Sport
ULJAP : l’exploit qui permet d’envisager la N1 ! Imprimer Envoyer
Dimanche, 16 Mars 2014 02:00
  C'est un résultat nul, 7 à 7 face à Coutances/Saint-Lo, l'ogre de cette Nationale 2, mais l'ULJAP l'a remporté la rencontre aux points salle Destombes le 15 mars, 506 points contre 502, un souffle qui vaut une victoire. Si elles remportent leurs trois dernières rencontres, les filles de l'ULJAP monteront en N1, autant dire que le match nul au terme d'une superbe rencontre face à la co-leader a valeur de victoire !
Il n'y a pas de mot pour décrire ce qui s'est passé salle Destombes. « On passe à quatre points ! » s'exclame Alice Jonneau, l'entraîneuse-joueuse, « si on gagne le reste des matches, on montera en N1 et c'est à notre portée ! Mais au-delà de ce résultat obtenu alors que nous n'étions pas du tout favorites, c'est l'attitude de l'équipe que je retiens, une parfaite cohésion devant des gradins pleins, j'ai joué là le meilleur match avec Roncq et je sais de quoi je parle après avoir joué en pro ». 
Trois victoires d'Alice, trois victoires d'Alessia qui se paie le luxe de remporter le double avec Anne-Laure (Duong), c'est magique. « On veut monter pour Alessia (Scacchia), elle n'a que 12 ans et elle a déjà le niveau pour évoluer en N1, elle a super bien joué et avec une parfaite maîtrise mentale ».
Et l'équipe féminine compte sur ses nombreux supporters pour continuer à rêver ! (Ph. Th. Thorel)
 
4L Trophy : Humilité et solidarité dans le désert Imprimer Envoyer
Lundi, 17 Février 2014 02:00
Partis le 13 février du Futuroscope de Poitiers, Mathieu Deblauw et Pierre-Antoine Guillaume, les deux étudiants roncquois engagés dans le 4L Trophy  - rallye-raid à vocation humanitaire réservé aux étudiants et aux 4L - sont arrivés à Marrakech dix jours plus tard après une route semée d'embûches et quelques aléas (pare-brise cassé, incendie électrique, panne de démarreur et casse d'un amortisseur arrière).  Humilité et solidarité sont les maîtres-mots qu'ils retiennent de ce périple de 7000 km où ils ont composé avec le désert et une étape-marathon de 650 Km: neuf heures pour franchir 170 km de sable ! 
Pierre-Antoine et Mathieu se sont nourris de multiples contacts avec les populations locales qui les ont salués, avec les 1350 autres équipages, tous embarqués dans les mêmes galères sublimées, au coeur de paysages magnifiques, entre neige, sable, palmiers.
Avec leur 4L flanquée du numéro 1006 et arborant fièrement des couleurs roncquoises, ils ont franchi le col de Tichka à 2260 mètres dans le Sud Marocain, ont vécu six jours intenses de raid, sans jamais perdre de vue la dimension humanitaire de l'épreuve. Ils ont en effet déposé 25 kilos de dons à l'association "Enfants du désert", fournitures scolaires, gourdes, sacs de sport, et également un chèque de 25 euros.
Ivres de fatigue lors des bivouacs, ils n'ont pas vraiment participé aux soirées festives. Dans les bacs à sable, ils ont tiré et poussé des voitures, y compris la leur et ont terminé ce raid dans le premier tiers des arrivées, à la 436ème place, autant dire qu'ils ont brillé dans cette épreuve où il ne fallait pas être le plus rapide mais le plus ingénieux.
"On a appris la mécanique, on a changé les bougies de la voiture, serré la courroie, remplacé un pare-brise et deux amortisseurs", se félicitent-ils. A tel point qu'ils redoutaient le pôle mécanique à chaque bivouac, de peur de vivre une nouvelle mauvaise surprise. 
Repartir? Ils ont plus que jamais envie mais savent qu'ils ne seront pas disponibles pour le défier l'année prochaine. Alors, ils vont motiver d'autres Roncquois pour qu'ils tentent à leur tour à cette belle aventure. Pierre-Antoine et Mathieu vont en tout cas garder leur 4L comme un trophée chargé de sens!
 
