Luc Devemy, photographe, exposera du 13 au 22 avril 2018 à Roncq |
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Vendredi, 01 Décembre 2017 17:33 |
De souche tourquennoise, Luc Devemy a fait de sa passion son parcours de vie. A 76 ans, il regarde désormais dans le rétroviseur des clichés qui n'ont pas pris une ride, qui se sont même bonifiés avec le temps. Rien ne prédisposait le jeune homme qu'il était alors, dans les années 60, à devenir photographe professionnel. Habitant Bron, dans la banlieue lyonnaise, il suivait des cours de dessin et de peinture aux Beaux-Arts. Intégré à un club de peintres amateurs lyonnais, il va vite se confronter à l'exigence chromatique. « Sur une aquarelle, vous n'avez pas le droit à l'erreur, la couleur que vous posez l'est une fois pour toutes », se souvient-il, « cette intransigeance m'a perturbé ». Dès lors, la photo s'impose à lui comme la réponse idéale à la restitution des couleurs naturelles. Avant de partir au Tchad pour y effectuer son service militaire de 28 mois, il s'achète un appareil photo argentique, un outil dont il ne se séparera jamais plus. En 1968, alors qu'il réside en Suisse, il adhère à la Société genevoise de photographie qui compte 500 membres. « J'y suis resté pendant plus de six ans », reprend-il, « on participait à des concours nationaux, internationaux, j'ai obtenu ma 1ère médaille d'or en 1973 à Virton en Belgique, au sud de Nivelles, pour le portrait d'un pêcheur à qui j'avais demandé de poser en 1972 à La Panne. » Au début, il développait ses pellicules noir et blanc et couleur dans le labo photo de la Maison des Jeunes de Genève avant qu'il ne s'équipe de son propre labo. « Dans la photographie, il y a une part de créativité », assure-t-il, « et il y a tout le travail dans l'ambiance opaque et feutré du laboratoire où le photographe peut donner un sens à son travail en choisissant un papier, un tirage plus ou moins clair, plus ou moins sombre…». Ce temps de la photographie argentique paraît tellement éloigné de la photo numérique d'aujourd'hui.
« J'ai toujours soumis mes photos aux multiples regards des autres »
Portraits, clichés en extérieur, effets divers (solarisation…) pour autant de travaux d'illustration, de documentation, ou encore éditeur de cartes postales à ses heures, sa palette est large, à l'instar de son talent. A la recherche de ses racines, il revient à Tourcoing en 1974 où il s'installe comme photographe. Il y présentera sa 1ère exposition collective au mois de juin et l'année suivante sa 1ère exposition personnelle à la galerie Van Oost. Ses clients sont aussi prestigieux que diversifiés, de la BNP à La Redoute en passant par de grandes familles industrielles (Prouvost…) et des revues (« Grands reportages », « Voici », « Femmes actuelles »…). « J'ai photographié bien des sujets, la maison de Rubens à Anvers, la Tour de Londres, la Fête des Chats à Ypres, la fosse d'Arenberg à Wallers.. », poursuit-il, intarissable, « et j'ai continué à fréquenter les salons en France et dans le monde entier, comme à Arles où j'ai croisé les plus grands photographes, Jean-Pierre Sudre, Denis Brihat… j'ai eu l'habitude de toujours soumettre mes photos aux multiples regards aguerris des autres ». Retraité depuis 2005, il a accumulé des dizaines de milliers de photos parmi lesquelles il en sélectionnera une petite centaine qu'il accrochera sur les cimaises des Anciennes Ecuries. Auprès de clichés de toutes les époques, des années 70 à aujourd'hui, il exposera également des dessins au stylo à bille, au crayon ou à l'encre de chine, des aquarelles et des peintures, rappelant ainsi l'ancien étudiant des Beaux-Arts qu'il a été. Exposition de Luc Devemy, photographe, du 13 au 22 avril 2018 aux Anciennes Ecuries, 2, rue de la Latte à Roncq, vernissage le 13 avril à 18h30, Entrée gratuite |
