aune de l'évolution à la fois de la population Roncquoise qui augmente régulièrement, avec une production de logements dynamique, corollairement à une population scolaire qui diminue, avec également une part non négligeable d'élèves extérieurs à prendre en compte (environ 15%). Ce sont ainsi aujourd'hui 435 enfants Roncquois qui bénéficient d'un enseignement au sein de nos quatre écoles primaires (voir second tableau dans l'album photos).
- L'école Pergaud nécessiterait un investissement de plus de 1.2 million d'euros pour une simple mise aux normes, alors même que sa population scolaire diminue. Nous avons pu également faire avec l'Education Nationale un constat commun de sous-effectifs dans certains établissements de la ville qui sont aujourd'hui en capacité d'accueillir de nouveaux élèves. Pergaud est l'école la moins adaptée en termes de locaux et la plus surdimensionnée par rapport aux besoins. Tout y est à restructurer et si le choix de la rénovation avait été fait, il aurait fallu de toutes les façons délocaliser l'enseignement durant plus de dix-huit mois.
- Réaménager Pergaud aurait représenté un budget 40% plus élevé que les travaux sur les 3 autres écoles.
- La Ville de Roncq compte aujourd'hui 41 classes en maternelle et primaire. Une fois l'école Pergaud fermée, ce sont potentiellement de 47 à 56 classes qui peuvent être réparties dans l'ensemble de nos autres bâtiments scolaires disposant encore d'importantes capacités d'accueil, et ce dans des conditions d'enseignement optimales pour chaque enfant, avec des effectifs que nous souhaitons préservés (23 élèves par classe en moyenne) comme je l'ai demandé à la Ministre de l'Education Nationale.
- Réaménager les autres écoles afin d‘y accueillir dans d'excellentes conditions les enfants de l'école Pergaud nous permettra de faire une économie importante, à laquelle s'ajouteront des économies de fluides et d'entretien d'environ 50 000 € par an, et bien entendu une recette de cession, ce site étant appelé à accueillir du logement répondant aux nombreuses demandes Roncquoises.
Ce choix que nous faisons aujourd'hui est dicté à la fois par notre souhait de poursuivre une gestion vertueuse de notre budget municipal, mais également d'accueillir demain les enfants Roncquois dans de meilleures conditions.
De la même manière, nous engageons une rationalisation de l'ensemble de notre patrimoine municipal, avec les ventes de bâtiments devenus obsolètes et ne répondant plus aux besoins actuels, tels que l'ancien Dojo/poste, le site Alphonse-Loeul rue de Tourcoing, l'ancienne ferme du CTM, ACTIVAL 2, … autant de cessions qui nous permettront demain de réaliser les projets menés au service de l'ensemble des Roncquois, tout en préservant une gestion vertueuse de nos finances, et ce sans augmentation d'impôts.
Soyez assurés de notre parfaite mobilisation afin que la réussite éducative des enfants Roncquois demeure au coeur de nos préoccupations, avec un accompagnement toujours aussi respectueux de leurs besoins.
Vous espérant bonne réception, je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos salutations sincères.
Vincent LEDOUX |
Baisse des dotations de l’Etat : le cri d'alarme de la Ville et de l’AMF |
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Mercredi, 09 Juillet 2014 15:54 |
Lors de la séance publique du conseil municipal du 8 juillet, Vincent Ledoux, Maire et vice-président de Lille Métropole, a présenté un voeu voté à l'unanimité. Il s'agit d'une motion présentée par l'Association des Maires de France qui s'alarme des conséquences de la baisse drastique des dotations de l'Etat aux collectivités locales. Voici ce texte, tel qu'il a été adopté par les élus roncquois : « Les collectivités locales, et en premier lieu les communes et leurs intercommunalités, risquent d'être massivement confrontées à des difficultés financières d'une gravité exceptionnelle. Dans le cadre du plan d'économies de 50 milliards d'euros qui sera décliné sur les années 2015-2017, les concours financiers de l'Etat sont en effet appelés à diminuer de 11 milliards d'euros de façon continue jusqu'en 2017, soit une baisse cumulée de 28 milliards d'euros sur la période 2014-2017. Dans ce contexte, le Bureau de l'AMF a souhaité, à l'unanimité, mener une action forte et collective pour expliquer de manière objective la situation et alerter solennellement les pouvoirs publics sur l'impact des mesures annoncées pour nos territoires, leurs habitants et les entreprises. L'AMF, association pluraliste forte de ses 36.000 adhérents communaux et intercommunaux, a toujours tenu un discours responsable sur la nécessaire maîtrise des dépenses publiques ; aussi, elle n'en est que plus à l'aise pour dénoncer cette amputation de 30% de nos dotations. Quels que soient les efforts entrepris pour rationaliser, mutualiser et moderniser l'action publique locale, l'AMF prévient que les collectivités ne pourront pas absorber une contraction aussi violente de leurs ressources.