« 8 jours sous un panier »: plus de 70 équipes ! Imprimer Envoyer
Lundi, 17 Février 2014 02:00
Jusqu'au 2 mars, l'USR Basket - forte de 247 adhérents contre 117 il y a deux ans - organise salle Jules-Gilles la 13ème édition de sa manifestation-phare, « Huit jours sous un panier » qui va attirer plus de 500 joueuses et joueurs salle Jules-Gilles, soit au total plus de 70 équipes qui viennent de toute la métropole et d'ailleurs, de Boulogne/Mer, de la Marne... des mini-poussins aux seniors. Cette belle vitrine est l'occasion de se faire plaisir autour du basket, de se rencontrer et de partager dans un esprit autant sportif qu'amical, sans oublier la convivialité.
Au programme de ce tournoi très attendu, pour lequel les bénévoles et les parents des jeunes pousses ont mis la main à la pâte en confectionnant des gâteaux et en préparant les sandwiches : tournoi minimes garçons le 28 février à partir de 9h, tournoi benjamins le 1er mars à partir de 8h30 (remise des récompenses vers 18h15, journée détente le 2 mars  (équipes mixtes).
Pour le nouveau président, Maxime Pau, ce rendez-vous ne fait pas oublier les autres objectifs du club, comme la montée de l'équipe première.
Plus d'infos sur http://usroncqbasket.clubeo.com/
 
Bernard Bayart, doyen du JAR à 76 ans Imprimer Envoyer
Samedi, 08 Février 2014 02:00
Il est un peu le « Robert Marchand » de Roncq, ce centenaire exemplaire qui a battu récemment le record de l'heure de cyclisme sur piste, dans sa catégorie.
Agé de 76 ans, Bernard Bayart est le doyen des 240 membres du Jogging Aventure Roncquois. Et plus précisément le doyen des 170 adeptes de la marche nordique - encadrés par huit animateurs et animatrices - qui fréquentent le JAR et qui viennent de Tourcoing et de toute la vallée de la Lys. Tous les mardis et samedis matins, il participe aux entraînements, aux sorties extérieures, et il sera sur la ligne de départ des prochaines « Foulées Nature » des 5 et 6 avril.
Bernard est un exemple à l'heure où le "bien vieillir ensemble" est devenu la grande cause du Conseil général en cette année 2014. Natif de Roncq, il a mené toute sa carrière dans la boulangerie-pâtisserie (Croquembouche). "Dans ma jeunesse, j'ai pratiqué le tennis de table et le football", raconte-t-il, "puis, au retour de la guerre d'Algérie, j'ai tout abandonné pour mener ma vie professionnelle. J'ai toujours travaillé entre quatre murs et, à l'âge de la retraite, à 60 ans, j'ai éprouvé le besoin de sortir au grand air et de reprendre des activités physiques."
Tout naturellement, il reprend le tennis de table à l'ULJAP où il intègre le groupe des seniors et donc le JAR. "J'ai découvert la marche nordique il y a trois ans, c'est formidable!" reprend-il, "il y règne autant de camaraderie que d'esprit sportif". De 70 à 75 ans, Bernard Bayart a effectué le pélerinage de Saint-Jacques de Compostelle et cette année, il entend s'atteler au GR 20 en Corse. Pas de doute, plus le temps avance, plus il rajeunit !
(Ph. Th. Thorel)
 