Concert de gala de la Philharmonie : tout n’était que comédies ! |
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Lundi, 27 Novembre 2017 15:46 |
La Philharmonie de Roncq a donné son concert de gala d'automne le 26 Novembre à l'église Saint-Piat. L'occasion a été choisie pour la Philharmonie de revisiter et de revivre nombre de comédies musicales sous la direction de Francis Billet et Baptiste Vandevoghel. On a ainsi pu apprécier « Le Temps des Cathédrales », « Les Demoiselles de Rochefort », « Abba », « La Belle et la Bête », « Starmania », « West Side Story », « Chicago », « La la Land », « Les Dix Commandements », « Mary Poppins ». Le public a répondu présent et s'est régalé. (Photos Thierry Thorel) |
Les enfants séduits par les toiles truculentes de Michel Bonte |
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Mercredi, 22 Novembre 2017 18:41 |
L'exposition de 71 toiles de Michel Bonte rencontre un joli succès auprès du public. En quelques jours, plusieurs toiles ont été vendues, des options ont été prises sur d'autres et le public est au rendez-vous, y compris en semaine. Le 22 novembre, les enfants de 6 à 12 ans qui fréquentent l'association des Arts plastiques ont été émerveillés par les glacis colorés de ces toiles aux expressions ironiques ou moqueuses, c'est selon. Surtout, ils y ont lu des histoires et se sont passionnés pour des portraits expressifs et colorés. Et le lendemain, les collégiens de 6ème de Saint-Thomas ont apprécié à leur tour cet univers flamand où tout n'est que comédie ou satire. Surprise : les enfants des Arts plastiques n'étaient pas seulement accompagnés de l'artiste et de son épouse, mais aussi d'une femme qui a été le modèle de Michel Bonte pour une dizaine de toiles. Alors serveuse dans un restaurant, Delphine a accepté d'être l'une des égéries du peintre, séduite par le discours narratif des oeuvres de l'artiste roncquois. « J'y ai vu aussi une manière pour moi de dépasser et d'effacer mes complexes », confie-t-elle. L'alchimie a opéré et la jeune femme semble avoir été transportée à d'autres époques, dans des postures diverses, à la fois féminines, chevaleresques, voire romantiques. Depuis 2009, elle est l'une des modèles du peintre. Michel Bonte a expliqué comment il transforme une idée en peinture. Tout commence par le croquis et le dessin, puis l'art du portrait fait le reste en essayant de composer des personnages aux expressions collant à l'histoire. Tantôt bouffons, tantôt farceurs, intrépides ou tragiques, ils disent à eux seuls la trame ainsi mise en scène, souvent philosophique. Les enfants ont apprécié ce discours pictural entre la folie et l'intelligence. S'arrêtant souvent sur des détails qui abondent sur les toiles de Michel Bonte. Les collégiens de 6ème de Saint-Thomas - accompagnés de Muriel Eloy, professeur d'arts plastiques, et d'Alexandra Prouvost, professeur principal - sont allés eux aussi à la découverte de cet univers singulier et étonnant qui bruisse souvent des vanités de la gente humaine, entre mer et ciel, terre et feu. L'occasion de mieux découvrir ce qu'est la peinture flamande réalisée à l'huile et mettant en scène des représentations de la vie ordinaire. Exposition d'une cinquantaine d'oeuvres de Michel Bonte aux Anciennes Ecuries, jusqu'au 26 novembre 2017, ouverture tous les jours de 15h à 19h. Il reste des places à l'atelier pour enfants de l'association des Arts plastiques. Renseignements et inscriptions :
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. https ://www.facebook.com/Arts-plastiques-Roncq. Tél. 06 26 23 58 83 ou 06 46 72 79 75. |