Des arbitrages douloureux
En effet, la seule alternative sera de procéder à des arbitrages douloureux affectant les services publics locaux et l'investissement du fait des contraintes qui limitent leurs leviers d'action (rigidité d'une partie des dépenses, transfert continu de charges de l'Etat, inflation des normes, niveau difficilement supportable pour nos concitoyens de la pression fiscale globale). La commune de Roncq rappelle que les collectivités de proximité que sont les communes et leurs intercommunalités sont, par la diversité de leurs interventions, au coeur de l'action publique pour tous les grands enjeux de notre société: - elles facilitent la vie quotidienne de leurs habitants et assurent le « bien vivre ensemble »; - elles accompagnent les entreprises présentes sur leur territoire ; - enfin, elles jouent un rôle majeur dans l'investissement public, soutenant ainsi la croissance économique et l'emploi. La diminution drastique des ressources locales pénalisera à terme nos concitoyens, déjà fortement touchés par la crise économique et sociale et pourrait fragiliser la reprise pourtant indispensable au redressement des comptes publics. C'est pour toutes ces raisons que la commune de Roncq soutient les demandes de l'AMF : - réexamen du plan de réduction des dotations de l'Etat, - arrêt immédiat des transferts de charges et des mesures normatives, sources d'inflation de la dépense, - réunion urgente d'une instance nationale de dialogue et de négociation pour remettre à plat les politiques publiques nationales et européennes impactant les budgets des collectivités locales. » |
La voie publique appartient aussi aux piétons |
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Vendredi, 16 Mai 2014 15:47 |
Régulièrement, des piétons se plaignent de leurs difficultés à se déplacer dans la commune et en font part au Maire. Véhicules garés sur les trottoirs de façon abusive, poubelles en souffrance… autant d'obstacles qui entravent la bonne marche des piétons, alors obligés d'emprunter ponctuellement la chaussée avec tous les risques que cela comporte. De la rue du Dronckaert à l'av. Alphonse-Loeul en passant par la rue de Lille, les exemples d'infractions sont multiples et ne manquent pas (voir photos ci-jointes). Souvent, pour les malvoyants comme pour les mamans ou papas avec poussettes, remonter un trottoir peut s'apparenter à un parcours du combattant. Voitures mal stationnées et poubelles en souffrance sont des obstacles trop fréquents qui empêchent les uns et les autres de marcher sereinement. Pour permettre une meilleure circulation des piétons, carte blanche sera donnée aux quatre Agents de Surveillance de la Voie Publique qui exercent leur mission à temps plein sur le terrain pour prévenir et verbaliser tout véhicule perturbant le cheminement piétonnier. Quatre critères seront prioritairement retenus : zone de circulation intense (rues de Lille, du Dronckaert…), circulation piétonne existante, passage laissé libre inférieur à 0,80 mètre, configuration obligeant le piéton à emprunter la chaussée. |
Vincent Ledoux, 6ème Vice-président de Lille Métropole |
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Mardi, 13 Mai 2014 10:17 |
Le 12 mai, s'est déroulée l'élection des vingt Vice-présidents de Lille Métropole Communauté Urbaine. Pour rappel, ils étaient 32 dans la mandature précédente. Damien Castelain, le nouveau président élu avec 108 voix le 18 avril dernier (contre 62 à Bernard Gérard et 5 à Eric Dillies), a procédé à l'élection par les 179 élus communautaires de 20 Vice-présidents en charge des diverses compétences de Lille Métropole, auxquels se sont ajoutés 14 conseillers délégués et neuf conseillers au bureau. Vincent Ledoux s'est ainsi vu confier la 6ème Vice-présidence de Lille Métropole Communauté Urbaine, avec la délégation « Développement, Attractivité et Gouvernance économiques, Accompagnement des entreprises, Commerce de proximité et Emploi ». Sur sa page Facebook, le Maire a fait part de sa réaction suite à cette nomination : « Je remercie le président et mes collègues communautaires pour leur confiance et je mesure le défi qui m'attend, qui nous attend, l'emploi et le développement économique étant des enjeux prioritaires pour notre métropole. » |
Evacuation des populations de culture rom |
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Mardi, 06 Mai 2014 14:27 |
La Ville de Roncq subissait depuis le mois de novembre dernier deux implantations illicites de populations de culture rom, rue de Lille et sur l'aire d'accueil provisoire de gens du voyage, le long de la RD 617. Nous avons, pour ces deux occupations, immédiatement sollicité les services de l'Etat afin que l'évacuation puisse être mise en oeuvre au plus vite, mais n'avons pu obtenir satisfaction aussi rapidement que souhaité. Ces derniers mois ont été particulièrement éprouvants pour nos concitoyens, principalement les riverains directement impactés et nous tenions aujourd'hui à les saluer pour leur patience et leur grande pondération, malgré la grande inquiétude qu'a pu être la leur et que nous avons partagée. Nous remercions également les services de la Police Nationale qui nous ont accompagnés au quotidien afin d'assurer votre sécurité. Nos multiples sollicitations auprès du Préfet et du Ministre de l'Intérieur ont finalement porté leurs fruits et l'évacuation des deux sites a eu lieu ce mardi 6 mai, des dispositifs de sécurisation ayant d'ores et déjà été mis en place afin d'éviter toute nouvelle implantation. Soyez assurés de notre vigilance constante afin que ce type de situation ne puisse se reproduire sur notre territoire. |