4L Trophy : les deux Roncquois piaffent d’impatience ! Imprimer Envoyer
Vendredi, 07 Février 2014 02:00
Mathieu Deblauw, étudiant en école d'ingénieur, et Pierre-Antoine Guillaume, en 3ème année de médecine, piaffent d'impatience au volant de leur voiture. Cela fait dix mois qu'ils préparent tous les deux le 4L Trophy, organisé par Desertours en partenariat avec l'ESC, dont le départ sera donné au Futuroscope de Poitiers le jeudi 13 février. 
Ils se connaissent depuis le collège Eluard et ont tout partagé depuis. Pierre-Antoine a toujours été attiré par les incroyables images arides du Paris-Dakar. Mais, pour participer à ce raid automobile humanitaire, il leur fallait boucler un budget de 7000€. Les 5000€ des sponsors et le millier d'€ des donateurs leur ont permis d'aller au bout de leur préparation. Désormais, la 4L couleur sable qui affiche 77 777 km au compteur arbore fièrement les couleurs de la Ville en une constellation de logos et de photos d'amis bien connus en terre roncquoise.
Avant d'avaler durant près de deux semaines les 6000 kilomètres qui vont les séparer de Marrakech au Maroc après six longues étapes tantôt caillouteuses, tantôt ensablées, via la France et l'Espagne, ils ont pensé à tout : plaques de désensablage, pelle, fusées de détresse, jerricans pour l'essence et l'eau, roues de secours, médicaments, douche solaire…
1325 autres 4L seront au rendez-vous pour près de 3000 étudiants, de quoi bousculer la sérénité du désert ! Dans leurs bagages, ils emportent deux sacs pleins de fournitures scolaires (stylos, cahiers…) ou sportives qui seront remis à l'association « Enfants du désert », chargée ensuite de les redistribuer aux populations autochtones.  
La communication ne sera pas oubliée avec la création d'une page Facebook, d'un blog et d'une vidéo à l'aide d'une caméra Gopro pour suivre l'épreuve. On ne peut que leur souhaiter le plein d'aventures dans cette belle équipée ! (Ph. Thierry Thorel)

Pour les suivre durant leur périple, connectez-vous en ligne, à l'une des adresses suivantes : 
Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
https://www.facebook.com/4ailesSansFrontieres
 
« Un transfert au PSG, ça ne se refuse pas » Imprimer Envoyer
Mercredi, 29 Janvier 2014 02:00
Didier Cabaye, le papa de l'international français Yohan qui vient d'être transféré du club anglais de Newcastle – actuel 8ème de Premier League – au Paris Saint-Germain (PSG) est très content de l'évolution de son fils qui vise aussi en cette année 2014 une participation à la coupe du monde de football, de surcroît au Brésil !
Roncquois, Didier Cabaye exprime aussi sa fierté pour sa commune : « c'est très bien pour lui, on est très fier et c'est bien que la commune ressente de la fierté. Paris a beaucoup d'ambition et monte un gros projet. Yohan monte ainsi d'un palier sur le plan européen, il devrait participer à la Champion's League, il m'a confié qu'il ne refuserait pas Paris. » Et cela au grand dam de supporters anglais un peu tristes ce matin. « Il va de nouveau jouer dans le championnat de France après l'avoir remporté avec le LOSC en 2011, on ira le voir jouer au stade Pierre-Mauroy avec un pincement au coeur, sur la pelouse de son club formateur. »
Arrivé le 28 janvier dans la capitale française, il a passé la visite médicale le lendemain matin. « Le directeur sportif du PSG était pressé de le voir arriver, il s'est déplacé en Angleterre pour accélérer ce transfert. Maintenant, il y aura de la concurrence au sein du PSG où sont régulièrement alignés trois titulaires indiscutables en milieu de terrain, à lui à se battre pour gagner sa place, c'est un combattant, je suis confiant. » L'autre objectif, c'est bien évidemment le Brésil. « Il a très envie d'aller là-bas disputer sa 1ère coupe du monde de football, c'est l'autre objectif de la saison. »
Enfin, Didier Cabaye revient sur l'intégration d'un autre Roncquois au sein du groupe pro du LOSC, Corentin Halucha. « Cela m'a fait très plaisir parce que je connais bien ses parents, cela m'a rappelé les débuts de Yohan au LOSC quand Claude Puel, l'entraîneur d'alors qui connaissait toutes les équipes jeunes du LOSC, lui avait fait confiance. Les parents de Corentin ont la tête sur les épaules, ils ne feront pas n'importe quoi. Il faut maintenant que René Girard lui fasse confiance ! »
 