Michel Bonte expose aux Anciennes Ecuries du 17 au 26 novembre |
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Vendredi, 17 Novembre 2017 01:00 |
Ses toiles aux glacis colorés étonnants semblent avoir pris racine dans l'imaginaire décalé des Brueghel ou Jérôme Bosch, mêlant tradition flamande, perfection de la lumière, ironie des personnages et technique incomparable. Michel Bonte, originaire de Roubaix et mécanicien de métier, expose 71 toiles – dont 30 extraites de collections privées - du 18 au 26 novembre aux Anciennes Ecuries, dans ce petit musée de la métropole qui rayonne des oeuvres d'un artiste autodidacte au parcours aussi singulier que son travail. Rodrigue Desmet, Maire, s'est félicité pour son 1er vernissage d'accueillir un artiste roncquois ou plus précisément "un couple de passion", en présence de Jaquelina Fonseca, Conseillère municipale déléguée à la culture, d'autres élus et d'un nombreux public. Michel Bonte mêle comme personne singularité et tradition dans sa quête picturale aux accents flamands. Le don de la peinture est venu à lui naturellement quand il était enfant, recopiant alors des gravures. Dans sa coquette maison en lisière du Lierre – quartier où il est revenu après avoir restauré une fermette dans le béthunois – il a aménagé une petite galerie où des portraits peints d'après modèles vous observent parfois de façon moqueuse. D'un côté sa toile « La rumeur » bruisse des vanités de la gente humaine, de l'autre la somptueuse « Nef des fous » a des allures d'arche de Noé à la dérive entre mer et ciel, terre et feu. Tout l'univers de Michel Bonte est ainsi résumé, d'inspiration littéraire et philosophique, en y ajoutant des portraits d'un autre temps. "J'aime transformer les choses, avec un peu de folie" Tout a commencé par l'aquarelle figurative – avec des personnages - à la fin des années 70 avant que le démon créatif ne l'habite. Il a eu envie de peindre, une passion qui l'accompagne toujours aujourd'hui. Il réalise son premier coup de maître à la galerie Schèmes à Lille où il dépose ses premières oeuvres. Il écumera ensuite nombre de galeries françaises - de Paris (place Beauvau, Vendôme…) à Cannes en passant par Rouen - et internationales (Bruxelles, Le Caire…) et, durant ses quatre décennies de production il vendra environ 300 toiles. Mais cet artiste se définit d'abord comme un artisan, travaillant l'huile avec un oeil exercé d'aquarelliste. « Il faut peindre des sujets qui racontent des histoires, qui expriment des sentiments mais j'aime aussi pirouetter les choses, la rue est un spectacle, j'aime transformer les choses, chaque chose peut être vue différemment que ce qu'elle est, avec un esprit un peu fou », confie-t-il. Les lumières sont fascinantes et contrastées, vives et ténébreuses, la technique des glacis qui consiste à superposer plusieurs couches de vernis est venue à lui presque par hasard, « cette technique laisse passer la lumière à travers les pigments des peintures ». « Ce qui est important, c'est de trouver des idées », assure-t-il, ce que corrobore son épouse Ghislaine. Et de lancer lors du vernissage; "essayez de vous étonner comme je le dis souvent aux gens". Ses toiles ont du caractère comme leur auteur qui aime conjuguer gaieté et mélancolie, incandescence et patience. Comme si cela ne lui suffisait pas, Michel Bonte se révèle aussi être musicien comme son épouse, ayant rejoint le groupe « Cantrainne ». (Photos Thierry Thorel et Patrick Bonte) Exposition d'une cinquantaine d'oeuvres de Michel Bonte aux Anciennes Ecuries, du 18 au 26 novembre 2017, ouverture tous les jours de 15h à 19h.