Conseil municipal: les délégations des conseillers municipaux |
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Jeudi, 17 Avril 2014 09:55 |
Lors de la première séance du nouveau Conseil Municipal, le 15 avril aux Anciennes Ecuries, ont été attribuées les délégations des conseillers municipaux du groupe majoritaire « Ensemble pour Roncq ». Les voici dans le détail : -Claudine Zahm : Ecole dans la ville -Réjane Castel : Séniors -Rose-Marie Buchet : Prévention, archives et mémoire -Dany Delbecque : Commissions de sécurité -Catheleen Coppin-Quivron : Coopération décentralisée -Claudie Rius : Petite enfance -Laurent Windels : Sécurité routière et éclairage public -Thierry Mittenaere : Sport de loisir et d'entretien -Nathalie Cardon : Animation -Xavier Duquesne : L'animal dans la ville -Thierry Bucquoye : Développement éducatif local et intercommunal -Colette Debeuf : Vivons En Forme (VIF) -Mustapha Guirous : Engagement travaux de maintenance et d'entretien du patrimoine -Franck Gilme: Performance budgétaire et fonctionnelle -Peggy Robert : Handicap, accessibilité et mobilité réduite -Alexandra Cousty : Propreté dans la ville -Jacquelina Fonseca : Développement culturel -Jonathan Glibert : e-ville -Louis Cosyn : Politiques tarifaires |
Textile : Jean-Pierre Balduyck au-devant des collégiens |
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Mercredi, 16 Avril 2014 02:00 |
Le 16 avril, le Maire-honoraire de Tourcoing et ancien député du Nord, Jean-Pierre Balduyck, est allé à la rencontre d'élèves de 4ème du collège Eluard pour témoigner du passé industriel textile dans le versant Nord-Est de la métropole, de Roubaix-Tourcoing à la vallée de la Lys. Dernièrement, il a publié un ouvrage intitulé « L'épopée humaine du textile, se souvenir pour agir » pour faire vivre le projet d'un musée textile. L'idée de cette intervention est venue d'un élève de 4ème du collège, Victor Di Bartolo, qui a interpellé Jean-Pierre Balduyck lors d'une demande de dédicace au salon du livre de Bondues. Sous la conduite de leur enseignant d'histoire, Georges-Alain Peignat, les jeunes élèves de 4ème se sont ainsi replongés dans ce qui a façonné l'industrie textile et aussi l'urbanisme de leur territoire avec des usines impressionnantes de grandeur et de beauté architecturale. C'est dans l'un de ces lieux emblématiques comme à La Tossée que l'ancien Maire de Tourcoing souhaiterait voir s'implanter un Musée du textile – un « Learning Center » - qui impliquerait la Communauté Urbaine, la Région et les villes qui fourniraient la « matière première ». « C'est par l'image que l'on rendra le mieux compte du passé textile », reconnaît-il, « ces métiers d'hier éclairent ceux d'aujourd'hui qui se développent autour des textiles innovants – reconstitution d'artères, combinaisons intelligentes pour les pompiers, gaines pour prévenir les TGV d'une présence animale ou humaine sur les voies, cordages de haute technologie pour les skippers, etc. »
Productivité et délocalisations à l'origine du déclin
Après le savoir-faire reconnu des hommes et des femmes dans le rouissage du lin, la confection de tissus à partir de laine de mouton, la révolution industrielle a emballé la production avec l'arrivée de la machine à vapeur. Des villes comme Roubaix ou Tourcoing sont ainsi passées de 40 000 à plus de 100 000 habitants entre 1850 et le XXème siècle. « A Roubaix, on a compté jusqu'à 800 négociants-colporteurs qui vendaient des produits textiles à 12 000 personnes. La fabrication dans les manufactures et tissages de secteur était destinée au monde entier », souligne Jean-Pierre Balduyck. L'automatisation a emboîté le pas à l'industrie de main d'oeuvre dans les années 1950-1960 et a amorcé dans le même temps le déclin de l'industrie textile, en raison à la fois de la productivité toujours plus importante et des délocalisations qui ont amené les pertes d'emplois.Les élèves ont voulu mieux connaître l'engagement syndical puis politique de Jean-Pierre Balduyck, tout en s'intéressant aux métiers textiles d'aujourd'hui. Le Maire-honoraire de Tourcoing a mis des chiffres sur le déclin de ces métiers – 2200 salariés quand il est entré chez Paul et Jean Tiberghien en 1956, 800 salariés quand il en est sorti – et a sensibilisé les nouvelles générations à cette épopée qui s'est globalisée à l'échelle mondiale. |
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