La finale du tournoi Martel à la bourloire Saint-Louis Imprimer Envoyer
Dimanche, 26 Janvier 2014 02:00
Le 26 janvier, s'est déroulée à la bourloire Saint-Louis de Roncq la finale du tournoi Martel qui a opposé l'équipe du cercle Sacré-Coeur contre celle des « Copains de la bourle », du cercle Saint-Christophe à Tourcoing.
La fédération des sociétés de bourle fondée en 1933 comptait à l'époque plus de 100 sociétés. Il reste aujourd'hui 15 bourloires essaimées à Tourcoing, Neuville, Roncq, Halluin et Mouvaux.Le tournoi intercommunal Martel se déroule chaque année et s'est choisi ce nom au décès du fondateur. Auparavant, il s'appelait le tournoi des A.C.P.G. (Anciens Combattants et Prisonniers de Guerre). 
Cette finale du tournoi Martel a été l'occasion pour la bourloire de montrer combien ce sport perpétue une tradition vivace, très liée autrefois à l'activité textile. On retiendra aussi la victoire des "Copains de la bourle" ! (Ph. Th. Thorel)
 
Un label national décerné à l’ESR Foot Imprimer Envoyer
Samedi, 25 Janvier 2014 02:00
Pour la 3ème fois consécutive, le District Flandre de la Ligue du Nord de la Fédération Française de Football a remis le 25 janvier au stade Joël-Bats un label fédéral à l'Etoile Sportive Roncquoise (parmi les 33 attribués) pour l'amélioration du fonctionnement de son école de foot, ses qualités d'accueil, d'encadrement, d'éducation et d'enseignement, sa participation à la fidélisation des effectifs – en hausse de 9% avec 472 licenciés contre 414 l'année précédente – la valorisation de ses éducateurs et dirigeants, la promotion de l'esprit sportif, du fair-play et le respect des lois du jeu.
C'est dire si ce label national honore le club roncquois dont l'école fédère pas moins de 139 enfants des catégories U6 à U11 et 193 enfants en intégrant les catégories U12 et U13. Cette reconnaissance de qualité s'adresse à ses dirigeants d'hier et d'aujourd'hui, d'Ernest Ritaine, Jean-Pierre Maillet à Jean-Marie Absin, l'actuel président, en passant par tous les éducateurs, Thierry François, Olivier Keignaert, les responsables de l'école de foot, et tous les autres. « Ce label représente une valeur inimaginable, il vient de la Nation », a souligné Marcel Dehoo, membre du comité directeur de la Ligue du Nord et président de l'OS Fives, « il faut s'occuper des enfants et les occuper, c'est cela l'essentiel ».

Jusqu'en juin 2015

Mickaël Foor, du conseil de district en foot d'animation, a remis des ballons, des chasubles, des tee-shirts au club roncquois en rappelant que l'ESR Foot a respecté tous les critères fixés par le District pour l'obtention de ce label et ce depuis juin 2013 jusqu'à juin 2015, date à laquelle le label sera remis en question. 
Pour Vincent Ledoux, entouré de Rodrigue Desmet, son premier adjoint, et Antonio Da Silva, adjoint aux sports, « le sport doit être pratiqué par toutes les générations dans un souci de bien-être ». Saluant Ernest Ritaine, l'ancien président, Jean-Marie Absin et tous les éducateurs de l'ESR Foot, le Maire a également lancé un appel à la mobilisation des parents autour du sport pour leurs enfants : « l'objectif de l'AMIS, c'est de faire en sorte que le jeune connaisse mieux le sport qu'il a choisi, de faire en sorte qu'il y ait un dialogue entre les enfants, les parents et les éducateurs sportifs ». Et d'encourager la pratique du sport à Roncq ! (Ph. Th. Torel)
 