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Concert de gala de la Philharmonie le 26 novembre à Saint-Piat |
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Mercredi, 15 Novembre 2017 13:03 |
La Philharmonie de Roncq donnera son concert de gala d'automne le dimanche 26 Novembre à 17h à l'église Saint-Piat dans le Centre-Bourg. Ce sera l'occasion de revisiter et de revivre nombre de comédies musicales sous la direction de Francis Billet et Baptiste Vandevoghel. Au programme : Le Temps des Cathédrales, Les Demoiselles de Rochefort, Abba, La Belle et la Bête, Starmania, West Side Story, Chicago, La la Land, Les Dix Commandements, Mary Poppins. L'entrée est gratuite. |
Stéphane Denève : l’excellence d’un chef d’orchestre fier de ses maîtres d’apprentissage |
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Lundi, 06 Novembre 2017 01:00 |
A 45 ans, Stéphane Denève figure parmi les plus jeunes grands chefs d'orchestre internationaux. Il dirige aujourd'hui l'Orchestre Philharmonique de Bruxelles après avoir pris la direction pendant sept ans, de 2005 à 2012, de l'Orchestre National Royal d'Ecosse, ou encore celui de la radio de Stuttgart en Allemagne. Il est aussi le « principal guest conductor » du Philadelphia Orchestra et il sera aussi en 2019 le nouveau directeur musical de l'Orchestre symphonique de Saint-Louis, toujours aux Etats-Unis, dans l'Etat du Missouri. S'il voyage beaucoup, glane les prix comme pour dernièrement l'écoute en aveugle de « La valse » de Maurice Ravel – « Chez Stéphane Denève, tout y est, les couleurs, la fluidité, la finesse des détails, la force des contrastes, le sentiment tragique », peut-on lire dans le Classica d'octobre 2017 – il apprécie les retours aux sources. Dernièrement, il donnait à Roulers un concert non loin de ses origines roncquoises. L'occasion de revenir sur ses premiers pas musicaux, à la Philharmonie de Roncq et à l'Harmonie d'Halluin, à l'Ecole Municipale de Musique de Roncq, à la Lyre halluinoise, au Conservatoire de Tourcoing, puis de Paris. « J'ai effectué mes premiers pas avec la Philharmonie de Roncq où mon père jouait du tuba », se souvient-il, « André Tiberghien m'a enseigné le cornet à piston et j'ai rejoint mon père au sein de cette société. J'ai démarré le piano à l'école de la Croix-Blanche à Bondues, et j'ai d'ailleurs poursuivi la pratique de cet instrument au conservatoire de Tourcoing. Je garde des souvenirs émouvants de grands musiciens comme l'immense Guy Deceuninck à l'Harmonie d'Halluin qui a été une source d'inspiration pour moi ou l'exceptionnel Michel Jakobiec, à la tête de ce merveilleux choeur d'hommes « La Lyre halluinoise » qui est devenue une vraie famille ».
Il dirige son premier orchestre à 14 ans
« Au conservatoire de Tourcoing dirigé par Bruno Membrey, je voulais rentrer dans la classe d'initiation à la direction d'orchestre – chez les parents de Stéphane Denève, on peut voir une photo de lui enfant, debout sur une chaise mimant les gestes d'un chef d'orchestre alors qu'il n'a que trois ans et demi ! – mais j'étais trop jeune à 13 ans même si j'étais de grande taille. Ma maman a alors lourdement insisté et elle a bien fait. Bruno Membrey a accepté que j'intègre cette classe et j'ai dirigé mon premier concert à l'âge de 14 ans ». N'ayant de cesse de développer son amour de la musique, de s'imprégner de la chaleur musicale, il rejoint le conservatoire de Paris à 18 ans et va vivre à 22 ans sa première expérience professionnelle avec un opéra, « Cosi fan tutte » de Mozart. « J'ai d'abord beaucoup dirigé en tant que chef invité à l'Opéra de Paris et dans bien des endroits en France et j'ai pris en 2005 la direction de l'Orchestre National Royal d'Ecosse ». Il y restera sept ans à l'issue desquels hommage lui sera rendu sous forme d'un buste en bronze à son effigie et lui sera décerné le titre honorifique de « Docteur honoris causa ». Puis il enchaîne les directions d'orchestres internationaux, Stuttgart ou Bruxelles à la tête duquel il dirigera notamment la finale du prestigieux concours de la Reine Elisabeth. « C'est un excellent orchestre moderne avec 90 musiciens, à chaque concert on interprète au moins une oeuvre du 21ème siècle qui plaît au public », souligne-t-il, « on revient du Japon avant de faire une tournée au Royaume-Uni puis en Autriche, c'est un très bel orchestre avec de belles couleurs, je suis un chef d'orchestre comblé ». Lui, l'enfant qui a grandi auprès de deux soeurs admiratives de son talent s'est nourri de cette appétence pour la musique auprès d'éducateurs et d'enseignants hors pair comme Maître André Dumortier, lauréat au piano du prix de la reine Elisabeth. Polyglotte, il domine l'orchestre de Bruxelles de sa haute taille, de ses gestes maîtrisés, de sa chevelure en mouvement. La parole est douce, bienveillante, le travail est exigeant même si le don continue à l'accompagner sans cesse. (Photos Thierry Thorel et Archives famille Denève)