Frédéric Persoon incarne l’amour du foot Imprimer Envoyer
Vendredi, 17 Janvier 2014 02:00
Agé de 44 ans, ce natif de Roncq a fait ses gammes footballistiques dans son quartier des Chats-Huants quand, enfant, il jouait avec des copains avant de rejoindre l'ESR Foot. Puis, son parcours exemplaire lui a permis de côtoyer des joueurs d'exception, Bernard Lama, Abedi Pelé, Jocelyn Angloma… Entraîneur du SC Hazebrouck depuis octobre 2013, il n'a jamais oublié ses racines roncquoises où ses parents lui ont transmis des valeurs humaines essentielles.
Il y a le discours, cadré, exigeant, franc, tissé d'objectifs - « il faut aller chercher les capacités enfouies chez chaque joueur » - et il y a l'homme, furieusement humain, qui entretient des liens très forts avec les autres. Le football lui a tout donné dans son existence - autant de références sportives qu'humaines - il a même guidé sa vie : sept années passées au LOSC dont cinq au sein du centre de formation (apprenti et stagiaire pro comme aujourd'hui Corentin Halucha) qu'il a quitté à l'âge de 18 ans, quatre ans au SCO Roubaix où il a joué en National, 11 ans à l'ES Wasquehal où il a vécu l'incroyable montée en Ligue 2 et signé un contrat pro à l'âge de 28 ans. Enfin13 ans à l'US Dunkerque où il a étrenné pendant une décennie ses galons d'entraîneur-adjoint et participé à la montée de l'équipe première en CFA, un an et trois mois à Saint-Amand où il a vécu une année intense comme entraîneur à part entière. Depuis plusieurs mois au SC Hazebroucq, il tente de relever un autre challenge, à savoir la reconstruction d'un club qui évolue actuellement en DHR.
Au-delà d'un parcours et d'un palmarès plus que respectables, il reste un homme armé de fortes convictions et d'une droiture à toute épreuve. Il se nourrit toujours de souvenirs indéfectibles, la victoire de Wasquehal où il jouait en défense centrale face à Lens 3 buts à 0 alors que les Artésiens sortaient de coupe d'Europe mais aussi la victoire de Dunkerque face à Montpellier en 2009 quand les Héraultais fêtaient leur accession en Ligue 1, le match au stade Geoffroy Guichard de Saint-Etienne…

« J'ai besoin d'un projet sportif humain »

Educateur dans l'âme, il a passé ses diplômes d'entraîneur avec d'autres joueurs d'exception soucieux de prolonger leur carrière de joueur, toujours au bord des terrains : Laurent Blanc, Alain Boghossian, Lionel Charbonnier… « Je suis ambitieux, j'ai envie de devenir un entraîneur de haut niveau, je dois pour cela encore passer d'autres diplômes », reconnaît-il, sachant que le premier objectif est d'abord la remontée de son club, le SC Hazebrouck.      
Son discours est truffé de récurrences, à commencer par la valeur du travail. « On n'a rien sans mal », se plaît-il à répéter, « il ne faut jamais rien lâcher, on apprend toujours de ses échecs, il faut essayer de rebondir en permanence ». 
Il est à la fois droit dans ses bottes et sensible : « je pense avoir laissé un bon souvenir dans les clubs où je suis passé, j'ai besoin d'un projet sportif humain qui me nourrit ». A la fois humble et honnête avec ses joueurs avec qui il entretient des liens quasi-filiaux, il exprime inlassablement son envie de transmettre ses convictions. Admiratif de Michel Platini « qui savait tout faire avec un ballon », heureux de la qualité de jeu apportée par un PSG même s'il comprend les critiques à l'égard du foot business - « je me sers de cette qualité de jeu en tant qu'entraîneur » - Frédéric Persoon témoigne aujourd'hui de ce parcours qui lui a souri : « mes parents m'ont inculqué des valeurs solides, j'ai joué dans les meilleurs clubs régionaux, Lille, Roubaix, Wasquehal, Dunkerque, auprès de joueurs exceptionnels, que demander de plus ? »
 


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