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Nuit des Bibliothèques : les sciences et l’image à l’honneur |
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Samedi, 14 Octobre 2017 16:48 |
Pour sa 4ème édition, la Nuit des Bibliothèques organisée par la Métropole Européenne de Lille et le réseau « A suivre… » (Médiathèques et Bibliothèques de la Métropole lilloise) s'est déroulée au centre culturel le 14 octobre de 14h à 19h30, dans le parc Vansteenkiste et à la salle de cinéma Gérard-Philipe, sans oublier la balade du GON dans le parc. Plus de 200 visiteurs parmi lesquels Rodrigue Desmet, Maire, qui a ponctué par une intervention cette journée ont fait le déplacement à cette occasion au Centre culturel. Une belle opération organisée par toute l'équipe de la Bibliothèque municipale de Roncq mais aussi par celle du service municipal de la Vie associative. Le café tricot intitulé « Le fil de l'araignée » a été l'occasion de tricoter les petites bêtes et les fleurs de vos jardins, escargots… Une belle entrée en matière, suivie de la découverte sous forme de balade des secrets du parc par le Groupe Ornithologique et Naturaliste du Nord-Pas-de-Calais (GON). L'atelier placé à l'étage du Centre culturel sur le thème de l'image valait le détour. Grâce à un prêt de différents matériels du Forum des Sciences de Villeneuve d'Ascq, le public a pu approcher des chambres noires, un phenakisticope de 1847 ou encore observer la réalisation d'images en 3D sur ordinateur. Autres temps forts de cet après-midi ensoleillé : la restitution des travaux réalisés de septembre à octobre par les centres de loisirs sur le thème de la biodiversité (livre animé, bande dessinée, vidéo, etc…), des heures du conte sur le thème « Histoires de petites bêtes », projection de photos et de vidéos animée par le Groupe Ornithologique et Naturaliste du Nord-Pas-de-Calais (GON), sans oublier la projection du film « Lumière ! L'aventure commence » - de Thierry Frémaux (2017) – au cinéma Gérard-Philipe. Et tout s'est terminé par le verre de l'amitié et la remise des travaux réalisés par l'atelier tricot pour la salle des contes. Jaquelina Fonseca, conseillère municipale au Développement culturel, Rose-Marie Buchet, conseillère municipale à la mémoire, aux archives et à la lecture publique, ont accompagné sur place ce joli rendez-vous. (Photos Sébastien Suant et Patrick Bonte)
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Les Arts Plastiques s’ouvrent aux ados dès septembre |
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Mardi, 04 Juillet 2017 12:22 |
L'association Arts Plastiques ouvrira une section « Ados » avec Jonathan Napierala. Artiste peintre, il a effectué des études d'Illustration à l'Institut St Luc de Tournai (Belgique). Après le CESS (Bac), il a ensuite enchaîné sur deux années de Graphisme avant de partir aux Beaux-Arts de Tournai, pour obtenir une Licence en Illustration. Il achève ses études par un Master 1 en Dessin, toujours aux Beaux-Arts. Il fera découvrir à ses élèves les diverses techniques d'art plastiques, attiser leur curiosité et les guider dans leur projet artistique. Pour les plus passionné, il saura les aider à préparer un dossier de présentation de leur travail. L'Association Arts Plastiques, c'est aussi des ateliers adultes, le mercredi soir, jeudi soir et vendredi après midi. Et aussi des ateliers enfants (de 6 à 12 ans), d'une durée de 2 heures, qui sont animés par Florence Ferla, artiste plasticienne, diplômée d'arts graphiques à saint Luc (Tournai) et expérimentée dans les ateliers et cours d'arts plastiques. Elle les initiera à différentes techniques. Les artistes en herbe pourront découvrir et manipuler les encres, fusains, pastels, aquarelles, et expérimenter les supports plats comme les réalisations en volume et laisser leur créativité se révéler. Chaque année une exposition permet à chaque artiste, grand ou petit, d'exposer son travail aux Anciennes Écuries. Renseignements et inscriptions :
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